Anecdotes orientales: premiere [-seconde] partieVincent, 1773 - 820 páginas |
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Términos y frases comunes
affaffiné affez ainfi Arabes armée armes auffi auffitôt avoient avoit Bagdad Balkh Bukharie c'eft Calife caufe chaffe chofe Cofaques confidérable défait déja devoit dynaftie dynaſtie Emirs enfuite ennemis eſt étoient étoit fage faifoit fans fçait fe rendit fecond fecours feigneur fent feroit fervir fes états fes fujets fes troupes feulement fiége fignifie foit foldats fon fils fon frere fon nom fon pere fon règne font foumis fous fouvent fouverain fuccède à fon fuite fuiv fultan fur le trône furnommé Genghiz-Khan Gihon gouverneur Grecs guerre habitans Hérat hiftoriens hommes Hormuz ibid jufqu'à Kalmouks Kerman Khan Kharifme Khitans Khoraffan l'hiftoire laiffa lifez Locman long-tems lorfqu'il lorfque Mahmoud maître miniftre Mogols Mohammed mort n'avoit n'eft Naïmans Niu-Tché Noureddin Otrar paffer pays Perfe perfonne peuples plufieurs préfent prife prifonnier prince province puiffance refte réponſe Ruffes s'empare s'étoit Saffanien Samanides Samarcande Selgiucides ſes ſon Syrie Tamerlan Tartares Tauriz tems Turcomans Turcs
Pasajes populares
Página 14 - ne les porte pas à traiter leurs sujets avec ri« gueur. Pour un acte de vengeance, Dieu nous « donne mille marques de bonté. Que les rois « l'imitent en faisant tout le bien qu'ils peuvent ; « et qu'ils se souviennent toujours que, maîtres « d'ôter la vie, il n'est pas en leur pouvoir de « la rendre. Sans doute ils peuvent d'un mot « faire mettre un homme en mille pièces ; mais n tout ce qu'ils pourraient dire ensuite ne le
Página 88 - ... le plus près de toi , & continuant ainfi » jufqu'à la plus grande diftance de ton » trône. Si j'ofois , je te propoferois » mon exemple ; mais j'aime mieux te » remettre devant les yeux ce qui m'a «fervi d'exemple à moi-même. Con» temple le foleil : S'il fe dérobe chaque » jour à nos regards , ce n'eft que parce » qu'il eft le bienfaiteut de l'univers , » & qu'il doit fa clarté à tous les peu»
Página 234 - Comment eft-il poffible qu'une puiffance auffi grande que la mienne nefoit pas capable de rendre le poids de mon mal plus léger d'un feul grain , ni de prolonger ma vie d'un feul moment
Página 90 - Les tables étant levées , celui qui avoit soin de la vaisselle d'or , voyant qu'il lui manquoit un plat , fit un fort grand bruit pour le trouver. Le...
Página 299 - Royaliftes fut entière malgré des prodiges de valeur : quinze cens de leurs plus braves guerriers a refterent fur le champ de bataille. Le nombre des prifonniers fut encore plus confiderable : Stuard , le comte de Ventadour , Chran.
Página 199 - ... avec des ,, couteaux, afin que le fang fe mêlât „ avec les larmes. Quand la perfonne ,, étoit morte pendant le printems ou „ pendant l'été, on attendoit ordinai,, rement pour la mettre en terre la „ chute des feuilles, fi cela arrivoit dans l'automne ou dans l'hiver, on attendoit D a 7*5 JOURNAL ENCYCLOf». „ leur retour : le nombre de pierres que „ l'on mettoie fur la fépulture, indi...
Página 443 - Dieu étoit apparu sous la figure de plusieurs prophètes et autres grands hommes qu'il avait choisis, jusqu'à ce qu'il prit celle d'Abu Moslem, Prince de...
Página 222 - II ne me refte plus qu'à remettre entre les mains de mon fils la continuation des longs fervices que je vous ai rendus, en le recommandant à Dieu...
Página 14 - Les « grands rois sont des dieux sur la terre , et « sont autaut supérieurs à des hommes d'une « condition privée, en puissance, en sagesse et « en bonté, que Dieu leur est supérieur à ces « mêmes égards. Que leur élévation cependant « ne les porte pas à traiter leurs sujets avec ri
Página 206 - ... lut en sa présence l'acte par lequel celui-ci le reconnaissait maître de tous les Etats que Dieu lui avait confiés, et gouverneur de tous les Musulmans. On le revêtit de sept robes d'honneur qu'on lui mit l'une sur l'autre ; on lui donna des esclaves des sept contrées différentes qui formaient l'empire des califes; on lui couvrit la tête d'un voile d'étoffe d'or parfumé de musc, et on lui mit sur la tête deux couronnes, l'une pour l'Arabie et l'autre pour la Perse. Kaïm-Biamrillah...