Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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... porte le flambeau devant la critique . Quelle humiliation pour eux que ce contrafte ! quelle con- fufion d'entendre condamner par principes les mêmes en- droits qu'ils avoient loué fans jugement , & louer avec raifon , ce qu'ils ...
... porte le flambeau devant la critique . Quelle humiliation pour eux que ce contrafte ! quelle con- fufion d'entendre condamner par principes les mêmes en- droits qu'ils avoient loué fans jugement , & louer avec raifon , ce qu'ils ...
Página 6
... porte en foi le porte en foi le germe & les premieres femences qu'il faut , dès qu'on les poffede , développer par le fecours de la lecture & de la ré- flexion , & c'est à quoi contribuent encore certaines circonftances par- ticulieres ...
... porte en foi le porte en foi le germe & les premieres femences qu'il faut , dès qu'on les poffede , développer par le fecours de la lecture & de la ré- flexion , & c'est à quoi contribuent encore certaines circonftances par- ticulieres ...
Página 101
... porte . On fent affez que ces qualités exigent un grand fonds de connoiffances & de réflexions , & que le ton décifif & l'air méprifant , partage ordinaire de la jeuneffe , & de l'ignorance , n'en peuvent tenir lieu . La premié re ...
... porte . On fent affez que ces qualités exigent un grand fonds de connoiffances & de réflexions , & que le ton décifif & l'air méprifant , partage ordinaire de la jeuneffe , & de l'ignorance , n'en peuvent tenir lieu . La premié re ...
Página 122
... . vifage , de Lon- Et comme pour me fuir retrouffant fes habits , gepierre . Elle gagnoit la porte & quittoit le logis . Ah ! je te déplais donc , m'écriai - je trai treffe ? En un mot j'en écarterois tout ce qui fent trop 122 DE LA ...
... . vifage , de Lon- Et comme pour me fuir retrouffant fes habits , gepierre . Elle gagnoit la porte & quittoit le logis . Ah ! je te déplais donc , m'écriai - je trai treffe ? En un mot j'en écarterois tout ce qui fent trop 122 DE LA ...
Página 133
... porte pas des phrafes vaines & pompeufes , & qu'un efprit occu- pé de fa douleur ne s'amuse point à chercher de grands mots ; cepen- dant il eft des bienféances que l'a- mour le plus ardent , & la tristesse la plus profonde ne peuvent ...
... porte pas des phrafes vaines & pompeufes , & qu'un efprit occu- pé de fa douleur ne s'amuse point à chercher de grands mots ; cepen- dant il eft des bienféances que l'a- mour le plus ardent , & la tristesse la plus profonde ne peuvent ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.