| 1775 - 494 páginas
...me cria merci, . 1 -te cela fit que je fus moins fauvage. .. . . . j Quand il me vit que je parlois fi doux , l'ami s'y prit de tant belle manière ,...je lui dis, fans avoir de courroux, tenez-vous coi 1 j'appellerai ma mère. ,< , - .~ 1l eft certain que lors il m'arriva chofe nouvelle, à quoi n'étois... | |
| Edme Billardon-Sauvigny - 1778 - 308 páginas
...jointes mains il me cria merci , Et C^la fit que je fus moins fauvage. Quand il me vit que je parlois fi doux , L'ami s'y prit de tant belle manière, Que...courroux , Tenez-vous coi , j'appellerai ma mère. (i) Cette petite Chanfon a été inférée ma!-à propos dans le Recueil du Païnaffe des Dames ; elle... | |
| 1786 - 480 páginas
...mains . il me cria merci , « Et cela fit que je fus moins fauvage ; Quand il me vit que je parlois fi doux , L'ami s'y prit de tant belle manière ,...m'arriva Chofe nouvelle , à quoi n'étois pas faite , Et quafi morte , un baifer m'acheva , Qui me rendit les yeux clos & muette 5 Puis m'éveillai , mais d'un... | |
| 1805 - 296 páginas
...jointes mains il me cria merci , Et cela fit que je fus moins sauvage. Quand il me vit que je parlais si doux, L'ami s'y prit de tant belle manière, Que je lui dis, sans avoir de courroux : Tenez-vous coi; j'appellerai ma mi-rr'. Il est certain que lors il m'arriva... | |
| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1818 - 458 páginas
...jointes mains il me cria merci , Et cela fit que je fus moins sauvage. Quaud il me vit que je parlais si doux, L'ami s'y prit de tant belle manière , Que je lui dis , sans avoir de courroux : Tenez-vous coi ; j'appellerai ma mère. II est certain que lors il m'arriva... | |
| 1787 - 884 páginas
...jointes mains , il me cria merci ! Et cela fit que je fus moins fauvage. Quand il me vit que je parlai fi doux , L'ami s'y prit de tant belle manière, Que...Tenez-vous coi , j'appellerai ma mère. Il eft certain qu'alors il n'arriva Chofe nouvelle à quoi n'étois pas faite. Et quaiî morte un. baifer m'acheva,... | |
| 1773 - 592 páginas
...jointes main: il me cria merci , Et cela rit que je fus moins fauvage. Qaa il il me vie que je parlois fi doux, L'ami s'y prit de tant belle manière, Que je lui dis , far.i avoir de coutroOx,, Tenés- vous coi. j'appellerai ma mère. Il eft certain que lors il tu'arriva... | |
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