leurs défauts.

165

pour de certaines imperfe&tions humža

liantes, que pour des pechez : com-

bien nuit à ceux qui sont sujets aux

troubles la persuasion qu'ils ont de se

bien connoitre.

158

X. Ceux qui font sujets à se troublet

n'en sont pas moins orgueilleux, quoi-

qu'ils parlent de leurs foiblesses do de

161

XI. Necesité de devenir enfant pour

guerir de nos troubles,

163

XII. La plus grande maladie de ceux

qui sont dans le trouble, est d'être atta-

chez à leur propre sens.

XIII. Ils defirent d'être délivrer ;

mais selon leur volonté, & non felon

Pordre de Dieu.

166

XIV. Qu'il est utile de ne pas con

noître l'état de la grace où Dieu nous

170
XV. Il est avantageux d'ignoter ce que

Dieu ne veut pas que nous connois-

fions.

172

XVI. Ne pas chercher à changer for

état ; mais travailler à faire la volon-

té de Dieu dans l'état où nous fomo

173
XVII. Cet état peut être accompagné

de beaucoup de vertus. 174

XVIII. Il n'est pas fans exemple, 175

met.

mes,

171.

Xix. Nous tombons dans la languent

parce que nous nous abandonnons

trop à nos réflexions.

XX. Ne.connoître son coeur que selon

la mesure da en la maniere que Dieu ,

vent que nous le connoissions.

179

XXI. Les troubles nous empêchent de

suivre la volonté de Dieu, door de la

connoître.

180

XXII. Les réflexions de ceux qui se

troublent trop , viennent de la malice

du demon , ayon par confequent il y

faut réfifter.

182

XX111. Il est difficile de guerir les

troubles de l'esprit.

186

XXIV. Les direcheurs doivent avoir

beaucoup d'égard à la foiblesse. des

personnes agisées de ces troubles. 187

XXV. Comme on les fapporte avec

patience , ils doivent se supporter de

même.

190

XXVI. Les hommes doivent beaucoup

plus confiderer la misericorde de Dieu

que sa justice.

XXVII. Exemples de la misericorde

191

200

XXIX. Avoir recours à Dieu avec con-

fiance.

197

XXX. Pour rendre cette confiance utile,

il faut être fidele à s'acquitter de ses
devoirs.

199
XXXI. Combien il est important d'être

attentif à ses devoirs.

XXXII. Déferer aux avis d'un ami

fidele.

202

XÁXIII. Pour guerir de nos fautes,

il faut les voir dans la lumiere de la

verité.

204

XXXIV. Que notre crainte foit fars
troubles.

206

XXXV. Dieu - reçoit à misericorde tous

les pecheurs qui se convertissent. 209

XXXVI. Il faut chercher Dieu dans

le plus fort de nos miseres pour en être

Console.

XXXVII. Se conformer à la volonté

de Dieu, il nous donnera sa paix.

213

Réflexions sus ces paroles de saint Jean :

que votre cæur ne se trouble point.

217

Réflexions sur ces paroles de David :

Je me reposerai, & je dormirai en

paix entre les mains de Dieu. 259

D

Driels

.

V. TRA I TE::

Des fcrupules.

VI. TRAIT E'.
E S scandales que cause le com-

merce trop libre entre les hom-
mes & les femmes, & de la condui.
te des directeurs sur ce jujet.

311

VII. TRAITE'.

E la direction & des pechez ve-

niels.

I. Combien oft dangereuse la liberté que

la plupart des chrétiens prennent de
commettre sans crainte , toute forte de

pechez, pourvû qu'ils ne soient pas

mortels,

11. La même lumiere qui fait connoi-

tre aux chrétiens qu'ils sont oblige?

d'aimer Dieu , les porte à éviter les

moindres fautes.

341

III, Le grand nombre des pechez vr-

niels eft dangereux à ceux qui les ne:

gligent.

344

IV. Combien les peines et les frayeurs

des juftes au sujet de l'impureté, qui

fe méle dans leurs bonnes auvres,

nous oblige de craindre celle de nos

pechez.

347

336

V. Nous avons sujet de craindre que

nos bonnes æuvres ne foient pas telles

ni en fe grand nombre que Dieu les

demande de nous.

350

VI. De la confeffion des pechez ve-

niels.

353

VII. La conduite des ames est un mi-

niftere très-difficile e très-dangereux

à ceux même qui ont le plus de vertu,

357

VIII. On s'engage facilement dans le

peshé quand on ne prend pas assez de

précaution pour l'éviter. 361

IX. Les differens degrez de la cupidité

font la difference des peshez. 368

X. De l'aveuglement des pecheurs, & des

moyens de discerner leur état.

373

XI. De ceux qui s'appliquent aux af-

faires du monde.

378

XII. De la violence qu'il se faut faire

pour éviter le peché.

383

XIII. De la conduite qu'il faut garder

dans la conduite des ames.

388

XIV. Des differens exercices qu'il faut

prescrire aux penitens.

394

XV. Avec quelle application un direc-

teur doit cxaminer les ames qu'il cen-

duit ; & par quel moyen il reconnoi-

tra leurs paffions dominantes. 402

XVI. Des avis qu'on peut donner A**