Œuvres complètes de Voltaire: Notice sur Voltaire. ThéatreHachette, 1859 |
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Página 504 - Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Página 309 - Quoi ! fille de David , vous parlez à ce traître! Vous souffrez qu'il vous parle ! et vous ne craignez pas Que du fond de l'abîme entr'ouvert sous ses pas II ne sorte à l'instant des feux qui vous embrasent , Ou qu'en tombant sur lui ces murs ne vous écrasent? Que veut-il? de quel front cet ennemi de Dieu Vient-il infecter l'air qu'on respire en ce lieu ? MATHAN.
Página 309 - Où suis-je ? De Baal ne vois-je pas le prêtre ? Quoi ! fille de David, vous parlez à ce traître ? Vous souffrez qu'il vous parle ? Et vous ne craignez pas Que, du fond de l'abîme entr'ouvert sous ses pas, Il ne sorte à l'instant des feux qui vous embrasent...
Página 531 - Chantilly Condé les souffre quelquefois ; Qu'Enghien en soit touché; que Colbert et Vivonne, Que La Rochefoucauld, Marsillac, et Pomponne, Et mille autres qu'ici je ne puis faire entrer, A leurs traits délicats se laissent pénétrer? Et, plût au ciel encor, pour couronner l'ouvrage, Que Montausier voulût leur donner son suffrage...
Página 451 - Sitôt que d'Apollon un génie inspiré Trouve loin du vulgaire un chemin ignoré, En cent lieux contre lui les cabales s'amassent; Ses rivaux obscurcis autour de lui croassent ; lit son trop de lumière, importunant les yeux, De ses propres amis lui fait des envieux. La mort seule ici-bas, en terminant sa vie, Peut calmer sur son nom...
Página 109 - Ce qu'on ne doit point voir , qu'un récit nous l'expose : Les yeux en le voyant saisiraient mieux la chose ; Mais il est des objets que l'art judicieux Doit offrir à l'oreille et reculer des yeux.
Página 309 - C'est une absurdité insupportable de supposer qu'elle veuille élever Joas chez elle pour s'en défaire; c'est pourtant sur cette absurdité que le fanatique Joad assassine sa reine. «Je l'appelle hardiment fanatique, puisqu'il parle ainsi à sa femme (à cette femme assez inutile dans la pièce), lorsqu'il la trouve avec un prêtre qui n'est pas de sa communion : Quoi!
Página 556 - César, car le destin, que dans tes fers je brave, Me fait ta prisonnière et non pas ton esclave, Et tu ne prétends pas qu'il m'abatte le cœur Jusqu'à te rendre hommage, et te nommer seigneur...
Página 529 - C'est aux rois, c'est aux grands, c'est aux esprits bien faits, A voir la vertu pleine en ses moindres effets; C'est d'eux seuls qu'on reçoit la véritable gloire ; Eux seuls des vrais héros assurent la mémoire.
Página 556 - Qu'il coure dans ses vers de merveille en merveille, Et que tout ce qu'il dit, facile à retenir, De son ouvrage en nous laisse un long souvenir.