Les lettres de Pline le jeune [tr. by L. de Sacy]. |
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Ἐ befoin de vos LetJE plus n'ay tres pour connoître les commoditez & l'agréable abondance qu'offrent vos maisons d'Otricoli , d'Arfuli , de Peroufe , & de Narni où l'on trouve un bain fi commode . La feule Lettre que je vous écrivis il ...
Ἐ befoin de vos LetJE plus n'ay tres pour connoître les commoditez & l'agréable abondance qu'offrent vos maisons d'Otricoli , d'Arfuli , de Peroufe , & de Narni où l'on trouve un bain fi commode . La feule Lettre que je vous écrivis il ...
Página 11
... Arionille femme de Timon , & j'avois contre moi Regulus . Je fondois en partie mon droit & mes efperances fur une Sentence de Metius Modeftus très - homme de bien 1 " mais que Domitien avoit alors éxilé . Ce fut A vj LIVRE PREMIER . IF.
... Arionille femme de Timon , & j'avois contre moi Regulus . Je fondois en partie mon droit & mes efperances fur une Sentence de Metius Modeftus très - homme de bien 1 " mais que Domitien avoit alors éxilé . Ce fut A vj LIVRE PREMIER . IF.
Página 15
Je luy répondis , que fon aveu feul m'ouvroit l'efprit ; que jufqu'alors je n'y avois pas entendu malice ; & qu'il avoit été très - aifé de donner à fes paroles un fens fort obligeant . Pay en effet ( poursuivis - je ) une grande ...
Je luy répondis , que fon aveu feul m'ouvroit l'efprit ; que jufqu'alors je n'y avois pas entendu malice ; & qu'il avoit été très - aifé de donner à fes paroles un fens fort obligeant . Pay en effet ( poursuivis - je ) une grande ...
Página 18
Ce Pline que vous connoiffez , a pris trois fangliers , mais très - grands . Quoy ! luy - même , dites - vous ? Luy - même . N'allez pourtant pas croire qu'il en ait coûté beaucoup à ma pareffe . J'é tois affis près des toiles ...
Ce Pline que vous connoiffez , a pris trois fangliers , mais très - grands . Quoy ! luy - même , dites - vous ? Luy - même . N'allez pourtant pas croire qu'il en ait coûté beaucoup à ma pareffe . J'é tois affis près des toiles ...
Página 19
Vous ne fçauriez croire combien le mouvement du corps donne de vivacité à l'efprit ; fans compter que l'ombre des forêts , la folitude , & ce profond filence qu'exige la chaffe font très - propres à faire naître d'heureuses pensées .
Vous ne fçauriez croire combien le mouvement du corps donne de vivacité à l'efprit ; fans compter que l'ombre des forêts , la folitude , & ce profond filence qu'exige la chaffe font très - propres à faire naître d'heureuses pensées .
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Términos y frases comunes
Adieu affez aime amis arrive auffi aujourd'huy avant avez avis avoient avoit beau c'eft C'étoit caufe celuy charge charmes cher chofe compte côté cours croire d'ailleurs d'en d'être déja demande dernier devoir difcours différents digne dire doit donner efprit Enfin étoit eût fans felon femble femme fent fera feul fils foin foit font force fort forte fous fouvent fuis fuite fujet gens gloire goût grace Grec homme j'avois j'ay jeune jour juger l'autre l'un laiffe LETTRE lieu lire livres m'en main maîtres manque ment mettre mieux mille monde mort n'ay n'eft n'en nombre nouvelles ouvrages paffe parle paroles peine pendant penfe pere perfonne peut-être place plaider plaifir Pline porte pourtant premier propre public qu'à qu'un quoy raifon refte regle Regulus rien Rome s'en s'il Sénat terre tion toûjours traite tres trouve vérité yeux
Pasajes populares
Página 197 - Quand vous songez à cette immense lecture, à ces ouvrages infinis qu'il a composés, ne croiriez- vous pas qu'il n'a jamais été ni dans les charges, ni dans la faveur des princes? Et...
Página 97 - N'avez-vous jamais lû , qu'un Citoyen de Cadix, charmé de la réputation & de la gloire de Tite-Live , vint des extrémités du monde pour le voir , le vit , & s'en retourna. Il faut être fans goût, fans littérature, fans émulation ( peu Tom.I.
Página 56 - ... pas tout; il fait des vers, qui valent ceux de Catulle ou de Calvus que j'aime tant.