Histoire de France, Volumen12 |
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... catholiques ; il se lança hardiment dans les gran- des questions de la grâce , du libre arbitre et de la prédesti- nation , il travailla ouvertement à renverser les fondements de l'Eglise existante pour en élever une autre sur ses ...
... catholiques ; il se lança hardiment dans les gran- des questions de la grâce , du libre arbitre et de la prédesti- nation , il travailla ouvertement à renverser les fondements de l'Eglise existante pour en élever une autre sur ses ...
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... catholiques sa nouvelle di- gnité , « < afin , leur écrivait - il , qu'ils ne pussent en prétendre « < cause d'ignorance . » En vertu de cette mission il nomma des pasteurs et des évêques , supprima et institua des céré- monies et ...
... catholiques sa nouvelle di- gnité , « < afin , leur écrivait - il , qu'ils ne pussent en prétendre « < cause d'ignorance . » En vertu de cette mission il nomma des pasteurs et des évêques , supprima et institua des céré- monies et ...
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... catholiques et les protestants un tiers - parti , composé de seigneurs ambi- tieux et intrigants , qui abusaient des embarras de la royauté pour se faire donner des gouvernements et des pensions , mettant à prix leur fidélité vacillante ...
... catholiques et les protestants un tiers - parti , composé de seigneurs ambi- tieux et intrigants , qui abusaient des embarras de la royauté pour se faire donner des gouvernements et des pensions , mettant à prix leur fidélité vacillante ...
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... catholiques , et la question , ainsi engagée dès l'origine , était soutenue dans cet esprit de domination et de ... catholique dans le Béarn ; ce culte était supprimé partout où les protestants étaient les maîtres ; ce fut Henri IV qui ...
... catholiques , et la question , ainsi engagée dès l'origine , était soutenue dans cet esprit de domination et de ... catholique dans le Béarn ; ce culte était supprimé partout où les protestants étaient les maîtres ; ce fut Henri IV qui ...
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abbe Antoine Eugene de Genoude. Les alarmes de la France catholique et l'énergie de sa résis- tance armée se trouvèrent ... catholiques français à tout sacrifier pour éviter d'aussi grands malheurs . Les Guise trou- vèrent donc toute ...
abbe Antoine Eugene de Genoude. Les alarmes de la France catholique et l'énergie de sa résis- tance armée se trouvèrent ... catholiques français à tout sacrifier pour éviter d'aussi grands malheurs . Les Guise trou- vèrent donc toute ...
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Términos y frases comunes
Albert de Brandebourg armée armes assiégés avaient bataille Bonnivet Bourbon c'était camp cardinal cardinal de Lorraine Catherine Catherine de Médicis catholiques chancelier CHAPITRE Charles Charles-Quint château chefs çois Coligny commandement comte d'Enghien comte de Saint-Pol connétable conseil cour d'Angleterre dauphin défense devait donna Doria duc d'Orléans duc de Guise duchesse d'Etampes ennemis envoya Etats faisait Ferdinand de Gonzague fils firent force Fran François Ier frère fût garnison général gloire gouvernement guerre Henri VIII impériaux jours l'amiral l'armée l'avait l'Eglise l'em l'empereur laissa Lautrec liberté ligue Lorraine maréchal Marie Médicis mée ment Milanais mille hommes monarque Montmorency mort mourut n'avait n'était Navarre paix pape passer pereur Pescaire Philippe Pierre de Navarre place politique pouvait prince d'Orange prince de Condé prisonnier prit protestants puissance règne reine religion rendre reste Rome royaume de Naples s'était secours sentiments seul Sforce siége soldats sortir succès tion traité troupes trouver Vénitiens voulait voulut
Pasajes populares
Página 288 - Et tout ce dégât, ce malheur, cette ruine vous vient, non pas des ennemis, mais bien certes de l'ennemi, et de celui que vous faites si grand qu'il est, pour lequel vous allez si courageusement à la guerre, pour la grandeur duquel vous ne refusez point de présenter à la mort vos personnes. Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre infini de vos villes ; sinon qu'il a plus que vous tous...
Página iv - Bâie, où la réformatiou fut malheureusement éludce, et l'Église replongée dans de nouvelles divisions. Le cardinal Julien représentait à Eugène IV les désordres- du clergé, principalement de celui d'Allemagne. « Ces désordres, lui disait-il, excitent la haine du peuple contre tout l'ordre ecclésiastique ; et si on ne les corrige, on doit craindre que les laïques ne se jettent sur le clergé, à la manière des hussites comme ils nous en menacent hautement.
Página 274 - Si je suis en repos Sommeillant sur ma couche, J'oy qu'il me tient propos, Je le sens qui me touche : En labeur, en recoy Tousjours est près de moy.
Página 288 - ... des meubles anciens et paternels! vous vivez de sorte, que vous pouvez dire que rien n'est à vous; et sembleroit que meshuy ce vous seroit grand heur, de tenir à moitié...
Página 288 - Pauvres gents et miserables, peuples insensez, nations opiniastres en vostre mal, et aveugles en vostre bien, vous vous laissez emporter devant vous le plus beau et le plus clair de vostre revenu, piller vos champs, voler vos maisons, et les despouiller des meubles anciens et paternels ! vous vivez de sorte , que vous pouvez dire que rien n'est à vous; et sembleroit que meshuy ce vous seroit grand heur, de tenir...
Página 254 - Phebus bien souvent je desire, Non pour congnoistre herbes divinement, Car la douleur qui mon cueur veult occire Ne se guerist par herbe aucunement; Non pour avoir ma place au firmament, Car en la terre habite mon plaisir; Non pour son arc encontre Amour saisir, Car à mon Roy ne veulx estre rebelle : Estre Phebus seulement j'ay desir, Pour estre aymé de Diane la belle.
Página 220 - Ier , dit : cc qu'il mourut avec tant de piété et de « constance , que , comme le souffle lui échap • « poit , il répéta à plusieurs reprises le nom de « Dieu , et lorsqu'il n'eut plus de voix , il fit « encore de ses doigts le signe de la croix sur son « lit. On assure qu'il recommanda à son fils qui...
Página 289 - Ce sont ceux qui, ayant la tête, d'eux-mêmes, bien faite, l'ont encore polie par l'étude et le savoir. Ceux-là, quand la liberté serait entièrement perdue, et toute hors du monde, l'imaginent...
Página 494 - Navarre, ne voulut jamais les croire; qu'il répondit toujours qu'il aimoit mieux mourir, et être traîné par les rues de Paris, que de recommencer la guerre civile, et de donner lieu de penser qu'il eût la moindre défiance du Roi, qui depuis si peu de temps l'avoit reçu dans ses bonnes grâces.
Página 214 - d'un despotisme si outré, ni d'un abandon si lâche des parlements, tant sur le spirituel que sur le temporel, aux bizarreries d'un prince, qui, à force d'autorité, ne savait plus que faire de sa volonté, et parcourait lous les contraires. Mais on lui passait tout en faveur de sa haine pour le Saint-Siège (1).