MELANDIE, COMEDIE.1741 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 11
Página 7
... affez connoître . Cet heureux mariage eût refferré les nœuds De la tendre amitié qui nous joint toutes deux D'Arviane & ma fille étoient nés l'un pour l'autre Mais vous connoiffez trop mon état & le vôtre . Tant de félicité n'eft pas ...
... affez connoître . Cet heureux mariage eût refferré les nœuds De la tendre amitié qui nous joint toutes deux D'Arviane & ma fille étoient nés l'un pour l'autre Mais vous connoiffez trop mon état & le vôtre . Tant de félicité n'eft pas ...
Página 12
... affez dit Que les infortunés , à qui je dois la vie , Contraints , par des malheurs , à quitter leur patrie ; Ayant bien - tôt après fini leurs triftes jours , Ne m'avoient , en mourant , laiffé d'autres fecours Que vos feules bontés ...
... affez dit Que les infortunés , à qui je dois la vie , Contraints , par des malheurs , à quitter leur patrie ; Ayant bien - tôt après fini leurs triftes jours , Ne m'avoient , en mourant , laiffé d'autres fecours Que vos feules bontés ...
Página 25
... affez mortifiant . I LE MARQUES , En flattant mon amour , en le fortifiant Dans mon ame incertaine , & toujours combatuë , Vous avez irrité le poifon qui me tuë . Sans vous , le fol efpoir ne m'eût pas ennivré ; Et peut - être déjà ...
... affez mortifiant . I LE MARQUES , En flattant mon amour , en le fortifiant Dans mon ame incertaine , & toujours combatuë , Vous avez irrité le poifon qui me tuë . Sans vous , le fol efpoir ne m'eût pas ennivré ; Et peut - être déjà ...
Página 27
D'où viennent ces remords ? Votre époule n'eft plus Depuis affez long - tems ; & croyez , au surplus , Que , pour peu que fa mort eût été moins certaine , Malgré l'arrêt cruel qui brifa votre chaîne , Je n'aurois pas laiffé mourir un ...
D'où viennent ces remords ? Votre époule n'eft plus Depuis affez long - tems ; & croyez , au surplus , Que , pour peu que fa mort eût été moins certaine , Malgré l'arrêt cruel qui brifa votre chaîne , Je n'aurois pas laiffé mourir un ...
Página 64
... affez cher pour vous le conferver . Etouffez un amour qui n'eft plus légitime . Le penchant doit finir où commence le crime . LE MARQUIS . Le crime , dites - vous ? THEODON . Le mot m'eft échappé . Je ne m'en dédis point , quoiqu'il ...
... affez cher pour vous le conferver . Etouffez un amour qui n'eft plus légitime . Le penchant doit finir où commence le crime . LE MARQUIS . Le crime , dites - vous ? THEODON . Le mot m'eft échappé . Je ne m'en dédis point , quoiqu'il ...
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
affez affreux aifément aimer Ainfi amans amour appas auffi auroit avez bien-tôt bonheur C'eft C'eſt caufe ceffer charme chére Comte d'Ormancé Confeil connoiffez crainte cruel D'ARVIANE feul Daignez défeſpoir deſtinée difcours dois-je Dorifée DORISE DORISE'E efpérer efpoir Eft-ce épouſe époux eſpérer eſt étes étoient excufer faffe fans doute favez femble fenfible fens féparés fera feroit fervir foins foit fon cœur font fortune fouffrir foulagement foupçon fous fouvent fuis fujet funefte grace Grandval Hélas heureux hymen infortune inftruit J'ai crû j'aurois j'avois J'en jamais jour jufte l'amour l'hymen laiffé long-tems m'aime m'eft m'en Madame MARQUIS à Mélanide Marquis d'Orvigny MELANIDE Monfieur n'eft n'ofe naiſſance obéiffance ODON paffe paroît penfer plaifir pleurs pouvois préfent Preffant premiére préſence puiffe Puis-je raiſon refpire refte reux rien Rofalie ROSALIE s'eft SCENE ſes ſon ſuis ſur tems tendre tendreffe THEODON trifte vais vois voulez-vous vous-même
Pasajes populares
Página 95 - A ses premiers liens il s'arrache de force , Et va sacrifier au plus affreux divorce La nature, l'hymen et l'amour gémissant. Je serai dénué de tout ce qu'en naissant Le plus vil des mortels apporte avec la vie. Malheureux d'être né, je vais porter envie A tous ceux qui devoient me voir au dessus d'eux : J'en deviens le dernier et le plus malheureux...
Página 87 - Ayez donc sur vous-même un peu plus de pouvoir. Vous voyez quel doit être un jour votre partage. Il faut, au fond des cœurs, vous faire un héritage : Leur conquête n'est pas l'ouvrage d'un moment; On les gagne avec peine, on les perd aisément. Mais la douceur attire, et retient sur ses traces L'amitié, la faveur, la fortune et les graces.