prit, ou coterie illuftre qui le protégeoit
328.
PREDICATEURS. Leur fauffe éloquence; préfè-
rent le jargon du Bel-Efprit au langage de l'Ef-
prit-Saint, 379.

PREVOT D'EXILES. Ses Romans ; fes qualités
littéraires, 383.

PRIERE A DIEU. Cette Prière terininoit autrefois
tous les Difcours couronnés par l'Académie Fran-
çoife. Cet ufage a été aboli, comme peu fait
pour un fiècle de lumières, 412.

Principes anciens & vrais à rappeler, 2.-Reçus
en bonne morale & à conferver, 78.

Profe. Son ufage ancien, 5. Efope l'emploie le

premier dans la compofition de fes Fables, 6.

Q.

QUINTE-CURCE, Hiftorien d'Alexandre, n'est

point à imiter, 164.

QUINTILIEN. Tems où il compofa fon Traité de

Finftitution de l'Orateur, 194. Idée de cet ou-

vrage, 196. Son éloge, 199.

Qualités qu'il exige d'un Orateur du Barreau

d'après Cicéron, 407.

-Ce qu'il penfe de l'éducation publique & de

l'éducation particuliere, 499. Eloge que lui

donne M. Rollin, 200.

R.

RACINE. (le Grand) Comment il s'annonce,

319. Beauté & harmonie de fon style, 322.—Le

fpectacle de la Cour brillante de Louis XIV

donne l'effor à fon génie, 325. - Devient égal

à Corneille, 327. Comment il finit fa brillante

carrière, 332.

RAMEAU, célèbre Muficien. Comment traité, 459.
RELIGION CHRÉTIENNE, tire les peuples de la
barbarie, en éclairant leur efprit, 234.
RICHELIEU (le Cardinal de) fonde l'Académi
Françoife, 285. Oublié & blâmé par la généra
tion préfente, 286. Jaloux du Cid de Cor-

neille 288.
".

-

Rivalité noble, de Sophocle & d'Euripide, 46.

ROCHEFOUCAULD. ( le Duc de la ) Fineffe de
fon ftyle dans le livre des Maximes,295.
ROLLIN. Ancien Recteur de l'Univerfité : fon
éloge, 200.

ROMAINS (les) forcent les peuples conquis à
adopter leur langue, 221. Comment les Gau-
lois les inftruisent 222. Où ils puifent l'art
de bien écrire, 136. Tems ou leur langue
acquit fa perfection, 137.

Combien

Romans. Se parent d'un vernis de Philofophie
au préjudice des mœurs 384.
multipliés depuis peu de tems, ibid.

Romans anciens. Leur origine, 257.- Le goût
s'en répand, 258, 260. D'abord écrits en vers
rimés, ibid.

ROME. Quand les Arts & les Sciences commen-

cent de s'y établir; circonftances qui les y ame-

nent, 82. L'opulence de la République &

des particuliers y contribue, 83.- Ses premiers

fpectacles, rares & férieux, 87. S'accoutume

aux Arts & aux Sciences de la Grèce, & en

fait fes délices, 88.

RONSARD, Poëte. Ses efforts, & fes Métaphores

hardies, ont leur utilité, 282.

-

ROUSSEAU. (J. J.) Sa réputation & fes talens,

419. —Idée de ses ouvrages principaux & de fa

morale, 421. 429. A fçu captiver l'efprit des

femmes, 422. Ranime en elles les fentimens

de la maternité, 424. Son génie & fa mar

- -

niere de voir & de raifonner, 430. - Modele
de goût & de ftyle, 431. -Conferve à l'élo-
quence fa beauté, mais en abufe, entraîné par
l'imagination, 431.

S.

SALLUSTE, Hiftorien. Sa maniere d'écrire, 131,

141.

SAURIN, de l'Académie Françoise. Poëte froid;
prend fes fujets de Drame aux fourches de Ty
burn, 425.

Sciences. Leur état inconnu avant Homère, 3.

Sciences occultes. Leur abfurde folie renaît, 469.

Exactes & pofitives préjudice qu'elles caufent
au goût & aux lettres, 476.

SENEQUE, le Philofophe. Jugement far fes Tra-

gédies, 96. Leur morale pure & fage, 97.

Perd l'éloquence Romaine par fon belesprit,

172. Vogue qu'acquièrent fes écrits, 174.- Se
fait des partifans, ibid. Ce que les ouvrages
ont de bon & d'utile, 176. Caufes de l'af

cendant qu'il prend fur les grands modèles, ibid

Son ftyle eft l'image des mœurs publiques

177. Il donne les caufes de leur corrup-

tion 176. Ses qualités comme Philofo

phe, 179.

-

SERVANDONI. Ses fuperbes décorations; com-
ment remplacées, 455..

Siècle de lumières. Beau titre fans valeut, 1.
Siècles favorisés par la multitude des grands hom

mes
› 74.

Siècle prétendu de lumières. Renverfe les anciens

& bons principes, 343, 355, 358.-Coup-d'œil
fur le fiècle de Louis XIV, 290, 339. Ce qu'en

penfent la Philofophie & la Littérature moder-

es, 340. Grands Ecrivains de ce fiècle, 342.

1

• 43.

SOLON, Légiflateur. Quand il publia fes Loix, 7a

SOPHOCLE. Vainqueur d'Efchile, 27, 44.—Donne

plus de régularité & d'éclat à la Tragédie, 42.

Enfeigne les convenances théâtrales

Statues érigées aux grands Hommes en France,

286. Singularité de celle de Voltaire. Pigalle

l'a fait nue. Le Statuaire Houdon représente

Voltaire fous tant de formes différentes, qu'il en

fait un Dieu fétiche, 287.

T.

TACITE, l'Hiftorien. Jugement fur fa maniere,
fon ftyle & fa véracité, 160. Sa belle édition
par M. l'Abbé Brotier, 161.-N'a point donné
dans le faux bel efprit, 160, 210,

Talens & génie, doivent être protégés, 25.

TELEMAQUE. Vraj Poëme épique, & le premier

de la France, 304.

TERENCE, Poëte comique Latin, imite Ménan-
dre, 92. Nobleffe & beauté de fon style, qui
fait attribuer fes ouvrages à Lélius & à Scipion
l'Africain, ibid. Pureté de fa morale, 93.
Théâtre de Rome, inférieur à celui d'Athènes, &
pourquoi, 98.

THOMAS, de l'Académie Françoise, invente un
nouveau genre d'éloquence, 409.

Souvent
couronné, 410. Ses imitateurs, 411. N'a

jamais confulté la nature, 413.

THUCYDIDE. Plus exact dans les détails qu'Héro-

dote, 16. Utilité des harangues répandues dans

fon Hiftoire, 17.

TITE-LIVE, Hiftorien le plus parfait des Latins,
144. Reproches qu'on lui fait, 145, 149.
-Devoit-il rejeter les prodiges dont il parle,
50. Sa juftification, 154.

TOURNOIS. Leur célébrité & leur pompe, 262,

264, 266.

Traductions. Leur utilité à la renaissance des Let-
tres en France, 280.

TRAGÉDIE, avant Eschyle. Son caractère, 41.

Latine, fait peu de progrès, 95.

-Françoife, remplace la terreur & la pitié par la
fombre horreur, 433. Ses coups de théâtre trop

multipliés, 434. -Souvent horribles, 436.

Leur

Tragiques Grecs. Leur caractère, 49.-

beauté, furquoi fondée, 48.-Source de leur

mérite, ibid. Modèles toujours à fuivre, 54.

-Tragiques François, qui les ont le plus heu-

reusement imités, 49. Leurs fucceffeurs oubliés,

53.-Tragiques actuels ; ce que l'on en peut

penfer, 345.

TRAJAN. Sageffe & bonheur de fon règne, 210

Faveur qu'il accorde aux Lettres, ibid.

TROUBADOURS. Répandent le goût de la Poéfic &

des Lettres, 259. Profeflion noble 260.

Perfectionnent la langue Romance, 262. Tom-
bent dans le mépris, ibid.

-

V.

VAUDEVILLE. Son origine, 260. dénaturé par
le bel-efprit & le philofophifine, 450. — On
tâche en vain de le ramener fur la scène, 453.
-Ses qualités, ibid.

-

VELLEIUS PATERCULUS, (Hiftorien.) Vil
flatteur de Tibère & de Séjan, n'eft point à
imiter, 163.

Verfificateur, différent d'un Poëte, 449.

VIRGILE. Se fait connoître à la Cour d'Agufte,

118. Moment favorable qu'il choifit,

121,