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Horace corrigé, I. 336. II. 340. éclairci, I. 420.

Lucrèce corrigé, I. 478.

Martian Capelle corrigé, I. 439.
Minucius Felix corrigé, II. 434.
Nonius Marcellus corrigé, I. 343, 47&

II. 334, 337.

Platon corrigé, I. 334, 335, 403. repris, II. 452.

Plutarque corrigé, I. 391. II. 327,531. éclairci, I. 379.

Polybe corrigé, I. 409.

Publius Syrus corrigé, II. 339, 340.
Quintilien corrigé, I. 402.

Scholiafte d'Ariftophane corrigé, II. 521
Scholiafte de Stace éclairci, II. 469.
Servius fur Virgile corrigé, II. 349.
Silius Italicus éclairci, I. 415.

Sophocle corrigé, I. 429, 430, 432,433 434.

Stobée corrigé, I. 392. II. 387.

Strabon corrigé, II. 516.

Tacite éclairci, I. 374.

Térence corrigé, II. 356.

Tibulle corrigé, I. 337:

Valére Maxime corrigé, I. 373, 400 à

408, 409. II. 444.

Velleius Paterculus corrigé, II. 463.

éclairci, I. 386. II. 462.

Virgile éclairci, I. 323.

Zénobius corrigé, I. 391.

REMARQUES

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REMARQUES

SUR LE TEXTE

De la Premiere Tufculane.

USCULANARUM DISPUTATIONUM ] Je dans les derniéres éditions a pris la place de celui-ci Tufculanarum Queftionum. Jobferverai feulement que ce dernier, qui paroiffoit à la tête de toutes les éditions précédentes, fe trouve confirmé, non-feulement par un grand nombre de Manufcrits, mais encore par quelques Auteurs anciens; entre autres l'un des Scholiaftes d'Horace, 1..Ep. 1, 38.

CAP. I. In ullis fuit] Après avoir dit, neque ullâ cum gente, il n'eft pas vrai-femblable, que Cicéron ait encore répété, ullis. En effet j'ai trouvé illis dans mon ancienne édition.

Annis ferè cccccx] Le Confulat dont il eft parlé ici, tombe, fuivant les uns, fous: l'an 513 de Rome, & fuivant les autres, fous l'an 514. Cicéron, qui fuivoit la Chronologie de Varron, avoit préféré cette derniére opinion, comme il paroît par ce paffage de fon Brutus, chap. 18. Livius, qui primus fabulam, C. Claudio.. Tome. I.

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Caci filio, & M. Tuditano Coff. docuit, anno poft Romam conditam quarto decimo, & quingentefimo. La préfomption eft donc qu'il s'étoit exprimé ici de même. D'ailleurs Fulvius Urfinus ayant vû un Manufcrit, où il y avoit 1CXIV, au lieu de ccccx, on ne doit plus douter que Cicéron n'ait écrit DIV; d'autant plus que faisant ici mention du Confuiat, qui chez les Romains marquoit au jufte la date des années, on voit bien qu'il n'a pas voulu être moins exact en l'un de ces paffages, qu'en l'autre.

Anno ante natum Ennium, qui fuit major natu, quàm Plautus & Navius] Qui le rapporte ici naturellement à Ennius. Mais comme ce Poëte étoit plus jeune que Nævius, & qu'il a été tenu pour tel par Cicéron lui-même; quelques Savans ont cru que le pronom rélatif fe rapportoit à Livius. Ce qui feroit contre toutes les régles de la conftruction, & formeroit une ambiguité. Il y auroit plus d'apparence de corriger Fuitque major natu, &c. ainfi que me l'a propofé le favant M. Burman dans une de fes Lettres. Cependant, comme je ne vois pas pourquoi Cicéron auroit fait ici plutôt mention de Nævius, & de Plaute, que de plufieurs autres Poëtes, qui font venus depuis Ennius, & qu'il ne s'agiffoit ici, que de fixer l'Epoque du commencement de la Poëfie chez les Romains, qui étoit fuffifamment marquée par ce qui précéde, jaurois beaucoup

de penchant à croire, que cette phrafe : Qui fuit major natu, &c. eft une glofe marginale de quelque ancien Studieux qui, comme tant d'autres, s'eft gliffée dans le texte.

CAP. II. In qua objecit ut probrum ] Gebhard, Crepundior. I, 13, dit avoir trouvé in probrum dans un très-bon Manuscrit, & juge cette leçon préférable, par des raifons qui ne font pas à méprifer.

"

Omnefque incenduntur ] S. Auguftin qui cite cet endroit, De Civit. Dei, V. 13, paroît avoir lû, accenduntur.

CAP. III. Nihil omnino Gracis cederetur] Un des Manufcrits de Leyde a, cederent; & c'eft ainfi que je voudrois lire.

Si aliquid oratoria laudis ] Le très-ancien Manuferit du Roi, & mon ancienne édi→ tion font conformes à cela. Mais M. Bentley a fort bien défendu les autres éditions, qui ont laudi, auffi-bien que l'un des Manufcrits de Leyde. Si par notre induftrie, dit Cicéron, nous avons ajouté quelque chofe à la gloire de l'Eloquence. Ce n'eft pas que l'autre leçon ne pût faire un bon fens dans un autre endroit, comme l'a obfervé M. Wopkens, Lect. Tull. I, 9. Mais en celui-ci elle ne paroît pas convenable. Gebhard, Crepund. I, 13, fuivant un ancien Manufcrit, corrige dans ce qui fuit: multos ftudiofius, &c. Ce que je ne faurois approuver.

CAP. IV. Scientia copia ] Puifque ces

mots, qui font avec raison peine aux Critiques, ne fe trouvent pas dans quelques Manufcrits, je ferois affez d'avis de les rejeter. On pourroit pourtant fort bien lire: Vir fummo ingenio, & fcientia copia, en foufentendant fumma. Je ne dois pas omettre, que dans l'un des Manufcrits de Leyde on trouve; fummi ingenii, & fcientia copiâ. Ce qui favorife la conjecture de M. Bentley, lequel corrige: Summa ingenii, & fcientia copia.

Dicere etiam coepit, adolefcentes docere ] M. Bentley voyant que docere manque en plufieurs manufcrits, auxquels eft conforme celui du Roi, s'eft déterminé en dernier lieu à dire; dicere etiam cœpit ad adolefcentes, & prudentiam cum eloquentia jungere. Mais cette façon d'employer dicere, fent moins le maître que le Harangueur, comme dans ces phrafes: Dicere ad Senatum, ad Populum, ad Judices. Ainfi, puifque quelques Manufcrits ont: Docere etiam coepit adolefcentes, & prudentiam, &c. je ne doute pas que Cicéron n'ait écrit de la forte.

Ita nos ftudiofa operam dedimus] Le mot, operam, qui ne convient point ici, a été vifiblement ajouté par quelque Copiste, qui n'entendoit pas l'élégance de cette expreffion, in quam exercitationem ita nos dedimus. Je fuis donc entiérement de l'avis de Lambin, qui effaçoit ce mot, & qui a été fuivi par Gebhard, Crepund. lib. I,

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