Revue historique, littéraire et archéologique de l'AnjouCosnier et Lachèse, 1869 |
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ALBERT LEMARCHAND Angers angevin Anjou Artauld Athelstan aulne avaient BARASSÉ Beaucoudray besongné Bordillon Boreau c'était carlovingienne cause chant château cher chesres cheval chose cœur comte coup Coup de Jarnac d'Angers Denazé deniers devant Dieu dire Dom Piolin donner esprit estre exemplaires d'une feuille féodaux fief fille fleurs Flor-del-Aire Fontaine-Couverte Fontevrault forêt François Babin Frodoard Godard-Faultrier Godeline historique homme Hugues Hugues-le-Grand j'ai jamais Jarnac jeune Joseph du Mabaret jour Jublains Kerner l'amour l'Anjou l'Église ladite Lancreau lesdits livre Louis Madame main Maine-et-Loire MARCEL MARGUERITE mariés Mathilde MAURICE Mayenne Mazarin Mémoires Mémoires de Trévoux ment menusier Mme DAUBRAY Monsieur Montreuil-Bellay Oisseau parler passé pauvre peine pensée père phénomènes Pierre poëte politique porte premier prince quintaine R. P. Marchal raison Reims reste Retz rien saint saint Cyprien Saint-Briac San-Luis Saumur savant science seigneur semble sentiment seul siècle sœur sorte souvent tion trouve vassaux vieux voix
Pasajes populares
Página 133 - ... tamen ut unitatem manifestaret, unitatis ejusdem originem ab uno incipientem sua auctoritate disposuit. Hoc erant utique et caeteri Apostoli quod fuit Petrus pari consortio prasditi, et honoris et potestatis, sed exordium ab unitate proficiscitur [et primatus Petro datur] ut [una] Christi ecclesia [et cathedra] una monstretur.
Página 130 - L'autre grâce est qu'il ait la bonté d'achever avec mon successeur ce qui n'a pu être achevé avec moi pour messieurs de SaintSulpice.
Página 164 - Un jour, quelle joie dans la ville ! que de bruit et d'éclats de rire ! Tout le monde riait, excepté celui qui était l'objet de la risée générale. C'était un procureur de la sénéchaussée de Morlaàs qu'on promenait dans les rues, assis à rebours sur un âne dont il tenait la queue en guise de bride. Son cortège burlesque était composé de clercs de la Bazoche, et précédé d'une musique charivarique de cornes, de chaudrons, de clefs forées, et autres instruments discordants. A cette...
Página 98 - Elle avait plus d'aigreur que de hauteur, plus de hauteur que de grandeur, plus de manières que de fond, plus d'inapplication à l'argent que de libéralité, plus de libéralité que d'intérêt, plus d'intérêt que de désintéressement, plus d'attachement que de passion, plus de dureté que de fierté, plus de mémoire des injures que des bienfaits, plus d'intention de piété que de piété, plus d'opiniâtreté que de fermeté, et plus d'incapacité que de tout ce que dessus.
Página 188 - J'aime ces herbes qui s'enlacent Et ces roseaux qui s'embarrassent, Courbés sous le poids d'un oiseau ; Et ces débris tachés de rouille , Où saute la verte grenouille Dont chaque bond s'entend dans l'eau ; J'aime les corsets bleus et frêles Des innombrables demoiselles Qui vont bourdonnant sur les fleurs...
Página 87 - Allarmons tous les quartiers, tendons les chaînes , renouvelons les barricades , mettons l'épée au vent , tuons , saccageons , brisons , sacrifions à notre vengeance tout ce qui ne se croisera pas pour marquer le parti de la liberté.
Página 133 - Domini designat et dicit : una est columba mea, perfecta mea, una est matri suae, electa genetrici suae. hanc ecclesiae unitatem qui non tenet tenere se fidem credit? qui ecclesiae renititur et resistit in ecclesia se esse confidit?
Página 136 - Jésus-Christ dans l'Évangile : « Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle...
Página 188 - J'ai perdu la meute et la chasse. Je jette ma voix dans l'espace... Nul ne répond... j'appelle en vain !... Je vais attendre sous les aulnes, Près de ces joncs pliants et jaunes , Mon fusil couché sous ma main. Après les stériles fougères, Après les arides bruyères , Après l'épaisseur des forêts, Quand un air frais vient me surprendre, Sous mes yeux j'uime à voir s'étendre Le morne aspect d'un grand marais.
Página 317 - ... catholique, en vertu de l'institution et du commandement de son divin Fondateur, doit faire usage jusqu'à la consommation des siècles, non moins à l'égard des particuliers qu'à l'égard des nations, des peuples et de leurs souverains, et de détruire l'union et la concorde mutuelle du sacerdoce et de l'empire, toujours si salutaire à l'Église et à l'État.