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Andes de Chine, me 1g, page 1.

Tearnai des Nnes, tome 13, page 39.

1107. « On emploie ordinairement, dans cette opération (disent << Jars et Duhamel), toutes les rognures des ouvrages en acier. On a des << fourneaux en terre semblables à ceux dont on fait usage pour le laiton, << mais ils sont beaucoup plus petits, et reçoivent l'air par un canal << souterrain. A l'embouchure qui est carrée et à la surface de la terre, « il y a un trou contre un mur où monte un tuyau de cheminée. Ces <«< fourneaux ne contiennent qu'un grand creuset de 9 à 10 pouces de <«< haut sur 6 à 7 de diamètre. On met l'acier dans le creuset avec un <«< flux dont on fait un secret, et l'on place le creuset sur une brique « ronde, posée sur la grille. On a du charbon de terre, réduit en coak, qu'on met autour du creuset, et dont on remplit le fourneau; on y << met le feu et on ferme entièrement l'ouverture supérieure du fourneau, << avec une porte faite de briques, entourée d'un cercle de fer; la flamme << enfile le tuyau de la cheminée.

« Le creuset est cinq heures dans le fourneau, avant que l'acier soit << parfaitement fondu. On a des moules carrés ou octogones, faits en << deux pièces de fer coulées, on les met l'un contre l'autre, et l'on verse << l'acier par l'une des extrémités (1) ». Jars et Duhamel ont vu des lingots de cet acier coulé qui ressemblait au fer de gueuse. On étend cet acier au marteau, comme on fait pour l'acier boursoufflé, mais on le chauffe moins et avec plus de précaution, parce qu'il risquerait de se briser.

1108. Quoique ce procédé soit extrêmement détaillé, il paraît cependant n'avoir, pendant long-temps, été exécuté en France que par les frères Poncelet (2). Tous ceux qui l'ont essayé ont éprouvé trois sortes

(1) Avant d'enlever le creuset, on a soin de boucher hermétiquement la porte du cendrier, pour empêcher l'air d'entrer on ferme également les portes de l'atelier, afin qu'il ne s'y établisse aucun courant d'air.

On recouvre de sable l'acier fondu, aussitôt qu'il a été versé dans la lingotière. (Note de M. Mollard.)

(2) Les frères Poncelet, qui ont établi à Liége, avec beaucoup de succès, une fabrique considérable d'acier fondu qui fournit à la France une grande partie des aciers qui lui sont nécessaires, font usage de flux. Les creusets dont ils se servent ont 6 pouces de

en obtenir la substance à laquelle on avait donné le nom d'acier fondu; ce qui nous conduira à diviser en trois paragraphes l'art d'obtenir de l'acier fondu : 1o avec de l'acier; 2o avec du fer; 3° avec de la fonte.

Il paraît que l'art de fondre le fer pur, dans des creusets, était connu à l'époque où les Anglais liquéfiaient leurs fragments d'acier pour en obtenir de l'acier fondu; car M. Caton rapporte, dans son ouvrage sur l'empire Ottoman, qu'un Arabe (1), à Constantinople, avait trouvé l'art de fondre le fer, de manière à le rendre aussi malléable, au sortir du moule, que l'est le fer forgé; on s'est assuré, dans un grand nombre de circonstances, que le fer refondu peut toujours être forgé avec assez de facilité (2).

De la fusion de l'acier pour en obtenir de l'acier fondu.

1106. La première description de l'art de fabriquer l'acier fondu, qui nous ait été donnée, est celle qu'ont publiée Jars et Duhamel dans leur voyage métallurgique (3). Elle a été copiée ensuite par l'inspecteur des mines, Duhamel, dans l'Encyclopédie par ordre de matières; par les anciens académiciens français, Monge, Vandermonde, et Berthollet, dans leur avis aux ouvriers en fer sur la fabrication de l'acier (4). M. Thomas-Pierre Smith, de Philadelphie, a décrit de nouveau ce procédé (5), après avoir observé et suivi tous les détails pratiqués dans ce travail.

(1) Bibliothèque Britannique, tome 10, page 272. (2) Journal des Mines, tome 13, page 422.

Nous avons rapporté (nos 16 et 177) les expériences que nous avons faites, et qui prouvent également que le fer peut, après avoir été fondu sans addition, sortir du creuset avec la propriété d'être martellé, et de s'étendre lorsqu'on le comprime; l'inspecteur général des mines, Gillet-Laumont, nous a fait voir des échantillons de fer de Suède, dans lesquels se trouvaient des lingots de fer fondu très-malléable. (3) Tome 1, page 257.

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(4) Annales de Chimie, tome 19, page 1.

15) Journal des Mines, tome 13, page 59.

ces fragments, nous paraît trop longue, le temps qu'on doit employer dépend de la température du foyer. M. Smith n'a trouvé cette durée que de trois heures dans le travail qu'il a suivi dans les environs de Sheffield, et dans lequel on fondait environ 25 livres de métal à-la-fois. En général, plus le creuset reste de temps au feu, plus le fer agit sur les terres dont il est formé, et plus il court la chance de se fondre.

Nous devons le répéter, il est essentiel que le creuset soit construit d'une terre bien réfractaire, et qu'il puisse facilement passer d'une température à une autre sans se gercer, ni se rompre. Les Anglais font usage de creusets noirs d'Ypse, en Allemagne ; ils les emploient de préférence à tous autres dans cette opération. En France, on liquéfie la fonte dans des creusets de Picardie, et l'on peut traiter l'acier dans les mêmes creusets (1).

1112. Si l'on en croit le rapport des personnes qui ont essayé de fondre de l'acier, la plus grande difficulté qu'elles ont éprouvée, c'est de trouver un flux approprié à leur opération, et ce secret que Jars dit que l'on faisait de ce flux, lorsqu'il visita les aciéries anglaises, a encore augmenté leur difficulté. L'objet principal du flux, celui qu'on lui attribue, c'est de recouvrir l'acier pour l'empêcher de s'oxider; mais ici tous les verres terreux, qui se fondent à une température moindre que

(1) Les frères Poncelet fabriquent eux-mêmes leurs creusets; ils font usage des terres argileuses pures, des Ardennes, qu'ils préparent comme les verriers, et ils les travaillent en formant des torrons de cette terre, qu'ils appliquent les uns sur les autres, comme le pratiquent les potiers des verreries. L'inspecteur des travaux de la forge de Kaiserlautern, Vandenbroeck, propose de fabriquer ces creusets par compression, par le moyen de deux moules qui entrent l'un dans l'autre, en ne laissant entre eux que l'espace que la terre doit occuper; enfin, en employant la méthode dont les essayeurs des mines et des monnaies font usage pour fabriquer leur coupelle d'essai. M. Vandenbroeck annonce que des creusets fabriqués avec de la terre de Gevonsart, à 3 kilomètres de Namur, et qu'il regarde comme une des meilleures pour fondre des métaux, ont pu faire vingt fontes de suite. Voyez, à ce sujet, le rapport de l'inspecteur général des mines, GilletLaumont, à la Société d'encouragement des arts et métiers, dixième année, septembre 1811, page 231.

de difficultés: 1° dans les fourneaux qui chauffent; 2° dans les creusets qu'on emploie; 3o dans les flux avec lesquels on fond l'acier.

1109. Depuis long-temps on fond, en France, du régule de fer dans des creusets; nous avons décrit, à l'article fonte moulée, les différents fourneaux dont on fait usage pour chauffer le fer cru, ainsi que les creusets dans lesquels on le fond. Quoiqu'il faille réellement une température un peu plus élevée pour fondre les fragments d'acier que pour liquéfier la fonte, on peut cependant employer, avec succès, les fourneaux et les creusets qui servent à la liquéfaction de cette der

nière.

1110. D'après les expériences de sir George Mackenzie, on voit que le fer exige, pour être fondu, une température de 158° du pyromètre de Wedgwood. La fonte se liquéfie à une température de 130° de ce même pyromètre; l'acier, moins fusible que la fonte, et plus fusible que le fer, doit se liquéfier à une température qui n'a pas encore été déterminée, mais qui doit être entre ces deux limites, ainsi 140° environ. III. On se sert quelquefois, en Angleterre, pour fondre de l'acier dans des creusets, d'un fourneau de fusion ellipsoïdal A, (planche 60) imaginé par l'illustre Lavoisier, et décrit dans son Traité Elémentaire de Chimie (1).

La durée de cinq heures, indiquée par Jars et Duhamel, pour fondre

diamètre, et 13 pouces de hauteur; ils contiennent 25 livres d'acier environ, avec le flux qui doit le couvrir. Les fourneaux dans lesquels ils chauffent leur creuset, ont une forme prismatique, et sont à courant d'air, comme les fourneaux ordinaires des fondeurs de cuivre. Lorsque l'air est sec, et qu'il fait froid, il faut environ sept heures pour fondre; quand le creuset permet de faire une seconde fusion, celle-ci ne dure que six heures.

En général, l'acier se fond plus promptement dans un temps sec et froid, que dans un temps chaud et humide; il arrive même quelquefois, dans l'été, lorsque le temps est humide, que l'on ne peut obtenir une température assez forte pour faire entrer l'acier en fusion.

(1) Page 241.

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