Revue de Gascogne: bulletin bimestrial de la Société historique de Gascogne, Volumen7

Portada
1866
 

Otras ediciones - Ver todas

Términos y frases comunes

Pasajes populares

Página 263 - Vingt, dix-neuf, dix-huit, dix-sept, seize, quinze, quatorze, treize, Douze, onze, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un. Un ! il n'y en a même plus un.
Página 262 - Enfant, compte-les bien! Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, Treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, Vingt, et des milliers d'autres encore! On perdrait son temps à les compter. Unissons nos bras nerveux, déracinons ces rochers, Lançons-les du haut des montagnes Jusque sur leurs tètes!
Página 307 - je ne veux pas; c'est assez; j'aime mieux revenir dans mes montagnes et revoir celle qui possède mon cœur. Le pays est loin d'ici et il ya longtemps. » » VIII. Oiseau, joli chanteur, chante doucement! Je suis le plus malheureux qui soit au monde. J'ai quitté la montagne sans faire mes adieux, et je m'abreuve de mes larmes.
Página 264 - ... qui se sont ainsi conservées de génération en génération, on cite un poème assez étendu sur la religion des Cantabres, des chants guerriers et allégoriques, quelques chansonnettes supérieures peutêtre en naïveté à celles de Métastase, et des romances populaires qui datent, d'après M. Humboldt, de l'invasion des Romains, et qui ne sont pas inférieures aux plus beaux chants nationaux des Grecs modernes. Viendra peutêtre un Mac-Pherson qui les recueillera.
Página 101 - II Le basque, dit MJ-J. Ampère, a partagé avec le celtique le privilège de faire dire à son sujet d'innombrables extravagances. — M. Pierquin de Gembloux, qui a transcrit cette phrase en tête de sa Bibliographie Basque, s'est activement occupé d'enrichir pour son propre compte la mine, déjà si opulente, de ces absurdités. Les opinions de ce novateur se trouvent principalement consignées dans son Histoire littéraire des patois, livre que l'on dirait parfois écrit dans les idiomes dont...
Página 157 - ... En lieu favorable — nous étant postés , — chacun ( de nous' ferme — a le courage. « Petite (est notre) frayeur — au mesurer des armes ; — (mais), ô notre arche au pain , vous — (êtes) mal pourvue. « Si dures cuirasses — ils portent (eux), — les corps sans défense — (sont) agiles. » Cinq ans durant , — de jour et de nuit , — sans aucun repos, — le siège dure. « Quand un de nous — eux tuent, — quinze d'eux — (sont) détruits. « (Mais) eux (sont) nombreux,...
Página 406 - Voyage d'oultremer en Jhérusalem, par le seigneur de Caumont , l'an M CCCC XVIII , publié pour la première fois d'après le manuscrit du Musée britannique, par le marquis de la Grange.
Página 272 - Alors il s'offrit à ma pensée que ce chant avait retenti dès les premiers âges comme une ode guerrière où les aïeux, après avoir désigné par leur simple dénomination numérique les dures années de l'exil, appelaient une à une, par une sorte de symbolique progression décroissante, celle de la vengeance.
Página 272 - ... et d'intonation ? Tout ce que je connais d'airs basques est d'un ton grandiose et décidé; mais aucun n'est plus frappant sous ce rapport que le chant national des Escualilunacs, comme ils se nomment eux-mêmes dans leur idiome».
Página 262 - Oh ! combien d'os broyés 1 quelle mer de sang ! Fuyez ! fuyez ! ceux à qui il reste de la force et un cheval. Fuis , roi Carloman , avec tes plumes noires et ta cape rouge. Ton neveu , ton plus brave , ton chéri , Roland , est étendu mort là-bas.

Información bibliográfica