EUDOX E A ARIST E. Eudoxe, qui ne peut quitter Paris, Philofophiques. Il louë la Phyfi- que & le goût d' Arifte pour elle. Mais il lui infinuë que ja préven- tion va trop loin ; & qu'en re- chofes, il verroit avec plaisir. dans la Phyfique Ancienne, l'O- rigine de la Phyfique Nouvelle. 9 ARISTE A EUDOXE, Arifte s'offre à remonter jufqu'a l'O- EUDOXE A ARIST E. ports de l'Ancienne & de la Nou velle,comme il faut parler des principaux Phyficiens, foit Anciens foit Modernes,on en promet l'idée, les caractéres, la fuite. V. LETTRE. 19 EUDOXE A ARISTE. L'Idée, les Caractéres, la Suite des principaux Phyficiens, foit Anciens, foit Modernes. VI. LETTRE 64 Arifte eft bien-aife de connoître les Phyficiens, & d'étre en état de les placer, chacun à son rang, & dans fon fiécle. Mais ne pouvant s'imaginer que la Phyfique Nouvelle ait beaucoup de chofes de l'Ancienne, il promet la peinture de celle-là, & défie d'en montrer bien des traits dans celleci. 165 EUDOXE A ARISTE. On fuppofe une peinture de la Phyfique Nouvelle tracée par Arifte. Eudoxe commence à faire voir les traits que cette peinture a de la Phyfique Ancienne; ce que l'une a de l'autre fur les principes des Corps, la Porofité, la Matiére, la Forme, le Vuide. le Mouvement, la Sphère, la Terre, les Minéraux, l'Aiman ? la Pefanteur, l'Air, l'Hydrof tatique, le Feu, la Chaleur les Fermentations, les Feux foûterrains, les Eaux, la Mer, le Flux & le Reflux, l'Origine des Fontaines, &c. VIII. LETTRE. 169 Rapport de la Physique Ancienne; & de la Phyfique Nouvelle fur la Méchanique & le jeu du Corps humain, fur l'origine des Nerfs fur le Principe des Mouvemens fur la circulation du Sang, fur les fens, fur la Lumiére, fur les Couleurs, &c. 235 I X. LETTRE. EUDOXE A ARIST E. Reffemblance de la Phyfique Ancienne & de la Phyfique Nouvelle fur ce qui regarde les Animaux les Plantes téores. les Mé Fin de la Table des Lettres du premier Tome. L'ORIGINE |