Eloges des académiciens morts depuis 1699 jusqu'en 1717M. Brunet, 1742 |
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... Medecine , & . la Pratique fur les Malades de cet Hô- pital . Mais pour l'instruire davantage dans cette Profeffion , il l'envoya à Pa- ris , âgé de 13. ans , & deux ans après le jeune Medecin fut jugé digne par l'Univerfité d'Angers d ...
... Medecine , & . la Pratique fur les Malades de cet Hô- pital . Mais pour l'instruire davantage dans cette Profeffion , il l'envoya à Pa- ris , âgé de 13. ans , & deux ans après le jeune Medecin fut jugé digne par l'Univerfité d'Angers d ...
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... l'exercice de la Medecine , quoiqu'il n'eût ni protec tion , ni cabale , ni art de fe faire va- loir ; fon mérite commençoit déja à lui donner entrée E iij DE M. TAURY . 53 'à cette occafion il fit fon Traité de la ...
... l'exercice de la Medecine , quoiqu'il n'eût ni protec tion , ni cabale , ni art de fe faire va- loir ; fon mérite commençoit déja à lui donner entrée E iij DE M. TAURY . 53 'à cette occafion il fit fon Traité de la ...
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... Medecine de Paris , né le 10 . Janvier 1674. fut destiné d'abord au Barreau , & commença à s'y diftinguer dès l'âge de 22. ans ; mais une inclina- tion naturelle pour la Phifique lui fit quitter cette Profeffion . Il étudia en Medecine ...
... Medecine de Paris , né le 10 . Janvier 1674. fut destiné d'abord au Barreau , & commença à s'y diftinguer dès l'âge de 22. ans ; mais une inclina- tion naturelle pour la Phifique lui fit quitter cette Profeffion . Il étudia en Medecine ...
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... place de Secretaire de l'Academie , il publia fon Traité De Corporum affectioni- bus en 1670. Là , il pouffe la Phifique jufqu'à la Medecine , dont il ne fe con- tente pas d'effleurer les principes . Deux ans après , DE M. DU HAMEL . 133.
... place de Secretaire de l'Academie , il publia fon Traité De Corporum affectioni- bus en 1670. Là , il pouffe la Phifique jufqu'à la Medecine , dont il ne fe con- tente pas d'effleurer les principes . Deux ans après , DE M. DU HAMEL . 133.
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... Medecine même , car fon ardeur de fçavoir embraffoit tout ; & s'il eft vrai qu'une érudition fi partagée foit moins propre à faire une réputation fingu- liere , elle l'eft du moins beaucoup plus à étendre l'Esprit en tous fens , & à l'é ...
... Medecine même , car fon ardeur de fçavoir embraffoit tout ; & s'il eft vrai qu'une érudition fi partagée foit moins propre à faire une réputation fingu- liere , elle l'eft du moins beaucoup plus à étendre l'Esprit en tous fens , & à l'é ...
Términos y frases comunes
abfolument Academiciens Actes de Leipfic affés Aftronomes ainfi auffi auroit avoient avoit befoin Bernoulli c'eft c'eſt Caffini caufe chés Chimie chofes Comete compofé confiderable connoiffances connoître croyoit curiofité deffein déja devoit differentes Dodart efpece efprit Eloge enfuite eſt étoient étoit faifoit falloit fans fanté fçait fçavoir fecond fecours felon femble fent feroit fervir feulement fien fimple foin foit font fous fouvent fuccès fuiv fujet Galilée general Geometrie Guglielmini Hiftoire Homberg Homme infinité jufqu'à Jupiter l'Abbé Bignon l'Academie l'Aftronomie l'efprit l'Hiftoire laiffer Leibnitz Livre lumieres Malebranche maniere Mathematicien Mathematiques matiere Medecine ment Meridienne merite Metaphifique Methode n'avoit n'eft n'étoit nâquit neceffaire Obfervations Ouvrage paffer paffion Païs paroît particuliere penfer penfion perfonne Phifique Philofophie plaifir plufieurs poffible pouvoit prefent prefque premiere Problême Profeffeur propofé raifon refte Sçavans Sciences Siftême tems Tfchirnhaus Theologie Theorie tion Tournefort Vauban Verité viteffe Viviani vouloit vûës
Pasajes populares
Página 502 - Il est vrai qu'il n'ya que ce morceau qui soit de génie, et que le reste n'est que de travail et d'érudition; mais on doit être fort obligé à un homme tel que lui, quand il veut bien, pour l'utilité publique, faire quelque chose qui ne soit pas de génie.
Página 324 - Il ya dans certaines mines très profondes des malheureux qui y sont nés et qui y mourront, sans avoir jamais vu le soleil. Telle est à peu près la condition de ceux qui ignorent la nature, l'ordre, le cours de ces grands globes qui roulent sur leurs...
Página 14 - Si nous voulons opposer curiosité à curiosité, nous trouverons qu'au lieu de ce mouvement qui agite les nations, qui fait naître et qui renverse des États, la physique considère ce grand et universel mouvement qui a arrangé toute la nature, qui a suspendu les corps célestes en différentes sphères, qui allume et qui éteint des étoiles, et qui, en suivant toujours des lois invariables, diversifie à l'infini les effets.
Página 178 - Jamais les traits de la fimple Nature n'ont été mieux marqués qu'en lui, ni plus exempts de tout mélange étranger. Un fens droit & étendu , qui s'attachoit au vrai par une efpèce de fympathie , & fentoit le faux fans le difcuter , lui épargnoit les longs circuits par où les autres marchent ; & d'ailleurs fa vertu étoit en quelque forte un inftinct heureux , fi prompt qu'il prévenoit fa raifon.
Página 184 - Arts fuffiroient feulspour rendre un Règne glorieux, qu'ils étendent la Langue d'une Nation peut-être plus que des Conquêtes , qu'ils lui donnent l'Empire de l'Efprit & de l'Induftrie , également...
Página 178 - ... de trop des bienfaits du roi. Il en a été comblé pendant tout le cours d'une longue vie, et il a eu la gloire de ne laisser en mourant qu'une fortune médiocre. Il était passionnément attaché au roi, sujet plein d'une fidélité ardente et zélée, et nullement courtisan; il aurait infiniment mieux aimé servir que plaire.
Página 21 - Pour cet amas de matériaux , il n'ya que des compagnies protégées par le prince , qui puissent réussir à le faire et à le préparer. Ni les lumières , ni les soins , ni la vie , ni les facultés d'un particulier n'y suffiraient. Il faut un trop grand nombre d.'expériences , il en faut de trop d'espèces différentes , il faut trop répéter les mêmes , il les faut varier de trop de manières , il faut les suivre trop long-temps avec un même esprit.
Página 73 - Une reconnoiflance ingenieufe & difficile à contenter, n'a pu rien imaginer de plus nouveau & de plus noble qu'un pareil Monument.
Página 178 - ... superficielle dont le monde se contente, et qui couvre souvent tant de barbarie ; mais sa bonté, son humanité, sa libéralité lui composaient une autre politesse plus rare, qui était toute dans son cœur.
Página 75 - Il avait cette innocence et cette simplicité de mœurs que l'on conserve ordinairement , quand on a moins de commerce avec les hommes qu'avec les livres, et il n'avait point cette rudesse et une certaine fierté sauvage que donne assez souvent le commerce des livres sans celui des hommes.