MELANDIE, COMEDIE.1741 |
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Página 26
... J'aurois quelque reproche à vous faire à mon tour . Avois - je mandié l'aveu de votre amour ? Votre cœur s'eft ouvert fans nulle violence : Quand vous avez rompu ce pénible filence , Vous cherchiez de l'efpoir , je vous en ai donné . LE ...
... J'aurois quelque reproche à vous faire à mon tour . Avois - je mandié l'aveu de votre amour ? Votre cœur s'eft ouvert fans nulle violence : Quand vous avez rompu ce pénible filence , Vous cherchiez de l'efpoir , je vous en ai donné . LE ...
Página 40
... font payés . Sans mon faififfe- ! ment , J'aurois cédé , fans doute , à mon empreffement .... Vous avez déploré mon infortune affreufe . Félicitez - moi donc THEODON THE ODON d'un air embarrasse . La rencontre est heureuse 40 MELANIDE ;
... font payés . Sans mon faififfe- ! ment , J'aurois cédé , fans doute , à mon empreffement .... Vous avez déploré mon infortune affreufe . Félicitez - moi donc THEODON THE ODON d'un air embarrasse . La rencontre est heureuse 40 MELANIDE ;
Página 51
... J'aurois grand tort . A quoi ferviroit mon retour ? A rien ; puisqu'au mépris du plus parfait amour , La Fortune & vous - même avez juré ma a.perte . Ma préfence vous gêne ; elle vous déconcerte . ROSALIE . Partez , ou demeurez ; aimez ...
... J'aurois grand tort . A quoi ferviroit mon retour ? A rien ; puisqu'au mépris du plus parfait amour , La Fortune & vous - même avez juré ma a.perte . Ma préfence vous gêne ; elle vous déconcerte . ROSALIE . Partez , ou demeurez ; aimez ...
Página 55
... j'aurois parié , mais toute chofe au monde , Que , depuis très - long - tems , les plus tendres amours Uniffoient vos deux cœurs , A ¡ D'ARVIANE . Eh ! Suppofez toujours . THEODON . La fuppofition me paroît un peu forte . ( à Rofalie ...
... j'aurois parié , mais toute chofe au monde , Que , depuis très - long - tems , les plus tendres amours Uniffoient vos deux cœurs , A ¡ D'ARVIANE . Eh ! Suppofez toujours . THEODON . La fuppofition me paroît un peu forte . ( à Rofalie ...
Página 70
... j'aurois confenti , rien n'eût été conclu . Dans cette occafion n'auroit - il pas fallu Faire de notre état l'hiftoire infortunée ? Dorifée eût alors rompu cet hyménée . Et pourquoi fans befoin vouloir s'humilier ? Répandre fes malheurs ...
... j'aurois confenti , rien n'eût été conclu . Dans cette occafion n'auroit - il pas fallu Faire de notre état l'hiftoire infortunée ? Dorifée eût alors rompu cet hyménée . Et pourquoi fans befoin vouloir s'humilier ? Répandre fes malheurs ...
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Términos y frases comunes
affez affreux aifément aimer Ainfi amans amour appas auffi auroit avez bien-tôt bonheur C'eft C'eſt caufe ceffer charme chére Comte d'Ormancé Confeil connoiffez crainte cruel D'ARVIANE feul Daignez défeſpoir deſtinée difcours dois-je Dorifée DORISE DORISE'E efpérer efpoir Eft-ce épouſe époux eſpérer eſt étes étoient excufer faffe fans doute favez femble fenfible fens féparés fera feroit fervir foins foit fon cœur font fortune fouffrir foulagement foupçon fous fouvent fuis fujet funefte grace Grandval Hélas heureux hymen infortune inftruit J'ai crû j'aurois j'avois J'en jamais jour jufte l'amour l'hymen laiffé long-tems m'aime m'eft m'en Madame MARQUIS à Mélanide Marquis d'Orvigny MELANIDE Monfieur n'eft n'ofe naiſſance obéiffance ODON paffe paroît penfer plaifir pleurs pouvois préfent Preffant premiére préſence puiffe Puis-je raiſon refpire refte reux rien Rofalie ROSALIE s'eft SCENE ſes ſon ſuis ſur tems tendre tendreffe THEODON trifte vais vois voulez-vous vous-même
Pasajes populares
Página 95 - A ses premiers liens il s'arrache de force , Et va sacrifier au plus affreux divorce La nature, l'hymen et l'amour gémissant. Je serai dénué de tout ce qu'en naissant Le plus vil des mortels apporte avec la vie. Malheureux d'être né, je vais porter envie A tous ceux qui devoient me voir au dessus d'eux : J'en deviens le dernier et le plus malheureux...
Página 87 - Ayez donc sur vous-même un peu plus de pouvoir. Vous voyez quel doit être un jour votre partage. Il faut, au fond des cœurs, vous faire un héritage : Leur conquête n'est pas l'ouvrage d'un moment; On les gagne avec peine, on les perd aisément. Mais la douceur attire, et retient sur ses traces L'amitié, la faveur, la fortune et les graces.