Traduction en vers des Métamorphoses, Volumen1 |
Comentarios de la gente - Escribir un comentario
No encontramos ningún comentario en los lugares habituales.
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
ailes aime airs amant amour anciens appelle Bacchus beau beauté belle bois bords bras changé char charmes cher cherche cheveux ciel coeur corps coups cours crime d'Ovide déesse dernier description destin dieu dieux dire dit-il doit donne douleur eaux édit enfin fable fidelle figures fille fils flancs fleurs fleuve flots fond force forme frappe front génie grace Grèce hélas héros heureux homme image j'ai jeune jour Junon Jupiter l'amour l'autre l'onde l'un laisse langue latin livre loin longs lui-même main malheur Mars Médée mère monde monts mort mots nature naturelle nouveaux nouvelle nymphe ornés ouvrage Ovide palais parle peine pensée père piés pleurs poëme poésie poète porte premier prend presse qu'un regards rend reste rien s'il sais sang secret semble sens sent serpent seul soin soleil sort soudain sujet tableau tems terre tête touche traits trouve vain venger veut voit voix yeux
Pasajes populares
Página 193 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Página 292 - Ce qu'on ne doit point voir, qu'un récit nous l'expose; Les yeux en le voyant saisiraient mieux la chose, Mais il est des objets que l'art judicieux Doit offrir à l'oreille et reculer des yeux.
Página 394 - L'enfer s'émeut au bruit de Neptune en furie. Pluton sort de son trône, il pâlit, il s'écrie; II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des dieux1.
Página 90 - Voulez-vous du public mériter les amours? Sans cesse en écrivant variez vos discours. Un style trop égal, et toujours uniforme, En vain brille à nos yeux, il faut qu'il nous endorme.
Página xxvii - ... qu'ils naissent tous les uns des autres , introduire tant de personnages , les uns pour agir , les autres pour raconter , de manière que tout marche et se développe sans interruption , sans embarras , sans désordre , depuis la séparation des...
Página 105 - Elle aperçoit Henri, se détourne, et soupire. Auprès d'elle est l'orgueil, qui se plaît et s'admire, La faiblesse au teint pâle, aux regards abattus, Tyran qui cède au crime, et détruit les vertus ; L'ambition sanglante, inquiète...
Página 251 - Belle Aréthuse, ainsi ton onde fortunée Roule, au sein furieux d'Amphitrite étonnée, Un cristal toujours pur et des flots toujours clairs, Que jamais ne corrompt l'amertume des mers.
Página xxvi - C'est dans ce seul ouvrage , il est vrai , qu'il s'est élevé fort audessus de toutes ses autres productions ; mais aussi quelle espèce de mérite ne remarque-t-on pas dans les Métamorphoses ! Et d'abord, quel art prodigieux dans la texture du poème!
Página 379 - Pénètre en un moment les vastes champs de l'air. Le père cependant , plein d'un trouble funeste, Le voit rouler de loin sur la plaine céleste; Lui montre encor sa route , et , du plus haut des deux ' , Le suit , autant qu'il peut , de la voix et des yeux.
Página xxix - J'étais pour Ovide à vingt ans; Je suis pour Horace à quarante. S'il a voulu dire qu'Horace a le goût plus sûr qu'Ovide , cela est incontestable ; mais je crois qu'à tout âge on peut aimer, et beaucoup, l'auteur des Métamorphoses. Voltaire avait une grande admiration pour cet ouvrage, et l'on sait qu'il ne prodiguait pas la sienne. Sans doute on ne peut comparer le style d'Ovide à celui de Virgile ; mais peutêtre fallait-il que Virgile existât, pour que l'on sentît bien ce qui manque...