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XII. EXP. qui fert encore de preuve au fes
cond fait. 146.
Conféquence du premier fait. 147.
Objection & réponse touchant cette confé
quence. 148.
Conféquence du fecond fait. 149.
Objection & réponse touchant cette derniere
conféquence. 150.
Examen des étincelles électriques, confidé,
rées comme fignes d'électricité. 151.
L'éclat & la grandeur des étincelles ne prou-
ve pas toujours une plus grande vertu de la
part du corps électrife. 154.
La douleur que les étincelles font fentir eft encore un figne moins certain. Ibid. Conclufion générale de tous ces examens,
Regles qu'on doit fuivre pour ne fe point
tromper fur les fignes d'électricité qu'on a
examinés dans ce Difcours. 156.
Premiere regle. Ibid.
Seconde regle. Ibid.
Troifieme regle. 157,
Efpece d'Electrometre, ou inftrument propre a mefurer la force de l'électricité, dans bien des occafions. Ibid.
XIII. EXP. imaginée par M. Waitz, pour
fervir d'électrometre. 161.
TROISIEME DISCOURS.
Des circonstances favorables ou nuifibles
à l'Electricité. 164.
PREMIER
34
REMIERE diftinction préliminaire. 166.
Seconde diftinction., 167.
Troifieme diftinction. 168.
Quatrieme diftinction. 169.
Le beau & le mauvais temps influent-ils sur
l'électricité? 173.
L'électricité eft prefque toujours foible par
un temps pluvieux & doux. 175.
PREMIERE EXPERIENCE, par laquelle on
voit que cela est en Allemagne comme en
France. 177.
Par quel endroit l'humidité nuit-elle à l'éle-
Atricité? 178.
Le corps qui frotte doit être fec par la partie qui eft immédiatement appliquée au verre. Ibid.
Les corps que l'on frotte pour les électrifer
doivent être fecs, tant en dedans qu'en
dehors. 180.
Le verre ne s'électrife plus par frottement
quand il eft mouillé même avec la plû→
part des liqueurs graffes & inflammables.
Ibid.
Le frottement du mercure électrife le verre. 181.
Pourquoi certains barometres font lumineux en la partie qui eft vuide. Ibid.
II. Exp. qui prouve qu'un vaiffeau de verre,
intérieurement humide, ne s'électrife point
par frottement, ou perd son électricité, s'il
en a. 182.
Il y a certains liquides, qui, comme le mer-
cure ne nuifent point à l'électrisation du
verre. 183.
III. Exp. qui le prouve. 185.
Ces mêmes matieres liquides, ou liquéfiées
qui ne nuisent point par elles-mêmes à
l'électricité du verre, y deviennent con-
traires, dès qu'elles contiennent quelque
humidité. 186.
IV. Exp. qui le prouve. Ibid.
L'humidité ne nuit point à l'électricité du
corps, à qui, & par qui l'on communique
cette vertu. 187.
L'humidité du lieu où l'on opere, nuit au
fuccès des expériences électriques. 189.
V. Exp. qui prouve que les vapeurs des ma-
tieres qu'on fait brûler, nuisent à l'électri-
cité, lorfqu'elles agiflent de fort près. 193
VI. Exp. qui fait voir que parmi ces vapeurs,
il y en a qui nuifent plus efficacement que
les autres. 194.
VII. EXP. par laquelle on fait voir que les
vapeurs non aqueufes, qui regnent dans le
lieu où l'on excite l'électricité, ne nuisent
pas fenfiblement à cette vertu. 196.
VIII. Exp. qui prouve que les odeurs ne nui-
fent pas fenfiblement à l'électricité. 198.
Effets de la flamme fur les tubes de verre éle-
Arifés. 199.
IX. EXP. Par laquelle on peut prouver que la
flamme détruit l'électricité. 201.
Expérience de M. du Fay, qui semble prouver
le contraire. 202.
Maniere de concilier l'expérience de M. du Fay avec la précédente. 203.
X. Exp. qui infirme cette derniere explica
tion. 204.
XI. Exp. Par laquelle il paroît que la flam
me reçoit & communique l'électricité. 205
XII. EXP. Par laquelle cela paroît encore
être confirmé. 207.
Obfervation fur cette derniere expérience.
208.
XIII. Exp. Concernant encore la même que-
ftion. 210.
Ce qu'on peut conclure de toutes ces expé→
riences. 211.
XIV. EXP: qui prouve que quand la flamme
nuit à l'électricité ce n'eft pas comme
ayant de la chaleur. 214.
XV. Exp. Par laquelle on détermine le degré
de chaleur que doit avoir un corps, pour
nuire à l'électricité. 215.
XVI. EXP. Par laquelle il paroît que la flam-
me ne nuit point à la vertu électrique, en-
tant qu'elle eft lumineuse. 217.
Le voisinage d'un corps enflammé ne détruit Félectricité que parce qu'il exhale une vapeur très-fubtile. 118.
La chaleur de l'air ne nuit point par elle- même à l'électricité; il eft probable que ce font les vapeurs fubtiles dont il eft alors chargé. zzz.
Le grand froid eft plus nuifible que favorable
à l'électricité, à moins que le corps frotté
& celui qui frotte, n'aient un certain degré
de chaleur. 224.
XVII. EXP. qui le prouve. Ibid.
La densité de l'air plus ou moins grandes
influe-t-elle fur les phénomenes électriques
227.
Tentatives faites par plufieurs Phyficiens Į pour décider cette queftion. 228.
Ce qu'on a fait à cet égard mérite révision
230.
Nouvelles épreuves faites pour éclaircir les difficultés qui restoient. 232.
XVIII. EXP. par laquelle il paroît bien con
ftaté que le verre s'électrife très-sensible-
ment dans le vuide, mais cependant plus
foiblement qu'en plein air. 23.3.
XIX. EXP. par laquelle on prouve que l'éle
ctricité agit avec beaucoup de force du
plein dans le vuide. 239.
XX. Exp. qui confirme la même vérité. 240
XXI. EXP. par laquelle on prouve que ce qui
produit les phénomenes électriques dans le
vuide de Boyle, n'eft pas le peu d'air qui
peut être refté dans le récipient. 242.
Différence confidérable entre la lumiere éle
arique dans le vuide, & celle qui paroit
en plein air. 243.
Raifons de cette différence. 244.
XXII. EXP. qui rend ces raisons très-plaufi
bles. 249.
XXIII. EXP. qui met fous les yeux des phé
nomenes très-curieux, & très-favorables à
cette opinion. 251.
Expérience à faire dans l'air condensé. 256.
Difficultés qu'il faut vaincre pour les faire comme il faut. Ibid.
Mrs Gray & du Fay ont eu raifon d'établir
comme une regle générale, qu'il faut ifoler
les corps auxquels on veut communiquer
l'électricité, 262.