Memoires pour l'histoire des sciences et des beaux arts ..., Volumen2S.A.S, 1730 |
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Términos y frases comunes
acide affés Aftronomes ainfi ajoûte Anel Arifte artéres auffi Auteur avoit c'eft c'eſt Caligule Cataractes caufe chés chofe conféquence confidérable connoître cuivre Cycloïde derniére difcours differentes Differtation donne Edition efpéce efprit enfuite eſt étoient Etoiles étoit Eudoxe faignée du bras fang fans fçait fçavoir fe trouve feconde felon femblables femble fens fent feroit fervir feulement fiécle Fiftule fimple fleur foient foit folide font fous fouvent fruit fuivant fujet fuppofe fyftême Journal des Sçavans jufqu'à jufques l'Auteur l'efprit l'Hiftoire Lacrimal laiffe leffive lumiére maniére Marcaffite matiére ment métal Mignard Mode Monfieur n'eft n'eſt n'étoit Nardò néceffaire obfervations oppofé paffage paffe paffion pain azime penfe perfonnes Phrygien Phyfique plantes plufieurs plûtôt pofé pré préfent prefque prémier prémiére propofitions Ptolemée puiffe puifque queftion raifon refte révulfion s'eft Suétone Sylva tems terre teur tion toûjours Trevoux troifiéme vaiffeaux vitriol دو رو
Pasajes populares
Página 969 - L'homme adroit y emploie pour armes les stratagèmes de l'intention. Il ne fait jamais ce qu'il montre avoir envie de faire; il mire un but, mais c'est pour tromper les yeux qui le regardent. Il jette une parole en l'air, et puis il fait une chose à quoi personne ne pensait. S'il dit un mot, c'est pour amuser l'attention de ses rivaux; et, dès qu'elle est occupée à ce qu'ils pensent, il exécute aussitôt ce qu'ils ne pensaient pas.
Página 677 - Remarques sur les abus des purgatifs et des amers au commencement et à la fin des maladies, et sur l'utilité de la saignée dans les maladies des yeux, dans celles des vieillards , des femmes et des enfants , etc., Paris, 1729, in-12, IX.
Página 732 - ... il y en a un autre plus délicat qui règle en quelque façon tous les pas qu'on doit faire , & qui n'abandonne rien aux caprices du génie même. Il confifte à ranger tellement ce qu'on a à dire , que du commencement à la fin , les chofes fe fervent de préparation les unes aux autres ; & que cependant elles ne paroiflent jamais dites pour rien préparer.
Página 664 - intelligent penfe , il forme les » defleins les mieux concertés , » il les exécute. La Matiére ne » penfe pas. Si la Matiére , qui » dans fon état naturel , n'eft que >» de l'étendue , penfoit , l'cten; » due penferoit ; & l'étendue ne » penfe point. Autrement , la » penfée feroit une maniére d'ê»tre , une modification de l'éten» due ; par conféquent la penfée » feroit de l'étendue modifiée.
Página 724 - La différence que je trouve entre les jeux de mots & les jeux d'efprit , c'eft que dans les uns on abufe de la reflemblance des termes , pour unir enfemble des idées qui n'ont point de raport, ce qui ne peut jamais être qu'un vuide de fens & de raifon; au lieu que le vice des jeux d'efprit n'eft pas de manquer de fens ; mais feulement de...
Página 740 - D'où viendroit cette obligation de changer de goût dans une chofe arbitraire , & qui fait plaifir dans l'état où elle eft ? Les Tragédies...
Página 792 - Sens commun , la difpofuion que la nature a mife dans tous les hommes , ou manifeftement dans la plupart d'entr'eux , pour leur faire porter , quand ils ont atteint l'ufage de la raifon , un jugement commun & uniforme, fur des objets différens du fentiment intime de leur propre perception ; jugement qui n'eft point la conféquence d'aucun principe antérieur.
Página 648 - Mit fionnaire qui l'a vu dans l'Abiflînie ^ c'eft un Arbre dont les feuilles font fi grandes , que deux fuffifent pour couvrir un homme.On en tapiflèleschambres ; & le verd en eft très-beau.