413

penitens, par rapport à leurs differentes paffions. KVII. Quelle conduire les Confeffeurs doivent tenir à l'égard de leurs peni

tens.

424

XVIII. De la connoiffance qu'on doit avoir de fes propres fautes; & combien on fe trompe dans le qu'on en fait.

jugement

429

XIX. Les directeurs ne doivent pas defefpere facilement de la converfion de leurs penitens, ni les penitens fe pre

venir contre les directeurs.

438

XX. De la confeffion, & des moyens de

la rendre utile.

Conclufion de ce traité.

VIII.

444

460

TRAIT E’.

ibid.

fon cœur, & en confiderant avec vigilance tous fes mouvemens. CHAP. II. Neceffité de veiller fur no's actions & fur nos paroles, pour bie n connoire le fond de notre cœur. 480

CHAP. III

CHAP. III. Difference des maladies de

l'ame d'avec celles du corps. 492

CHAP. IV. L'attention à la loy de Dieu

éclaire nos tenebres, & la pratique

des vertus Les imprime peu à peu dans

497

notre cœur.

CHAP. V. Combien la crainte chrétien-

ne eft utile pour nous conduire à la

penitence, pour arrêter le cours de nos

peche, pour nous en faire gemir..
&

498

CHAP. VI. De la neceffité de craindre

& de gemir dans la vue des tenta-

tions qui nous environment. 509

Tentations qui fe rencontrent dans le

boire & le manger, & les autres ne-

ceffitez de la vie.

SII

Tentations qui naiffent des aufteritez in-

difcrettes.

513

Tentations de la curiofité.

514

dans la

Tentations qui fe rencontrent

focieté que nous avons les uns avec les

autres.

516

Nous trouvons des tentations très-dan-

gereufes dans l'exercice même des bon-

nes œuvres.

519

Le danger où nous mettent les tentations

nous oblige d'avoir recours à Jefus-

Chrift qui a voulu être tenté,&

être victorieux, pour nous faire pars

Tome I.

de fes victoires.

X. TRAITE.

De la converfion des mœurs.

XI. TRAITE.

DE la frequente confeffion.

521

524

562

Combien il eft dangereux d'abufer de la

confeffion, & de fe la rendre inutile. $79.

De certaines perfonnes que Dieu con

ferve dans une grande innocence; &

qu'il fanctifie même fans qu'elles re-

çoivent aucun fecours de la part des

hommes.

Du malheur des ames, qui étant toutes

remplies de tenebres & de foibleffes

trouvent des conducteurs aveugles &

corrompus.

XII. TRAITE.

CHAP. I.

581

589

DE nion.

E la fainte Commu-

1

596

601

CHAP. II. Combien nous devons aimer

Jefus-Chrift quand nous le recevons

dans l'Euchariftie.

CHAP. III. Comment fe peut accorder

L'extrême foibleffe où nous sommes tou-

jours en cette vie, avec la grande

604

perfection que l'on doit avoir pour

communier avec fruit.

CHAP. IV. Sentiment de faint Fran-

çois de Sales, fur la neceffité d'ai-

mer Dieu pour communier avec fruit.

609

612

616

CHAP. V. Quelles marques on peut avoir

que l'on a la charité.

Effet de la fainte communion.

Se préparer à la fainte communion en

s'acquittant de fes devoirs. 620

N'avoir que Dieu pour but dans fes

communions.

621

622

Une feule communion faite faintement eft

preferable à plufieurs faites aves ne-

gligence.

Le pain de Jefus-Chrift n'est que pour

les fains; les malades doivent cher-

cher une autre nourriture.

623

625

Les perfonnes qui communient ne doivent

pas juger celles qui ne communient

pas.

Quelques perfonnes fe fanctifient par le

frequent ufage de l'euchariftie; quel-

ques autres en s'en approchant rare-

ment.

627

pour tra-

Qu'il eft utile de fe priver quelquefois

de la fainte communion

vailler à guerir quelque peché d'atta-

che.

628

Les perfonnes qui communient rarement ne doivent pas s'élever au-deffus des

autres.

630

Il eft difficile de fçavoir fi on a de l'attache au peché veniel, ou fi on n'y en

638

Préfomtion d'efprit.

Demeurer long-tems & avec plaisir dans une faute, marque de l'attache. 639 Le defir de communier peut être bon, é peut être mauvais.

641

Réflexions fur ces paroles de faint Luc: Efforcez-vous d'entrer par la

porte

étroite.

644

Fin de la table du premier Volume?