Traité de la culture des terres, Volumen3H.L. Guerin, 1754 |
Términos y frases comunes
affez Aimen ainfi ainſi année arpents auffi auroit avoient avoines avoit ayent boiffeaux bours c'eft c'eſt caufe champ charrue Châteauvieux chaux cilindre confidérable cultivé fuivant deffus déja derniere Diancourt diſtance divifées enfemencer enfuite épis eſt étoient étoit expériences faifons fans fe trouve féchereffe feconde felon femailles femée à l'ordinaire femer en plein femoir fent fera feront fervir feul feur fillons fimples foin foit font foupapes fouvent froment fuccès fuivant la nouvelle fuivant nos principes furface grains groffes guéret gueur jufqu'à l'ufage labours laiffer lignes livres de bled longueur maïs mence ment millet moiffon mois n'eft néceffaire nouvelle cul nouvelle culture obfervations onces ordinaire paffer panicules perfonnes piéce pieds de largeur plantes plate-bandes plufieurs pofé poffible pouces pré préfent prefque premiere produit quantité de femence quarrées rateau récolte refte riences tems terre terrein tion toifes traverſe troifiéme ture tuyaux velle culture
Pasajes populares
Página 52 - Quand la chaux eft bien éteinte, & qu'elle eft réduite en poudre , on la recoupe avec des pelles, on la mêle le mieux qu'il eft poffible avec la terre qui la recouvroit, & enfin on la raflemble en tas pour la laifler expofée à l'air fix femaines ou deux mois , car alors les pluies ne lui font point de tort.
Página xii - Jgue plus en divife les molécules de terres , plus on multiplie fes pores intérieurs s & plus en met le terrein en état de fournir de la nourriture aux plantes. Mais cette divifion de la terre ne peut s'opérer que par les labours réitérés & faits dans des eircon (lances convenables ; c'eft.à-dire , lorfque la terre ne fe paitrk pas.
Página 49 - Comme la terre eft alors trèsïafermie , on pique modérément : peu de tems après on porte la chaux dans le champ; car il eft bon d'être averti que .dans une partie de la Normandie on fertilife les terres avec la chaux , & qu'elle y tient lieu des fumiers , de la marne , ou de l'opération de les brûler , procédé que nous avons amplement décrit dans notre premier Volume..
Página 51 - Fermiers ont donc un grand foin de vifiter de tems en tems les tas de chaux , pour fairej'efermer ces fentes : il y en a qui fe contentent de comprimer le deflus des tas avec le dos d'une pelle ; mais cette pratique eft fujette à un inconvénient. Car fi la chaux eft en pâte dans l'intérieur des tas , on la corroye par cette opé. Tome...
Página 50 - Enfin on recouvre le tas de chaux avec un demi-pied épais de terre , en forme de dôme. La chaux fufe fous cette terre , elle s'éteint...