Les trois siècles de la littérature françoise ou Tableau de l'esprit de nos écrivains: depuis François I jusqu'en 1779, par ordre alphabétique, Volumen2Paris, [sold by] Moutard, 1779 |
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... Lettres . Il auroit pu leur être utile , s'il fe fût un peu défié de la dé- mangeaifon de tout expliquer & de tout admirer , Sa Traduction d'Horace n'eft guere eftimable que par les Remarques qui l'accompagnent ; parmi un grand nombre ...
... Lettres . Il auroit pu leur être utile , s'il fe fût un peu défié de la dé- mangeaifon de tout expliquer & de tout admirer , Sa Traduction d'Horace n'eft guere eftimable que par les Remarques qui l'accompagnent ; parmi un grand nombre ...
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... Lettres , fes Inftructions pour l'éducation de fon fils , font autant de monumens qui renferment , chacun ' en particulier , une raison supérieure , des traits brillans dont fe forme un grand corps de lumiere qui éclaire l'efprit autant ...
... Lettres , fes Inftructions pour l'éducation de fon fils , font autant de monumens qui renferment , chacun ' en particulier , une raison supérieure , des traits brillans dont fe forme un grand corps de lumiere qui éclaire l'efprit autant ...
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... Lettres de Berlin , né à Paris en 17 .. Il paroît avoir plus de goût pour les Lettres , que d'ardeur à les cultiver . Quelques morceaux de Poéfies de Pope , qu'il a traduits avec autant d'élégance que de force & de précision , font con ...
... Lettres de Berlin , né à Paris en 17 .. Il paroît avoir plus de goût pour les Lettres , que d'ardeur à les cultiver . Quelques morceaux de Poéfies de Pope , qu'il a traduits avec autant d'élégance que de force & de précision , font con ...
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... Lettres ; fes confeils ne leur étoient jamais refufés . C'eft fans doute en conféquence de ce zele connu , qu'un jeune homme alla un jour le confulter fur une Elégie qu'il avoit compofée fur les difgraces de fa Maîtreffe . L'Elégie ...
... Lettres ; fes confeils ne leur étoient jamais refufés . C'eft fans doute en conféquence de ce zele connu , qu'un jeune homme alla un jour le confulter fur une Elégie qu'il avoit compofée fur les difgraces de fa Maîtreffe . L'Elégie ...
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... Lettres de Marfeille , Affocié des Académies de Toulouse & de Rouen , né à 、 Aix en Provence , en 1700 . Il a furvécu à beaucoup de fes Ouvrages ; mais fes Mémoires fur le Coftume des Anciens méritent de lui furvivre , & on peut ...
... Lettres de Marfeille , Affocié des Académies de Toulouse & de Rouen , né à 、 Aix en Provence , en 1700 . Il a furvécu à beaucoup de fes Ouvrages ; mais fes Mémoires fur le Coftume des Anciens méritent de lui furvivre , & on peut ...
Contenido
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Términos y frases comunes
Abbé adreffe affez ainfi auffi auroit Auteur avoit Boileau c'eft c'eſt chofes compofé connoiffances connoître critique défauts Diderot Difcours diftinguée écrit Ecrits Ecrivains efprit eft vrai eftimable eſt étoit eût Fables fagacité fage fans doute fe font feconde fenfible fentimens fentir feroit fervir fes Ouvrages fes Poéfies fes talens feul fiecle fimple foit folide fous fouvent François ftyle fuccès fujet fur-tout génie genre gloire goût grace Henriade Hiftoire homme inftructions intéreffant Jéfuite Journal des Savans Journaliſtes jufte juger l'Abbé l'Académie Françoiſe l'Année Littéraire l'Auteur l'efprit l'Hiftoire laiffé Langue Latin Lecteur Lettres littéraires Littérateurs Littérature Loix Louis Louis XIV lumieres maniere médiocres mérite mort Mufe n'eft n'eſt n'étoit Obfervations paffer paroît penfées perfonne Philofophie Pieces plufieurs Poëme Poëte préciſion préfent prefque premiere Productions puifer raifon refforts refte Religion s'eft Satyres ſes ſon ſtyle teur Théatre tion Traduction Tragédies traits verfification vérité Voltaire vrages ככ
Pasajes populares
Página 376 - C'est par là que les rois sont semblables aux dieux. Du magnanime Henri qu'il contemple la vie : Dès qu'il put se venger, il en perdit l'envie.
Página 249 - ... vivacité d'expression qu'on cherche dans les ouvrages , et qui les font durer. Je ne sais point s'il passera à la postérité; mais il faudra pour cela qu'il ressuscite, puisqu'on peut dire qu'il est déjà mort, n'étant presque plus maintenant lu de personne.
Página 161 - La féduction eft fi forte , qu'on croit voir tout ce qu'on ne fait que lire ou qu'entendre : avec un livre à la main vous êtes...
Página 250 - Allez, honneurs, plaisirs, qui me livrez la guerre : Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre; Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Página 375 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
Página 141 - Peintre tout à la fois plus vigoureux , plus tendre , plus animé , plus fécond , plus varié , plus naturel & plus vrai que Fénélon \ L'Eloquence peint fans doute ; mais dira-t-on pour cela qu'un Orateur foit Poëte ? Ce qui diftingue la Poéfie de l'Eloquence , c'eft la fiction , la vivacité des figures , la hardiefle de l'expreffion , la richefle & la multiplicité des images , l'enthoufiafme , le feu, l'im-' pémofité , les divers eflbrts du génie.
Página 306 - Il fe eontentoit de gémir , dans le fein de l'amitié , de l'extravagance & des excès de tant de Maniaques qui fe faifoient gloire de l'avoir pour Confrere. On ne peut donc que le plaindre d'avoir eu le courage de paroître Philofophe, avec tant de rifques ; & la foiblefle de n'ofer cefler de l'être , avec tant de moyens d'aflurer fa gloire par d'autres bons Ouvrages qu'il étoit capable de donner.
Página 310 - Rien ne nous asservit comme la Renommée. On perd bien du repos pour faire un peu de bruit; Et ce bruit ne vaut pas la peine qui le suit. Pour moi, je ne...
Página 311 - J'en accufois fur-tout les plaifirs amoureux , Comme les plus légers & les plus dangereux ; Je voyois qu'à la fin tous les cœurs s'en dégoûtent, Ou par les maux qu'ils font ou par les biens qu'ils coûtent , Et me reflbuvenant de ce qu'ils m'ont coûté ,, . Je m'en croyois...
Página 144 - qui aspirent à être heureux. Ce poème épique, quoi» qu'en prose, met notre nation en état de n'avoir rien » à envier de ce côté-là aux Grecs et aux Romains.