| Jean de La Bruyère - 1701 - 334 páginas
...guerir des femmes. Si les femmes étoient telles naturellement qu'elles le deviennent par artifice, qu'elles perdiflent en un moment toute la fraîcheur de leur teint, qu'elles enflènt le vifage auffi allumé & auffi plombé qu'elles fe le font par le rouge & par la peinture... | |
| Charles Noblot - 1731 - 492 páginas
...guérir des femmes. Si les femmes étoient telles naturellement qu'elles le deviennent par l'artifice , qu'elles perdiflent en un moment toute la fraîcheur de leur teint, qu'elles euflent le vifage auffi allumé & auffi plombé qu'elles fe le font par ie rouge & par la peinture , dont elles fe fardent... | |
| Theophrastus - 1735 - 366 páginas
...les femmes étoïenc telles naturellement qu'elles le deviennent par artifice , qu'elles perdiflènt en un moment toute la fraîcheur de leur teint, qu'elles euflent le vifage auffi allumé & auflî plombé qu'elles fe le font par le rouge & par la peinture dont elles fe fardent,... | |
| 1743 - 504 páginas
...étoient telles naturellement, qu'elles le deviennent par artifice , c'eft-à-dire , qu'elles perdiffent , en un moment , toute la fraîcheur de leur Teint, qu'elles euflent le Vifage aufîi allumé & auffi plombé , qu'elles fe le font par le Rouge & par la Peinture, dont elles fe... | |
| 1789 - 768 páginas
...les femmes étoient telles naturellement qu'elles le deviennent par artirice , qu'elles perdilTent en un moment toute la fraîcheur de leur teint, qu'elles euflent le vifage auflî allumé & aufll plombé qu'elles fe le font par le rouge &• par la peinture dont elles fe fardent, elles fcro:cnt... | |
| 1789 - 742 páginas
...guérir des femmes. . Si les femmes étoient telles naturellement qu'elles le devienneiit par artifice , qu'elles perdiflent en un moment toute la fraîcheur de leur teint , qu'elles euffent le vifage auflî allumé & auflî plombé qu'elles fe le font par le rouge &par la peinture... | |
| Jean de La Bruyère - 1871 - 442 páginas
...les femmes étoient telles naturellement qu'elles le deviennent par artifice , qu'elles perdiiïent en un moment toute la fraîcheur de leur teint, qu'elles euflent le vifage auffi allumé & auffi plombé qu'elles fe le font par le rouge & par la peinture dont elles fe fardent,... | |
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