Principes pour la lecture des poetes, Volumen1Durand, 1745 - 348 páginas |
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... nous versions un moment au- paravant ; preuve que l'impref- fion faite fur notre ame , par les imitations de la Poëfie , quoi- que vive par rapport au fenti- , ment n'eft que momentanée & par confequent incapable de 1xij DISCOURS.
... nous versions un moment au- paravant ; preuve que l'impref- fion faite fur notre ame , par les imitations de la Poëfie , quoi- que vive par rapport au fenti- , ment n'eft que momentanée & par confequent incapable de 1xij DISCOURS.
Página 2
... c'eft un juge- ment exquis , foutenu d'une ima gination vive & brillante commun à tout ce qu'on appelle beaux arts ; Ufe diverfifie fuivant les objets qu'il . ! embraffe , & retient par- tout le nom de Génie 2 DE LA LECTURE.
... c'eft un juge- ment exquis , foutenu d'une ima gination vive & brillante commun à tout ce qu'on appelle beaux arts ; Ufe diverfifie fuivant les objets qu'il . ! embraffe , & retient par- tout le nom de Génie 2 DE LA LECTURE.
Página 131
... vive , & que de tous les fentimens qui l'affectent , la trifteffe caufée par la perte d'une perfonne qui nous étoit chere , fait des impref- fions fortes & durables . Pour bien écrire en ce genre , il faudroit donc fentir : toute Elégie ...
... vive , & que de tous les fentimens qui l'affectent , la trifteffe caufée par la perte d'une perfonne qui nous étoit chere , fait des impref- fions fortes & durables . Pour bien écrire en ce genre , il faudroit donc fentir : toute Elégie ...
Página 133
... vive , telle que l'amour , ne com- porte pas des phrafes vaines & pompeufes , & qu'un efprit occu- pé de fa douleur ne s'amuse point à chercher de grands mots ; cepen- dant il eft des bienféances que l'a- mour le plus ardent , & la ...
... vive , telle que l'amour , ne com- porte pas des phrafes vaines & pompeufes , & qu'un efprit occu- pé de fa douleur ne s'amuse point à chercher de grands mots ; cepen- dant il eft des bienféances que l'a- mour le plus ardent , & la ...
Página 168
... vive & brillante , comme il en dépend de perfectionner notre raifon par le fecours de l'étude & de la réflexion . Mais lorsqu'on en fent une fois les étincelles , on ne doit plus être attentif qu'à dif- cerner jufqu'où l'imagination ...
... vive & brillante , comme il en dépend de perfectionner notre raifon par le fecours de l'étude & de la réflexion . Mais lorsqu'on en fent une fois les étincelles , on ne doit plus être attentif qu'à dif- cerner jufqu'où l'imagination ...
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Términos y frases comunes
affez aifé ainfi Art Poët auffi Auteur avoient avoit beautés befoin bon fens Bouts-rimés Burleſque c'eft c'eſt Cantate caractere caufe Chant chofes coeur confifte connoiffance défauts Defpréaux délicateffe Dieux difcours doit efpeces efprit embraffe Epique eſt étoient étoit exem expreffions fage fageffe faifir fans fçait fçauroit fecond femble fenfé fens fent fentimens feroit feul fiécle fillabes fimple fimplicité fions fociété foient foin foit folides fous fouvent ftances ftile ftyle fublime fuccès fuffit fuiv fujet génie genre goût graces ibid Incipe jufte l'amour l'art l'efprit l'Ode laiffe Lecteurs Lirique lumieres Madame Dacier mafculine Malherbe Marot matiere mefure ment moeurs monieux Mothe n'eft n'eſt néceffaire néceffité nobleffe ouvrages paffé paffions penfées penſées perfonnes Philofophie Pindare plaifir Poë Poëfie Poëme Poëtique poffedé prefque propofe qu'un raifon refte Religion réuffi rimes Rondeau Rouffeau s'eft Sappho Satire Segrais ſtyle tems tion ufage Voltaire
Pasajes populares
Página 78 - L'expression la suit ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Página 238 - Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs ; Un voile effroyable Couvre l'univers; La terre tremblante Frémit de terreur; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 178 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir ; Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes , Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.