Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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Página xxviii
... lieu , qu'en un jour un feul fait accompli , Tienne jufqu'à la fin le Théâtre rempli . Et qu'on lui demande le fens de ces Vers ; penfe - t - on qu'il réponde avec précifion , qu'il s'agit ici des trois unités & du complément de l ...
... lieu , qu'en un jour un feul fait accompli , Tienne jufqu'à la fin le Théâtre rempli . Et qu'on lui demande le fens de ces Vers ; penfe - t - on qu'il réponde avec précifion , qu'il s'agit ici des trois unités & du complément de l ...
Página xl
... .Le témoignage conftant des Hiftoriens , & la nature des plus anciens Poëmes qui nous reftent des Grecs , tels que les Odes de Pindare & la Théo- gonie gonie d'Héfiode , ne laiffent aucun lieu de douter que x1 DISCOURS.
... .Le témoignage conftant des Hiftoriens , & la nature des plus anciens Poëmes qui nous reftent des Grecs , tels que les Odes de Pindare & la Théo- gonie gonie d'Héfiode , ne laiffent aucun lieu de douter que x1 DISCOURS.
Página xli
Edme Mallet. gonie d'Héfiode , ne laiffent aucun lieu de douter que le premier objet de la Poëfie , n'ait été de célébrer les louanges de la Divinité . Il n'eft pas moins conftant qu'elle a dégéneré de- puis ; mais fans nous arrêter à ...
Edme Mallet. gonie d'Héfiode , ne laiffent aucun lieu de douter que le premier objet de la Poëfie , n'ait été de célébrer les louanges de la Divinité . Il n'eft pas moins conftant qu'elle a dégéneré de- puis ; mais fans nous arrêter à ...
Página 6
... lieu que les affectations de l'art ne cou- vrent , quand on les approfondit , que de la foibleffe ou de la ftéri- lité . En vain donc s'efforceroit - on d'acquerir ce Génie par une Etude non moins inutile que pénible , fi l'on n'en ...
... lieu que les affectations de l'art ne cou- vrent , quand on les approfondit , que de la foibleffe ou de la ftéri- lité . En vain donc s'efforceroit - on d'acquerir ce Génie par une Etude non moins inutile que pénible , fi l'on n'en ...
Página 12
... lieu de Mer & Enfer on en trou- ve plufieurs dans le grandCorneille . La Rime fe divife en Mafculine & Féminine . La Rime Masculine eft celle qui fe termine par un é Ouvert , comme Liberté ou par quelqu'autre terminaison que ce foit qui ...
... lieu de Mer & Enfer on en trou- ve plufieurs dans le grandCorneille . La Rime fe divife en Mafculine & Féminine . La Rime Masculine eft celle qui fe termine par un é Ouvert , comme Liberté ou par quelqu'autre terminaison que ce foit qui ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.