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estimé à sa juste valeur, sans crüe à la somme de xv cens iiii** xiii livres.

Item une crosse avec son baston servant à un evesque, enrichie de plusieurs pierreries, prisée viii cens livres.

Item une croix d'evesque, d'or émaillée d'un christ et d'une vierge, poisant une once un gros, prisée à raison de lv livres l'once, revenant audit pris à lxi # xvii s. Item en deniers comptans s'est trouvé dans ledit coffre fort, dans le cabinet, la somme de vingt mil i cens xxv livres.

En suivent les papiers 1:

Premièrement les lettres et brevet de Conseiller d'Estat, expédiées au nom du sieur Arnauld, seigneur de Pomponne, du dix janvier mil six cent soixante un, signé Louis et plus bas par le Roy, de Guénégaud.

Item une liasse contenant dix pièces, la première desquelles est l'extrait signé en fin de Sejournay, du contract de mariage d'entre ledit seigneur de Pomponne, Ministre d'Estat, et dame Catherine Lauriac, son épouze, passé par devant Gallois et Lecat, notaires à Paris le huit may mil six cent soixante, par lequel appert monsieur d'Andilly, père dudit seigneur de Pompone, et le sieur Gilles au nom et comme procureur dudit deffunt sieur abbé Arnauld, avoir donné par donnation entre vifs audit seigneur de Pompone, scavoir ledit seigneur d'Andilly tous et chacuns les biens meubles et immeubles qui luy apartenoient lors, et ceux qui se trouveroient luy apartenir au jour de son deceds, à la réserve de la pention y mentionnée, et ledit sieur Gille(t) audit nom tous les droits successifs, mobiliers et immobiliers, fruits et revenus qui apartenoient audit seigneur abbé Arnauld, tant par la succession de laditte dame sa mère, comme son héritier en partie et pour le preciput, le droit d'ainesse en sa dite succession, et notamment en la terre ct seigneurie de Pomponne, que comme héritier de partie de messieurs ses frères et damoiselles ses sœurs, relligieuses professes, et de feu monsieur de Hanqueville son oncle, et encore le droit de légitime que ledit sieur abbé auroit pu prétendre en la succession future dudit sieur d'Andilly son père, à la charge de paier par ledit seigneur de Pomponne audit seigneur abbé son frère, la somme de trente mil livres après le deceds dudit seigneur d'Andilly père, et jusques à l'actuel paiement, de luy en paier l'interrest à raison du denier vingt, et encore à la charge de paier audit seigneur abbé deux mil livres de pention viagère par chacun an...

1 La plupart des documents analysés dans l'inventaire après décès existent encore aux Archives de l'Administration, où pourront les consulter ceux qui auront intérêt à recourir aux originaux; nous estimons que la reproduction de cette partie de l'inventaire peut nous dispenser de la publication in extenso des titres.

La seconde est l'expédition signée Brouin, notaire à Angers, de la procuration passée par ledit seigneur abbó Arnauld audit sieur Gillet à l'effet de faire ladite donnation.

La troisiesme est la grosse en parchemin d'un contract passé par devant Delaballe et Buon, notaires à Paris, le XXIV septembre MVI LX, par lequel ledit sieur Gillet, comme procureur fondé de procuration dudit seigneur abbé Arnaud, a donné audit seigneur de Pomponne, ministre, son frère, par donnation entre vifs la somme de neuf mil livres en deniers comptans, qui furent actuellement deslivrez à la charge et réserve de cinq cent livres de rente et pention, la vie durant dudit seigneur abbé, laditte donnation insinuée au Chastelet le vingt huit octobre audit an.

La quatriesme est le double original d'un compte arresté entre ledit seigneur abbé et madame de Pomponne, le xvir juillet mil six cent quatre vingt quinze, des arrérages desdites pentions et interes's des dits trente mil livres, jusques au jour de Saint Jehan audit an, et des paiements faits tant audit seigneur abbé qu'à autres en son acquit, et dépenses faites pour luy, par lequel compte il s'en est trouvé estre deub audit seigneur abbé jusques audit jour Saint Jean mil six cent quatre vingt quinze, toutes desductions faictes, la somme de trente un mil cent douze livres unze sols.

La cinquiesme est un autre compte arresté entre ledit seigneur abbé et laditte dame de Pomponne, le vingt quatre avril mil six cent quatre vingt treize, signé l'abbé Arnaud et Lavocat de Pomponne, par lequel il estoit deub jusques au jour de Saint Jean audit an, audit seigneur abbé, pour les arrérages desdites pentions et interrests de laditte somme de trente mil livres, celle de trente deux mil cent quarante cinq livres dix huit sols, laquelle est employée, et compose le premier article dudit compte du 18 Juillet mil six cent quatre vingtquinze.

La sixiesme est un escript signé Arnauld de Pomponne, du 20 novembre mil six cent quatre vingt quatorze, par lequel ledit seigneur de Pomponne, confirme et approuve tous les comptes qui avoient esté faits entre laditte dame son épouze et ledit seigneur abbé son frère, pour les arrérages des pentions et rentes qu'il luy devoit, suivant les traité et conventions faites entr'eux.

La septiesme est un mémoire escrit de la main dudit deffunt seigneur abbé, non signé, intitulé mémoires pour comptes avec monsieur de Pomponne, depuis notre compte du dix huit juillet mil six cent quatre vingt quinze, par lequel il se voit que ledit seigneur abbé a receu à différentes fois plusieurs sommes qui montent ensemble à seize mil livres.

Les huit, neuf et dix sont procédures, comptes des

arrérages des dites pentions et interrests signées comme dessus.

La onziesme est un escrit signé Arnaud, du deux septembre mil six cent soixante un, par lequel ledit seigneur, en exécution de son contrat de mariage et de la donnation à luy faite par ledit seigneur abbé son frère à iceluy, avec réserve de son habitation dans le chasteau de Pomponne, dont ils s'accommoderoient ensemble, est convenu que ledit seigneur abbé jouïroit des lieux déclarez audit escrit.

Et la douziesme et dernière aussy signée dudit seigneur Arnauld, ministre, du quatorze avril mil six cent soixante, est un escrit par lequel il a promis audit seigneur abbé son frère de luy paier par chacun an cinq cent livres de pention outre et par dessus toutes les choses que ledit seigneur abbé se réservoit par l'acte de donnation qu'il se proposoit de luy faire en faveur de mariage, et de luy en passer toutes fois et quantes qu'il voudroit tel acte et en la forme qu'il luy plairoit, devant ou après la cellébration dudit mariage.

Item quatre pièces attachées ensemble.

La première est l'expédition en papier d'un bail fait par ces dames relligieuses du monastère des filles de la Magdelaine audit deffunt seigneur abbé de la maison en laquelle il est déceddé, passé par devant Auvray et Thibert, notaires à Paris, le vingt deux aoust mil six cens quatre vingt douze, pour six années commencantes au jour Saint Remy en suivant.

La quatriesme est un escrit des dames supérieure et depositaire dudit monastère, du vingt quatre avril mil six cent quatre vingt dix huit, par lequel elles ont accordé et délaissé audit seigneur abbé un lieu et espace où estoit un escalier pour faire l'accroissement d'un cabinet qui conduit à leur tribune, pour en joüir sans augmentation du loyer.

Item un escrit signé Aignan, du vingt deux décembre mil six cent quatre vingt quatorze, par lequel il promet audit deffunt sieur abbé Arnauld de luy rembourser et restituer tous les frais qu'il faudroit faire au Grand Conseil, pour son intervention en qualité d'abbé de Chaulmes, pour le procès d'entre luy sieur Aignan et les usurpateurs du bien temporel du prieuré de Saint Médard de Jouy en Josias.

Item deux pièces attachées ensemble, la première desquelles est la grosse en parchemin d'un contract de constitution de deux cent trente sept livres quinze sols de rente, passé devant de Monthenault et de Turmenière, notaires à Paris, le quinze aoust mil six cent trente huit, par messire Henry Arnauld, conseiller et aumosnier ordinaire du Roy, abbé de Saint Nicolas lez Angers, au proffit de messire Anthoine Arr suld, bachelier en théologie

et chanoine de Verdun, pour la somme de quatre mil deux cent quatre vingts livres de reliquat de compte de tutelle, qu'il luy devoit.

Item quatre pièces attachées ensemble. La première est la grosse en parchemin d'un contrat de constitution de trois cent cinquante livres de rente, passé par messire Henry Arnauld, evesque d'Angers, et ledit deffunct sieur abbé Arnauld son neveu, maître Balthazard Muzard, banquier en cour de Rome, secrétaire dudit seigneur evesque, et damoiselle Renée Lemasson sa femme, tant en leurs noms que comme se faisans forts dudit seigneur de Pomponne, qu'ils avoient promis faire ratiffier à noble homme Olivier Subleau, conseiller du Roy, trésorier général de la marinne, par devant Charlet et Lenfant, notaires royaux à Angers, le quatriesme de mars mil six cens soixante six, en marge de laquelle grosse est une mention que par quittance passée par devant Charlet, notaire audit Angers, le quatorze aoust mil six cent quatre vingt cinq, laditte rente a esté remboursée à dame Magdelaine Séjourné, veuve dudit sieur Soubleau, des deniers empruntez par ledit seigneur evesque et autres de noble homme Jacques Belet, par contract passé devant le mesme notaire ledit jour.

Mémoires des livres

appartenant à monsieur l'abbé Arnauld, à Angers.

IN-FOL.

Architecture de Palladio.
Vitruvio, con Barbaro.
Vitruvius Barbari.
Bastiments, du Cerceau.
Perspectives, du Cerceau.
Forces mouvantes de Caux.
Perspectives de Caux. Miroirs.
Basilica Sancte Maria majoris.
Un livre de Cartes.

Trois grands livres d'estempes.
Livre d'ornements.

Imprese del Dolce.

Des cinq ordres de colonnes. Ponssard. Architectures de Vredemanni.

Plafons Vouet.

Des cinq ordres d'architectures; traduction d'ur. Alman.

Leonardo da Vinci, della pittura.
Liencourt, Israël Calot.
Moulin et pompes de Strada.
Antiquitez de Rome.
Statue di Roma.
Escurial.

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Entretiens de Balzac.

Aminta del Tasso, de M. Ménage.

Suitte de la desfence de M. Voiture.

Desfence de Voiture.

Vie de dom Barthélemy des Martires.

Responce à M. Costar, p. B.

Socrate chrestien.

Concordantia Bibliorum.

Recueil de diverses pièces touchant la grâce.

Recueil de diverses pièces touchant les cinq propositions condamnées et autres matières de la grâce.

L'inocence et la vérité deffendue.

Deffence de la foy de l'église catholique contre Abadie.
Lettres de M. Arnault, etc.

Deffence de la constitution du pape Innocent X.
Lettres au Provincial.

S. Augustin victorieux de Calvin et Molina P. A. D. B.

Censures de l'apologie des casuistes.

Orlando furioso dell' Ariosto.

Il Solimano, Tragedia.

Orontii Finai de Praxi Geometrica.

La vie de S. Jean Chrisostome.

IN-8°.

Perspectives de Desargues en 2 Thomes.

Couppes des Pierres de Desargues.
Cadrans de Desargues.

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Office de la sepmaine saincte.

Rime italienne di Menagio.

Nouveau testament latin.

Petit traitté de M. Pascal : de l'équilibre des liqueurs. Mémorial de Cardennas contre les Jes.

Petit Vignolle.

Lettres patentes d'établissement d'un hôpital

de Chaumes en Brie, du mois de décembre 1719.

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Louis, par la grâce de Dieu, roy de France et de Navarre. à tous présens et à venir salut. Nos chers et bien amez les curez, echevins et habitants de la ville de Chaumes en Brye, nous ont fait remontrer que ladicte ville est un lieu de passage et d'estappes, scituée sur le grand chemin de Flandres et d'Allemagne, où il a passé pendant la dernière guerre plus de quinze à vingt mille hommes par an, tant cavalerie qu'infanterie, allant sur les frontières pour former les armées, et repassant dans le Royaume pour le quartier d'hiver, et que dans les frequens passages des troupes, il a souvent resté des mallades qu'on n'a pû secourir d'une manière convenable, faute de lieu pour les recevoir, que dans ladite ville et dépendances d'icelles, il y a tous jours nombre de pauvres mallades qui seroient soulagez, s'il y avoit un lieu propre pour les retirer, qu'il y avoit antiennement dans Jadite ville un hôpital qui a été détruit par les anciennes guerres, ou perry par caducité, dont il reste quelques vestiges et anciennes mazures, et que les dits habitans connoissant la nécessité qu'il y a pour le public de rétablir cet hospital, auroient fait une assemblée entreux, convoquée au son de la cloche le 18 février 1717, dans laquelle, après avoir meurement examiné le bien qui en résultera, d'une commune voix ils avoient résolu de faire cet établissement, et le sieur Cambous, curé de ladicte ville, pour y contribuer de sa part, a offert de donner gratuitement une maison, cour et jardin à luy appartenant, de ses acquisitions, scituée près l'église de ladite ville, en état d'y loger les mallades et les personnes qu'il conviendra pour les soliciter, que cet establissement a desjà un revenu solide provenant d'un legs pieux fait aux pauvres de ladite ville par le sieur Anthoine Arnault de Pomponne, cy devant abbé de l'abbaye de Chaumes, par son testament du 22 octobre 1694, confirmé par un codicile du 22 octobre 1696, par lequel ayant institué les administrateurs de l'Hostel Dieu de nôtre ville de Paris et le sieur J. Baptiste Fremy, ses exécuteurs testamentaires, ils auroient par acte du 11 octobre 1699 le legs fait aux pauvres de Chaumes à la somme de quatorze mil sept cens quatre vingt livres, laquelle somme ayant fait porter au Trésor Royal, il leur a esté constitué une rente sur l'hostel de notre ville de Paris de sept ceas trente neuf livres au proffit des dits pauvres de la ville de Chaumes,

par contract du 13 janvier 1700, laquelle rente a depuis esté reduite à six cens cinquante livres quatre deniers, au denier 25, par autre contract du 17 septembre 1714, de laquelle rente il est dûb plusieurs années d'arrérages, qui doivent estre employez à la construction et rédification des bastimens nécessaires audit hospital. Sur quoy les exposans s'estant pourveus par devant le sieur archevesque de Sens, luy ayant représenté l'acte d'assemblée du 17 feb. 1717, il l'auroit aprouvé par acte du 13 juillet 1719, et d'autant que tous établissemens doivent estre appuyez de notre autorité, pour les rendre solides, ils nous ont très humblement fait suplier de leur accorder nos lettres sur ce nécessaires.

A ces causes, voulant favorablement traiter les exposans, et procurer le bien public et particulier des habitans de ladite ville de Chaumes, de l'avis de notre très cher et très amé oncle le duc d'Orléans, petit-fils de France, régent, de notre très cher et très amé oncle le duc de Chartres, premier prince de notre sang, de notre très cher et très amé cousin le duc de Bourbon, de notre très cher et très amé cousin, le prince de Conty, princes de nôtre sang, de notre très cher et très amé oncle le comte de Toulouze, prince légitimé, et autres pairs de France, grands et notables personnages de nôtre royaume, qui ont vû l'acte d'assemblée et délibération des dits habitans de nôtre ville de Chaumes du 19 juin 1719, au pied duquel est l'aprobation du sieur archevesque de Sens du 13 juillet suivant, copie du testament et codicile dudit sieur abbé de Pomponne et des contracts de réduction à 650 livres 6 sols 4 deniers constituez au proffit. des pauvres de ladite ville de Chaumes et dépendances, et le règlement à observer audit hôpital, le tout cy attaché, sous le contre sel de notre chancellerye, nous avons agréé, confirmé, aprouvé et autorisé de notre grâce spéciale, pleine puissance et autorité royale, agréons, aprouvons, confirmons et autorisons par ces présentes signées de notre main l'establissement d'un hospital en ladicte ville de Chaumes, pour estre regy et gouverné par le Bureau de la Direction qui sera estably, et suivant les dits reglemens faits conformément à la déclaration du 12 décembre 1698, et y estre les fonctions curiales faites par le curé de la parroisse, tant envers les pauvres qui y seront recues, que les personnes préposées pour les servir.

Voulons que ledit hospital soit construit dans la maison ordonnée par ledit sieur curé ou autres lieux qui seront jugez plus commodes par les dits habitans, et que les arrérages escheus de ladite rente, deus aux pauvres, soient employez aux constructions et édifications convenables, au logement et entretien des pauvres et de ceux qui les serviront.

Voulons et nous plaist que les administrateurs puissent

IV.

accepter au nom dudit hospital toutes donations, fondations, legs pieux et aumônes qui luy pourront estre faits, acquérir, tenir et posséder toutes sortes de fonds, droits et héritages, rentes et possessions, pour demeurer unies audit hopital, et sans qu'il puisse estre troublé en la possession des dits biens, sans toutes fois qu'il puissent prétendre aucuns droits d'amortissement, sinon des lieux qui composeront les maisons, jardins et enclos des bastimens qui seront acquis pour la construction et usage dudit hospital, que nous avons amortis et amortissons par ces présentes, sans que pour raison d'iceux ledit hôpital soit tenu de nous payer, ny à nos successeurs rois aucune finance de laquelle, à quelque somme qu'elle se puisse monter, nous luy avons fait et faisons don et remise par ces présentes, sans préjudice des droits qui pouroient apartenir aux seigneurs particuliers, desquels les dits lieux pouroient estre mouvans.

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Voulons aussy que ledit hôpital jouisse de tous les avantages, privilèges, franchises, immunitez dont jouissent les autres hôpitaux de notre royaume, à condition qu'il se fera tous les jours en iceluy des prierres pour nous et nostre famille royalle, nos successeurs roys, et la conservation de notre État, sy donnons en mandement à nos amez et feaux conseillers, les gens tenant nostre cour de Parlement à Paris, que ces présentes ils ayent à faire enregistrer, et du contenu en icelles jouir et user ledit hospital pleinement, paisiblement et perpétuellement, cessant et faisant cesser tous troubles et empeschemens contraires, car tel est notre plaisir.

Et afin que ce soit chose ferme et stable à tousjours, nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes. Donné à Paris, au mois de décembre l'an de grâce mil sept cens dix neuf et de nostre règne le cinquième, et sur le reply est écrit, par le Roy le duc d'Orléans, Régent, présent. Signé Phélippaux '.

Par devant les conseillers du Roy, notaires au Chas telet de Paris soussignez, furent presens messieurs les gouverneurs, maistres et administrateurs de l'Hostel Dieu de Paris, representez par Alexandre Michel Soufflot et Philippes Levesque, escuyers, conseillers, secrétaires du Roy, maison, couronne de France et de ses finances, monsieur Pierre Destrechy, substitut de monseigneur le procureur général, Bernard Greslé, escuyer, et Thomas Dandreau, escuyer, et maistre Jehan Baptiste Fremy, prestre, prieur du Hamel-lès-Breval, lesquels, au nom et comme exécuteurs du testament olographe de deffunt messire Antoine Arnauld de Pomponne, conseiller du Roy en ses conseils, abbé commandataire de Saint Pierre

1 Voir au tome Ier de nos documents, page 284, une délibération des membres du Bureau de l'Hôtel Dieu de Paris, relative à l'hôpital de Chaumes.

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IMPRIMERIE NATIONALE,

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