Oeuvres complettes de M. de Belloy, Volumen3Cussac, 1787 |
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Términos y frases comunes
affez ainfi Altémore armée auffi Avogare avoit bataille bataille de Ravenne Bayard eft befoin Belloy bleffé Breffan Breffe c'eft c'eſt c'étoit Chevalier Bayard cœur combat conferver courage d'Alègre d'Avogare d'Euphémie Duc d'Urbin Duc de Nemours ennemis eſt étoit Euphémie eût fang fans fauver fcène fecond fecours fecret femble fens fent Ferdinand fervices fervir feul fiége foins foit fon père font fous fouvent Françaiſe François fublime fuccès fuis fuivi fujet fur-tout Gafton & Bayard Gafton de Foix GASTON gloire grace Guerriers Héros hommes j'ai jufqu'à jufte Jules l'affaut l'Amour l'armée l'Hiftoire l'honneur laiffer Louis XII Maiſon Milan Milanès Monfieur n'eft n'eſt néceffaire Note de l'Editeur paffe paffions Pape paroît Patrie Peſcaire Pierre de Navarre pleurs Poëte preffant prefque prifonnier Prince raifon Ravenne refte réponſe SCÈNE Seigneur ſes Siége de Calais Soldats Suiffes talens tems Tragédie traître triomphe URBIN vainqueur Vénitiens vertu victoire دو
Pasajes populares
Página 137 - N'avoit pas attendu tous les maux qu'ils m'ont faits: Pour fruit de leurs dédains recueillant notre haine, Tout les abhorre ici; leur nation hautaine Nous croit nés pour servir sous vingt tyrans divers , Et trop heureux encor de préférer ses fers. En vengeant ma maison j'affranchis ma patrie. Le ciel pour les François n'a point fait l'Italie: De quel droit venoient-ils du fond de leurs états Porter dans mes foyers le deuil et le trépas?
Página 116 - BAYARD. Tous les objets sacrés de mon culte suprême , Dieu, la France, l'honneur, l'amitié, l'amour même, De Milan vers ces lieux ont fait voler Bayard ; Mais sans Votre constance il arrivoit trop tard.
Página 285 - Fabrice Colonne, le cardinal de Médicis, légat du pape, Petro Navarre, le marquis de Pesquiere, le marquis de Padule, le fils du prince de Melfe , dom Jean de Cardonne, le fils du marquis de Betonde, qui est blessé à mort, et d'autres dont je ne sçais le nom...
Página 140 - Souvent à se venger mettant sa seule étude, De ce noir sentiment on fait une habitude ; Laissez-vous entraîner par un plus doux penchant. La nature à vos pieds jette un cri si touchant! Hélas! ne changez point pour la tendre Euphémie En un supplice affreux le bienfait de la vie. A l'auteur de mes jours, en sauvant sa vertu, Je rendrai, s'il le veut, plus que je n'ai reçu.
Página 206 - Du peu que je savois j'ai dû vous avertir. Je cours mieux observer ce qu'il faut prévenir. Mon sang se rajeunit encor pour ma patrie ; Je vois tous mes dangers, et compte peu ma vie : Quand un soldat français au péril va s'offrir, Daigne-t-il s'informer s'il peut en revenir? BATARD, avec transport. Français, reprends ton nom. GASTON, au vieillard, en l'embrassant. Oui, tu l'es. Le temps presse : (à Bayant.) Daignez, si je m'emporte, arrêter ma jeunesse; (appelant.
Página 192 - Bayard, la nation réside!... (à l'un des chevaliers en lui montrant les drapeaux.] Lautrec, allez au roi présenter ces drapeaux, Présages de la paix où tendent ses travaux...
Página 304 - Dépouiller l'orphelin qu'il devoit protéger. Ne croyez pas pourtant que mon erreur sinistre Rejette sur l'autel l'opprobre du ministre. Dépend-il en effet des vices d'un mortel De dégrader le nom, les droits de l'Éternel?
Página 145 - Et fit plus de captifs qu'il n'avoit de soldats. ( avec une joie douce.} Chevaliers, je réclame une autre loi chérie: On plaît à la beauté quand on sert la patrie Voyons avec éclat qui de nous en ce jour Saura par plus d'honneur mériter plus d'amour.
Página 117 - De la mollesse altière abattez les lambris, Et changez en remparts leurs utiles débris. Que, derrière vos murs, de profondes tranchées Reçoivent du Gardzo les ondes épanchées. Mes mains vous aideront à ces nobles travaux, Qui vont multiplier, prolonger les assauts. Différons notre perte, et vengeons-la d'avance. De nos derniers soupirs rendons compte à la France.
Página 119 - Ah! je mourrois heureux armé pour son secours! Elle me rend plus chers les périls où je cours ! Mourir pour ce qu'on aime en servant la patrie C'est la plus digne fin de la plus belle vie ! AVOGABE.