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mus. His accommodavit, novem de Fe- J.FREIN bribus Commentarios Joannes Freind, M. Doctor, Coll. Med. Londinenfis. Londini.. 1717. in-4o.

8. De Purgantibus, in fecunda Variolarum confluentium febre, adhibendis Epiftola. Londini.

∙17.19. in-40%. pp. 147. Cette Lettre, qui eft adref fée au Médecin Richard Mead, tend à refufer ce que le Docteur Jean Woodward avoit écrit d'une manière vive & infultante, contre la prati

que

de ces deux Médecins, de purger dans la petite vérole, dans un livre Anglois intitulé: L'état de la: Médecine & des Maladies. Londres: 1718. in-8o. Il n'y eft pas cependant. nommé, non plus que fon livre; on y parle feulement de certaines gens, qui font les Philofophes, qui fe piquent de fyftêmes, & qu'une connoiffance fuperficielle a fi fort enflés, qu'ils fe donnent pour des Medecins du premier ordre. L'Auteur: de la vie de Freind, fait entendre qu'il avoit compofé auparavant contre Woodward fous le nom d'un Empirique, un Ecrit, où il ne l'atta-quoit que par des railleries. Je ne fçai ce que c'eft..

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JFREIND

9. Joannis Freind ad Ricardim Mead M. D. de quibufdam Variolarum generibus Epiftola. Cette Lettre eft datée du 30 Mars 1723. Il étoit: alors enfermé dans la Tour de Londres, où il l'écrivit. Je ne fçai fi elles a été imprimée à part, & ailleurs: que dans le Recueil de fes Oeuvres.

10. Oratio Anniverfaria in Theatro Collegii Regalls Medicorum Londinen-fium habita ex Harvai inftituto, in eo-rum commemorationem, qui fuâ in hoc Collegium beneficentiâ claruerunt, die 18. Octobris anno 1720, Londini.. 1720. in-40. pp. 16.

Le

11. Hiftoire de la Medecine depuis temps de Galien, jufqu'au commencement du 16. fiécle, fur tout par rapPort à la pratique ; écrite en forme de Lettre à M. Mead. ( en Anglois) Ie partie, qui traite de tous les Ecrivains Grecs. Londres 1725. in-80. Il ya cu trois éditions de cette partieavec quelques changemens. 2e partie contenant les Auteurs Arabes. Londres. 1726. in 80. 3e. partie,contenant les Auteurs Latins & Modernes. Lon dres. 1727. in-8°. It. Traduite de Anglois en François par Etienne Cou÷

let. Leyde. 1727. in 4. & in 12.J FREIND trois parties. Fean Wigand a traduit: cette hiftoire en Latin, & a inféré far traduction dans le recueil qu'il a donné des Oeuvres de Freind. Un Anonyme a attaqué le livre de Freind dans un ouvrage Anglois intitulé :: Obfervations fur l'histoire de la Méde cine du Docteur Freind, ou l'on décou-vre les fauffes idées qu'il donne des Mé-decins anciens & mordernes, Londres.. 1726. in-80. Fean le Clerc. s'eft auffi plaint dans fa Bibliotheque ancienne & moderne,Tom: 26. p. 428. de la ma-. niére défobligeante dont il avoit par lé du Plan que Daniel le Clerc fon fre re,,avoit donné de la continuation de fon Hiftoire de la Médecine.. Freind s'eft propofé de donner cette: continuation, & il l'a fait avec beaucoup d'érudition.

12. Joannis Freind Opera omnia Medica. Londini 1733. in-fol. Fean: Wigand, Docteur en Médecine, quii a recueilli ces Oeuvres, dont je viens de parler depuis le no 3. amis à la tê te une vie fort étenduë de Freind, &: une Epître dédicatoire à la Reine: d'Angleterre, fous le nom de Robert

1

J.FREIND Freind, frere de l'Auteur. It. Editio altera Londinenfi multo correctior Se trouve accuratior. Paris. 1735. in-40. chez Briaf

Lon

13. Lettre touchant une efpece de Convulfion fort extraordinaire. Inferée dans les Tranfactions Philofophiques de Mars & Avril. 1701. & dans les Mémoires de Trévoux de Novembre. & Décembre 1701. p. 261.

V. Sa vie par Wigand à la tête dut Recueil de fes Oeuvres.

GUILLAUME AUBERT.

G. Av-G Villaume Aubert naquit à Poi

BERT.

tiers vers l'an 1534.

S'étant tourné du côté de la Jurifprudence, il fe fit recevoir Avocat au Parlement de Paris en 1553 & exerça cette Profeffion pendant plufieurs années avec beaucoup de réputation. Antoine Loifel dans fon Dialogue des Avocats dit qu'il ne plaidoit pas mal, mais qu'il fe trom poit affez fouvent en fes causes, & que: ce fut pour ce fujer, qu'il quitta leParlement pour paffer à la Cour des Aydes.

11 fe fit recevoir Avocat General G. Au en cette Cour en 1,8o. & il ne paroît B ER T point qu'il le foit jamais defait de cette charge.

En 1591. les malheurs des temps, & la difette où il fe trouva, avec dix enfans qu'il avoit, l'obligerent à reprendre la profeffion d'Avocat au Parlement, afin d'y gagner de quoy fubfifter. On trouva à redire dans la Cour des Aydes, qu'étant Avocať General du Roy, il s'abaiffat à redevenir celui des particuliers; & il compofa à cette occafion un ouvra ge dont je parlerai plus bas.

On ne fcait le temps precis de fa mort; il étoit encore vivant en 1595. puifqu'il publia cette annnée des Ouvrages de fa façon, mais il ne l'étoit plus en 1602. lors qu'Antoine Loifel compofa fon Dialogue des Avocats. Il prend dans fes Retranchemens publiés en 1585. la qualité de ficur de Malovignes.

Catalogue de fes Ouvrages,

1. Oraifon de la paix & les moyens de l'entretenir, & qu'il n'y a aucune raison juffifante pour faire prendre les Armes aux Princes Chrétiens les uns Tome XXXV

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