Imágenes de páginas
PDF
EPUB
[blocks in formation]

* DAIE, oiseau du Mexique dont fait mention NIEREMBERG. Il eft de la groffeur d'un Pigeon; fes petits s'envolent fi-tôt qu'ils font éclos. Il est nommé en Latin Avis ovimagna, parcequ'il pond des œufs fort gros. Il creufe avec fes pieds & fa queue fon nid dans le fable, & lui donne neuf pouces de profondeur. Il y dépofe fes œufs, qui font plus gros que ceux d'une Oie, & prefque auffi larges que le poing. Les habitans les appellent Tapun. Il en pond plus de cinquante. Ils n'ont point de blanc, & font d'une fubftance craffe & graffe. Ces œufs cuits dans la cendre ou dans l'eau font une nourriture graffe & bonne, & frits ils ne valent rien, & font même difficiles à cuire. C'est une chofe merveilleufe, pour ne pas dire fauffe, dit RAY (Append. Av. p. 155.), qu'un fi petit oifeau ponde des œufs fi gros, & en fi grand nombre, & que

les ayant dépofés dans un trou, ils éclofent fans être couvés, ou fans avoir la moindre chaleur, & que les petits s'envolent auffi - tôt qu'ils font nés. L'hiftoire de cet oifeau paroît entierement fabuleuse, ajoute RAY; Ce qui fait qu'il le met dans le rang des oifeaux fufpects, ou qui n'ont pas été affez foigneufement décrits. Ce n'est pas, comme le marque le même Auteur, qu'il n'y ait des oifeaux, qui pondent des œufs très-gros, comme, par exemple, l'Alka, le Lomwia & le Canard Aritique; mais ces oifeaux ne pondent qu'un œuf, & n'en font pas plufieurs avant que de le couver. RAY penfe encore qu'il n'y a point d'oifeau, dans toute la Nature, qui faffe des œufs qui n'ayent pas de blanc, parceque le blanc fait la principale partie de l'œuf, & contribue beaucoup à la nourriture du fœtus.

DAILS: Ce font des Coquillages nommés Pholas par les Anciens, qui meurent dans le premier trou qu'ils ont habité après leur naiffance, fans être jamais fortis pendant leur vie. Il y en a deux efpeces fort communes fur les côtes du Poitou & d'Aunis, où on les appelle Dails. La coquille du Dail eft compofée de trois pieces, dont deux font femblables, égales, & fort grandes, par rapport à la troisieme. Celle-ci eft pofée auprès du fommet des deux autres ; elle remplit un petit efpace, qui refteroit vuide entr'elles. La Banche, qui eft une pierre assez molle, eft le terrein qu'habitent ordinairement les Dails fur les côtes de Poitou & d'Aunis: on en trouve aussi dans la terre glaife; ils font logés dans des trous, au moins une fois plus profonds que leur coquille n'eft longue. La figure de ces trous approche d'un cône tronqué, à cela près qu'ils font terminés par une furface concave & arrondie. M. DE RÉAUMUR (Mém. de l'Académie des Sciences, 1712. p. 126. & fuiv.) dit qu'il n'y a gueres dans la Nature de mouvement pro

greffif plus lent que celui du Dail, muré comme il eft dans fon trou. Il n'avance qu'en s'approchant du centre de la terre. Le progrès de ce mouvement eft proportionné à celui de l'accroiffement de l'animal: à mesure qu'il augmente en étendue, il creufe fon trou, & defcend plus bas. La partie dont il fe fert pour creufer ce trou eft une partie charnue, fituée près du bout inférieur de la coquille; elle eft faite en lofange, & affez groffe par rapport au refte du corps.

Le caractere générique des Dails fe tire de leur habitude à fe cacher dans les pierres, & à y creufer eux-mêmes leurs fépulchres. Il fe trouve ordinairement plufieurs Dails dans une même pierre, quelquefois jufqu'à vingt, & ils ne font pas rares fur le rivage d'Ancône, dit RONDELET. LISTER (Hift. Anim. Ang. in-4°. p. 172.) rapporte qu'il y en a beaucoup en Angleterre. Nos côtes de Normandie, de Poitou, d'Aunis & de Provence, en fourniffent auffi.

ALDROVANDE (de Teft. L.V.) admet auffi deux efpeces de Dails, mais différentes de celles de RoNDELET. La premiere eft attachée aux rochers, & fe trouve en quantité dans la même pierre: elle a deux pieces ou écailles de couleur rouge, qui tire fur le brun; fa figure eft oblongue, arrondie & épaiffe, trèsreflemblante à une Moule. La feconde efpece eft compofée de cinq pieces, qui font de couleur cendrée, & longue de cinq doigts, avec une petite pédicule. L'efpece dont parle LISTER (Conchyl. Bivalv. Exercit. 3. p. 88.) a cinq pieces. Il avoue lui-même qu'il s'étoit trompé au fujet du Dail, parcequ'il ne l'avoit pas vû vivant. Ses trois dernieres pieces, qui font inférieures en grandeur aux deux principales, font attachées par des ligamens au dos de la coquille, & tombent fi-tôt que le Dail eft mort; qui arrive quand il fort de la mer.

On lit dans l'Auctuarium Balfouriani que les Dails d'Angleterre ont cinq pieces: l'on affure même qu'ils en ont une fixieme, qui eft un opercule; ainfi il paroft que les Dails des côtes d'Angleterre, font différens de ceux des côtes de France, qui, felon M. DE RÉAUMUR, qui les a obfervés, comme nous l'avons dit, n'ont que trois pieces. Ces différentes efpeces de Dails ne doivent différer que par le nombre des pieces, dont leurs coquilles font composées.

Les Dails tirés de la pierre, dit M. D'ARGENVILLE, ne font jamais fermés par leurs extrémités : leur fuperficie extérieure est toujours la même; elle reffemble à une ligne avec des ftries & des afpérités, affez élevées & ferrées, depuis le haut de la coquille jufqu'en bas, de maniere que les pointes les plus fortes font vers la tête. C'eft avec ces armes que les Dails paroiffent percer les pierres, & agrandir leurs fepulchres, à mefure qu'ils groffiffent.

BONANNI (Recreat. ment. p. 36.) prétend que c'eft avec leurs dents, qu'ils font fortir une trompe, ou un long tuyau épais, partagé en deux cloifons, dont un trou leur fert à vuider leurs excrémens, l'autre à refpirer l'air, mêlé avec de l'eau, laquelle ils rejettent avec violence. LISTER, dans fa Conchyliologie, p. 91. place leur ovaire, & les parties de la génération fous ce tuyau.

Les Dails de l'Amérique font tous blancs, ils ont fept à huit pouces de long, & font gros à proportion. Au mot PHOLADES, je donne les trois différentes efpeces que M. D'AR GENVILLE fait connoître, & j'ajoute l'explication de ceux qui font repréfentés à la Planche XXX. de fa Conchyliologie.

M. ADANSON dit n'avoir obfervé au Sénégal que deux efpeces de Dails ou Pholades. Toutes deux vivent dans le limon de la terre un peu durci de

l'embouchure du fleuve Niger. Il donne à la premiere le nom de Julan, & à la feconde efpece celui de Tugnon. Voyez ces mots.

On peut encore confulter fur les Dails, ou Pholades, les Mémoires de l'Académie des Sciences, 1712. p. 126. & suiv.

DAIM, bête fauve & fauvage de grandeur moyenne entre le Cerf & le Chevreuil. M. LINNEUS (Syft. Nat. & Fauna Suec.) le met dans le rang des animaux, qu'il appelle Pecora. Il le nomme Cervus cornibus ramofis compreffis, fummitatibus palmatis. Il eft du genre des Cerfs. M. BRISSON (Regne Anim. p. 91.) l'appelle Cervus cornuum unicâ, & altiore fummitate palmatâ. M. KLEIN (Quad. Difp. p. 25.), qui le place dans la famille des Dichelons, ou Bifulces cornus, le nomme Cervus Palmatus, & DamaCervus. Ce Naturaliste dit qu'il est beaucoup plus petit que le Cerf, & beaucoup plus grand que lê Chevreuil, Voici ces termes: Multo minor Cervo nobili, longè major Capreolo. Je parle du Daim des Modernes; car pour le Daim des Anciens, on ne fait pas trop ce que c'eft. RAY même doute qu'il exifte. PLINE met cet animal parmi les Chevres fauvages. GESNER, d'après CAïus, donne au Daim de PLINE des cornes tortues en devant, in adverfum adunca cornua, & le fait de la grandeur de la Chevre, magnitudine Capra, & de la couleur du Dorcas, qui eft le Chamois, ou l'Yfard, colore Dorcadis. Le Daim décrit par OVIDE eft de couleur fauve. MARTIAL parle en deux endroits du Daim de PLINE. Il dit, Lib. I.

Frontibus adverfis molles concurrere Damas vidimus.

Et Lib. IV.

Afpicis imbelles tentent quàm fortia Dama Pralia, tam timidis quanta fit ira feris.

* En Hébreu Opher; en Latin Dama; en Italien Daino, ou Dainio; en Espagnol, Gamo; en Allemand Vilder-Rhbock, ou Dam

In mortem parvis concurrere frontibus audent♪

fait la différence du Daim des Anciens AGRICOLA eft le premier qui a

d'avec celui des Modernes : les uns ont cru que le Daim d'ARISTOTE & de PLINE étoit le Platycerote; d'autres, comme PLATINE, ont pris le Dorcas pour le Daim. ALBERT LE GRAND donne le nom Arabe Ozazel, au Platycerote, & à toutes les efpeces de Chevres fauvages. GAZA a traduit le Пpona d'ARISTOTE par Dama. L'Interprete de STRABON dit que fon Aópaas eit le Dama. MARIUS GRAPALDUS dit que le neopoy des Grecs eft le Dama. Ainfi fur le Daim des Anciens, que GESNER croit être le Chevreuil, on ne peut rien décider. Ce pourroit bien être l'animal que les Latins nomment Rupicapra ; & nous en François, felon BELON, Chamois, ou Yard. C'est le fentiment de M. KLEIN.

pau

Quant au Daim des Modernes, en Latin Dama recentiorum, ou Cervus platyceros, il porte fes cornes tournées en avant; les perches & les chevillures en font larges & plates, & non pas rondes. Il eft de pelage plus blanc que le Cerf; il porte plus de corps fur fa tête, qui eft ordinairement mée; d'où lui eft venu le nom de Cervus palmatus par les Naturalistes. Cet animal perd fon bois tous les ans. Sa couleur eft d'un gris jaunâtre sur le dos & blanche fous le ventre, & quelquefois cette couleur grise, surtout dans les jeunes, eft variée de taches blanches. Sa queue eft auffi longue que celle d'un Veau. Il a fur les côtés des taches blanches, qu'il perd en vieilliffant. Les femelles font quelquefois toutes blanches, & on les prendroit pour des Chevres, fi elles n'avoient pas le corps plus court.

Le Daim eft naturellement peu

hirfek; en Anglois, Fallow deer; le mâle, Buck; la femelle, Doë; le petit, Fawn; en Polonois, Lanii; en Suédois, Dof.

reax, agile & léger à la courfe; fon fang nouvellement tiré & auffi-tôt bu pale pour guérir les vertiges. Son fiel, fon foie, fes cornes, fa graiffe & fon fuif, ont en Médecine les mêmes vertus que celles du Cerf.

Dans l'extrait d'une Lettre de REDI au Docteur JACOPO DEL LAPPO, écrite le 19 Septembre 1687. & inférée dans le quatrieme Tomé des Collections Académiques, p. 539. on lit que la cervelle du Daim, qu'on croyoit très-mauvaise à manger, & dangereufe pour la fanté, eft belle & faine. REDI rapporte que l'ayant fait frire dans du lard frais, & que fe l'étant fait fervir bien chaude & bien riffolée, il l'a trouva excellente à manger. Le même Auteur ajoute qu'ayant réitéré cette épreuve, il a reconnu que la cervelle du Daim étoit au-deffus de celles du Cochon & du Veau, pour ne pas dire de celle du Dauphin, Le Mar quis CLEMENT VITELLI, premier Gentilhomme de la Chambre du Grand Duc, contemporain de Redi, a aufli vérifié par l'expérience que la fraife du Daim, étoit meilleure à manger, que celle d'aucun autre animal. Il ne paroît pas cependant que cette autorité de REDI ait donné du goût pour la cervelle & la fraife de Daim.

Les Daims de la Virginie font plus grands & plus forts que les autres. Ceux d'Efpagne font de la grandeur des Cerfs, mais ils font d'une couleur plus foncée. Il y en a d'autres qui font variés de différentes couleurs.

Il y en a une grande quantité en Afrique, on les trouve en troupeaux de cinq cents ensemble, mais très-farouches. La méthode des Negres pour les prendre, eft de fe coucher près des fontaines, où ces animaux fe raffemblent pour boire, & avec un peu d'adresse & un peu de filence, ils en tuent un grand nombre à coups de fleches. Il y en a auffi beaucoup à la Côte d'or. Ces Daims, & ceux du Cap, par rapport à la taille, à la for

me, & à toutes les qualités intrinfeques, ques, font parfaitement femblables au Daim, qu'on voit décrit chez GESNER, FRANZIUS, ALDROVANDE, & les autres.

On trouvoit autrefois une très-grande quantité de ces animaux, fur les montagnes du Tigre, & l'on dit que c'étoit la raifon de leur grande fertilité, parceque leur fiente engraiffe la terre. On remarque en effet que les lieux les plus fréquentés par ces animaux font les plus fertiles.

Il fe trouve chez les Attaquas, Nation des Hottentots en Afrique, des Daims marquetés. Ils ne font pas auffi gros que les Daims d'Europe; mais ils font beaucoup plus légers à la courfe. Leurs taches font blanches & jaunes. Ces animaux ne vont jamais que par troupes, fouvent au nombre de cent, quelquefois même de plus de mille. La chair en eft généralement graffe & délicate; mais elle n'a pas le goût de celle de nos Daims.

Ils multiplient prodigieufement dans les déferts, & dans les bois de Tartarie. On remarque de la différence dans leur couleur, dans leur groffeur & dans la forme de leurs cornes, felon les différens cantons de ces vastes contrées. Il s'y en trouve de semblables aux nôtres. Les Daims font auffi fort abondans à la Chine.

KOLBE parle d'un animal du Cap de Bonne-Espérance', que les Hollandois appellent Daim. Il ne fait fur quel fondement, parcequ'il lui a paru fort différent. Il reffemble plutôt, dit-il, à une Marmotte; cependant il est plus gros, quoique de la même figure. On fait grand cas de fa graiffe & de fa chair. Il fe trouve une très - grande quantité de ces animaux fur les montagnes de pierres.

Les Auteurs qui ont écrit fur le Daim; après les Anciens, font GESNER, Quadr. P-333. ALDROVANDE, Quadr. Bif. p. 741. JONSTON, Quadr. P. 55. SLOANE, Vol. II. P. 328. RAY, Synop. Quadr. p. 85. n. 2. M. LINNEUS, Syft. Nat. Edit. 6. 8.31. Sp. 5.*

[ocr errors]

le même, Fauna Suec. n. 40. M. KLEIN, Quadr. p. 25. RZĄCKINSKY,

Hift. Nat. Pol

P. 217. le même, Auctuarium, p. 308. KOL

BE, Tome III. p. 39. &c.

J

DAK

DAKI, nom que M. ADANSON (Hiftoire des Coquillages du Sénégal, p. 171.) donne à un Coquillage uni valve operculé du genre de la Toupie, repréfenté à la Planche XII. n. 3. La coquille, dit-il, n'a gueres plus de deux lignes de longueur, fur une largeur prefqu'une fois moindre. Elle elt peu épaifle, compofée de fept fpires applaties & liffes, qui diminuent à-peu-près également. Son fommet eft de moitié plus long que large, & une fois plus long que la premiere fpire. La levre droite de l'ouverture eft fim ple, unie & tranchante. La gauche s'arrondit un peu en fe repliant fur la feconde fpire; elle laiffe à fon extréfeconde fpire; elle laiffe a fon extrémité fupérieure un petit ombilic, femblable à un léger fillon. Le fond de la couleur est d'un brun fauve ou de gris.

[ocr errors]

& du Cap Dakar, que M. ADANSON Il eft repréfenté à la Planche XII. n. 8. (p. 186.) met dans le genre du Sabot. Il en parle en ces termes :

arron

La coquille eft médiocrement épaifhuit lignes, & plus large de moitié. fe, fort applatie, longue de fept out Ses fept fpires font renflées dies, comme étagées, & relevées d'un tie inférieure. On voit encore dans rang de boffettes, qui borde leur parquelques-unes, fur-tout dans les jeuqui les environnent. Le fommet refnes, un grand nombre de petits filets femble dans les vieilles à un autre Coquillage du même genre, nommé Livon par l'Auteur, & qui est la liologues: mais dans les jeunes, ce Veuve, ou la Pie des autres Conchyfommet eft plus court que l'ouverture, & près de deux fois plus large que long. L'ouverture ne diffère de celle du Livon, qu'en ce que fon ombilic droite eft tranchante. Son fond eft cenn'a point de dents, & que fa levre dré, ou couleur de chair, coupé lonLa tête de l'animal ne porte point gitudinalement par quelques marbru de bourrelet à fon origine; elle eft cy- n'eft pas particulier au Sénégal. C'eft res brunes ou violettes. Ce Coquillage lindrique & fi groffe, qu'elle égale celui nommé Umbilicus, par RoNprefque la largeur du pied. Ses cornes font cylindriques, fort allongées, & DELET, Poiff. Part. II. Edit. franç. très-déliées. Son pied eft une fois plus P. 69. par GESNER, Aquat. p. 287. long que large, une fois plus étroit par ALDROVANDE, Exfang. que la coquille, & pointu à fon extré- 398. Trochea umbilicata, &c. par mité postérieure. Le fillon, qui le couBONANNI, Recreat. p. 133. claff. 3. fon milieu. Son corps eft noirâtre en, fig. 29. Cochlea umbilicata perlata, &c. pe en deffous, ne s'étend que jufqu'à 2. 170. Trochus umbilicatus, &c. par LISTER, Hift. Conchyl. Tab. 640. deffus, & blanchâtre en deffous. Un dans le Mufaum de KIRKER, p. 459. petit filet jaune parcourt toute la longueur de fes cornes, dont la couleur eft n. 170. Cochlea trochiformis, ftriata & blanchâtre. L'Auteur marque avoir umbilicata, par LANGIUS, Meth. p. 51. communément trouvé ce Coquillage Trocho-Cochlea undata, & umbilicata attaché aux Plantes marines, qui croiffent fur les rochers de la pointe Auftrale de l'Ile de Gorée.

DAL

.DALAT: C'est une espece de Coquillage operculé des Ifles Canaries

&

plana, &c. par M. KLEIN, Tent. p. 42. P. 2. m. 1.

DAM

DAMBORT: Les Hollandois ont donné ce nom à un poiffon des Indes, parcequ'il a les écailles rées & de différentes couleurs. Il en a quar

« AnteriorContinuar »