Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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Página xiii
... la Poëfie , comme il avoit expliqué ceux de l'Eloquence . Vivant dans un fiecle où tous les beaux Arts qui regnerent dans la Grece étoient à leur • plus haut période , il n'eut pas befoin de fortir PRELIMINAIRE . xiij.
... la Poëfie , comme il avoit expliqué ceux de l'Eloquence . Vivant dans un fiecle où tous les beaux Arts qui regnerent dans la Grece étoient à leur • plus haut période , il n'eut pas befoin de fortir PRELIMINAIRE . xiij.
Página xlii
... avoit brillé avec tant d'éclat fous le regne de ce Prince , s'éclipfa peu à peu fous fes fucceffeurs , & demeura enfin comme étein- te dans les ténébres de la Bar- barie qu'amena du fond du Nord ce déluge de nations féroces qui des ...
... avoit brillé avec tant d'éclat fous le regne de ce Prince , s'éclipfa peu à peu fous fes fucceffeurs , & demeura enfin comme étein- te dans les ténébres de la Bar- barie qu'amena du fond du Nord ce déluge de nations féroces qui des ...
Página 14
... de fçavoir fi la rime eft effentielle à la Poëfie Françoife . On n'avoit point enco- re mis férieufement en doute avant le commencement de ce fiécle , & la Rime eft tellement propre à no tre verfification , 14 DE LA LECTURE.
... de fçavoir fi la rime eft effentielle à la Poëfie Françoife . On n'avoit point enco- re mis férieufement en doute avant le commencement de ce fiécle , & la Rime eft tellement propre à no tre verfification , 14 DE LA LECTURE.
Página 20
... . Le fort , dit - on , l'a mife en fes févéres mains . Minos juge aux Enfers tous les pâles mor tels . Qu'euffent été que des Poëmes entiers & des Tragédiés écrites de la forte ? cependant M. de la Mothe avoit 20 DE LA LECTURE.
... . Le fort , dit - on , l'a mife en fes févéres mains . Minos juge aux Enfers tous les pâles mor tels . Qu'euffent été que des Poëmes entiers & des Tragédiés écrites de la forte ? cependant M. de la Mothe avoit 20 DE LA LECTURE.
Página 21
Edme Mallet. de la forte ? cependant M. de la Mothe avoit compofé une Tragé die d'Oedipe en Profe qu'il comp- toit faire représenter s'il met Oedipe en Profe , dit à ce fujet M. de Voltaire , je mettrai Inés ,, en Vers , " l'on fçait ...
Edme Mallet. de la forte ? cependant M. de la Mothe avoit compofé une Tragé die d'Oedipe en Profe qu'il comp- toit faire représenter s'il met Oedipe en Profe , dit à ce fujet M. de Voltaire , je mettrai Inés ,, en Vers , " l'on fçait ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.