TABLE Des Auteurs dont il eft parlé, & des Matières qui font traitées dans cet ouvrage. A. ACADEMIE & Ecoles publiques, établies parles Phocéens, à Marseille, 219. Progrès des connoiffances qui s'en fuivent, 220. Académie, formée dans le Palais de Charlemagne. Les Princes & les Grands viennent s'y inf truire, 233. Académie Françoife. Travaille à la perfection de la Langue, 291. Motifs apparens qui lui ont fait changer les Difcours moraux qu'elle couronnoit autrefois, pour de froids éloges hiftoriques, 412, 418. Académies multipliées inutilement, fondent l'empire de l'ignorance, & ne fervent qu'à l'affer mir, 466. ACCIUS, PACUVIUS, &c. Anciens tragiques & comiques Latins, 90. Aeroftats. Découverte inutile jufqu'à préfent; dangereufe expérience, Enthoufiafme ridicule qu'elle a infpiré, 473. AFRANIUS, Inventeur de la Comédie Latine, 94' Deshonore fes Pièces par tobfcénité de fes mœurs qu'il y peint, ibid... Son style vanté par Cicéron, ibid. ALCUIN, Anglois, feconde Charlemagne dans les établiffemens qu'il forme pour les Sciences, 2324 ANDRONICUS, Livius, imite les Comédies Grec ques, & les fait repréfenter à Rome, 89. Anglomanie portée à l'excès. Modes ridicules, indécentes, 476.' Architecture. Mauvais goût qu'elle adopte, 465. ARISTOPHANE. Ses Comédies fatiriques , 37. Leur force & leur vérité, généralement applaudies, 38. › 33. Arts & Sciences à Rome; caufe de leur déca -dence, 131. Beaux Arts dégradés en France par les caprices de l'ignorante opulence, 347. ASPASIE (Courtifanne.) Sa coquetterie, fes talens, fon application à l'étude & à la fcience du gouvernement, 31. Son mérite réel Son crédit, 34. Ses talens ne la fauvent pas de l'opprobre, 36. Accufée d'impiété, & défendue par Périclès, 35. Son ingratitude, 34. Athènes. Époque de fa grandeur, 25. Equité de fes jugemens dans les jeux où le génie & les talens fe difputoient entr'eux la victoire, 27, Progrès & caufe de la perfection des Arts & des Sciences à Athènes, ibid. Moment & caufes de fa décadence dans les Sciences & la Morale, 81. ATHENIENS. Leur caractère favorable aux progrès des Spectacles, 98. Avoient plus de moyens pour réuflir dans la Tragédie que les Romains, 99. AUGUSTE, Empereur. Grands & illuftres Perfonnages dont fa Cour étoit compofée, i20. AVOCATS. A quel deffein ils recherchent le fuffrage de Voltaire, 399. Leur vrai caractère, ibid. AUTEURS ANCIENS. Ont contribué à former les meilleurs Ecrivains d'entre les Modernes, 168, Attaqués par le Bel-Efprit, 334. Leur étude trop négligée, ibid. & 337. Difputes fur les Anciens & les Modernes. Ses fuites déplorables & funeftes aux Lettres, 337 B. BARDES. Poëtes, Muficiens & premiers Savans, chez les Gaulois, 216. Marchoient toujours à la tête des armées, Refpect qu'on avoit pour cux, 217. BEAUVAIS, (M. de) ancien Evêque de Sénez; Ca ⚫ractère de fon éloquence & de les difcours, 313 Belles-Lettres & Goût. Principe de leur décadence, I. BELLOI & SAURIN. Mauvais Poëtes tragiques; ce que l'on en doit penfer, 435. Bienséances, généralement violées, 480. BOILEAU Delpréaux, l'un de Auteurs les plus eftimables de fon fiècle, 332. - Idée de fes ouvrages, 333. Terraffe le Bel-Efprit, 334. Prend le parti des Anciens contre les Moderibid. 335. nes, BOSSUET, (le grand) rétablit l'éloquence Françoife; nobleffe & majefté de fon difcours fur l'Hiftoire Univerfelle, 297. Ses Oraisons funèbres, 298. Comparé à Périclès, ibid. 299. Accufé par les Ecrivains de nos jours, de n'avoir pas eu affez de Philofophic, 341. BOURDALOUE, (le Pere) Prédicateur. Caractère & force de fes difcours, 309. Prédicateurs, 310. Modèle des. BROTIER, (M. l'Abbé) de l'Académie des BellesLettres. C'eft à fes foins que nous devons la fuperbe édition de Tacite, dont il a réparé les lacunes, 161. BRUMOI. (le Pere) Ce qu'il dit de la Comédie chez les Grecs, 37. BRUNCK, M.) préparé une édition complette du Théâtre des Grecs, 53. (Nota. Sa fuperbe & favante édition de SOPHOCLE a paru au moment où où cette Partie de mon ouvrage étoit déja imprimée. BUFFON. (M. le Comte de ) Le feul qui ait apprécié au jufte Ariftote, Théophrafte & Pline, & qui les ait furpaflés, 204. Son Hiftoire Naturelle doit être préférée, 208, 229. Bureaux d'Esprit de nos jours. Comment on y décide & ce qui en résulte, 328. C. CARNÉADE & DIOGENE Grecs. Donnent des leçons de Philofophie à Rome, 85.- Caton le Cenfeur engage le Sénat à les renvoyer, 86. Catéchismes Philofophiques, 483. Répandent par-tout leur doctrine pernicieufe, 484. Catéchisme de Morale, en oppofition avec les Catéchismes Evangéliques, propofé comme prix, dont l'Académie Françoise doit être juge, 508. Ce que l'on en peut espérer, 509. CATON le Cenfeur fait fes plus douces occupations, dans fa vieilleffe, de l'étude de la langue Grecque, 88. Eloge de fes Difcours, 102. Ses Préceptes fur les devoirs & les connoiffances de la vie ruftique font écrits avec autant de force que d'élégance, 137. CECILIUS. Bon Poëte comique, 91. Charlatanifme & Folie. Leur empire actuel, 467. CHARLEMAGNE, Empereur. Reftaurateur des Lettres, 231. Ses Capitulaires. Ecoles qu'il fait ouvrir. Savans qu'il appelle à sa Cour, 232. Bien durable qu'il procure, & par quels moyens, 235. Calomnié par un Hiftorien infidèle & cynique, 238. Fauffeté de l'établissement de la Cour Weimique, ou Inquifition en Veftphalie par ce Prince, 239. Il pourvoit au mai: tien des Loix établies pour la Saxe, 246. CHEVALERIE & TOURNOIS. Leur institution, 262 CICERON. Son fentiment fur l'action de l'Ora- 320. COLLÉ, bon Chanfonnier, 454. Comédie à Athènes. Sa licence fatirique, 36, 39. COMMODE, Empereur. Son règne met le comble CORNEILLE, (le grand) crée & perfectionne la |