Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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... Grecs que les Romains ont af- fecté de nous représenter com- me des hommes vains , legers , inconftans & tellement amis des bagatelles , qu'à ce portrait on les prendroit volontiers pour des petits maîtres ; ces mêmesGrecs : étoient ...
... Grecs que les Romains ont af- fecté de nous représenter com- me des hommes vains , legers , inconftans & tellement amis des bagatelles , qu'à ce portrait on les prendroit volontiers pour des petits maîtres ; ces mêmesGrecs : étoient ...
Página xxxviii
... Grecs naturellement vains & avides de s'attribuer la découverte des Sciences & des Arts ne manquerent pas de rapporter l'origine de la Poëfie à Orphée , à Linus , à Mufée , noms peut - être auffi fabuleux que ceux ceux d'Apollon & des ...
... Grecs naturellement vains & avides de s'attribuer la découverte des Sciences & des Arts ne manquerent pas de rapporter l'origine de la Poëfie à Orphée , à Linus , à Mufée , noms peut - être auffi fabuleux que ceux ceux d'Apollon & des ...
Página xxxix
... Grecs euffent une langue établie & des caractéres fixés pour l'é- crire , les Hebreux avoient deja une Poëfie perfectionnée qu'ils tenoient de leurs Ancêtres , les premiers habitans du monde , En effet il en eft de la Poëfie comme de ...
... Grecs euffent une langue établie & des caractéres fixés pour l'é- crire , les Hebreux avoient deja une Poëfie perfectionnée qu'ils tenoient de leurs Ancêtres , les premiers habitans du monde , En effet il en eft de la Poëfie comme de ...
Página xl
... - vance.Le témoignage conftant des Hiftoriens , & la nature des plus anciens Poëmes qui nous reftent des Grecs , tels que les Odes de Pindare & la Théo- gonie gonie d'Héfiode , ne laiffent aucun lieu de douter que x1 DISCOURS.
... - vance.Le témoignage conftant des Hiftoriens , & la nature des plus anciens Poëmes qui nous reftent des Grecs , tels que les Odes de Pindare & la Théo- gonie gonie d'Héfiode , ne laiffent aucun lieu de douter que x1 DISCOURS.
Página 7
... Grec à donné le jour à Homere & à Pin- dare , & la Tartarie n'a jufqu'à pre- fent encore produit perfonne dans le même genre . Il n'y a pas même jufqu'aux fautes d'un fiécle qui ne fervent à perfectionner celui qui le fuit immédiatement ...
... Grec à donné le jour à Homere & à Pin- dare , & la Tartarie n'a jufqu'à pre- fent encore produit perfonne dans le même genre . Il n'y a pas même jufqu'aux fautes d'un fiécle qui ne fervent à perfectionner celui qui le fuit immédiatement ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.