Histoire d'Espagne depuis les premiers temps historiques jusqu'à la mort de Ferdinand VII.F.G. Levrault [and others], 1837 |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
abd el Melek abd el Rahman Abdelaziz Aboul al Mansour Alonzo Arabes armée Asturiens Asturies asyle avaient Baledji Basques bataille Beja Berbers Bermudo Bernardo bientôt Borbon Charles chef chré Chron chronique d'Alonzo chroniques chrétiennes cité comte de Castille Conde conquérants conquête Cordoue d'abd d'Afrank d'al Mansour d'Ordoño devant Dieu Duero émir ennemis envoya Espagne espagnole expédition Fernan Gonzalez fils Franks franque frontière Fruela Galice Garcia Gaule Goths guerre habitants haine Hakem Hischem historiens arabes Karl khalifat khalife Koran l'Afrique l'armée l'Ebre l'émir l'émirat l'Espagne arabe l'Espagne chrétienne l'histoire l'islam laisser Léon Mahomet Maures Merida monarchie montagnes mort Mouza Murphy musulmans Narbonne Navarre nord Okbah Ordoño pays Pelayo Péninsule peuple populations Pyrénées qu'Alonzo race Ramiro rebelle règne reste révolte rois royauté s'était saint Samah Samaïl Sampiero Sancho Saragosse Septimanie seul Séville Silo soldats suivant Syriens Tadmir Thareck Theod-mir Tolède tribut trône vainqueur Vasconie victoire wali Youssouf Zamora
Pasajes populares
Página 260 - Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, Treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt.
Página 260 - Les éclairs ne jaillissent plus de leurs armes souillées de sang. Combien sont-ils? enfant, compte-les bien : Vingt, dix-neuf, dix-huit, dix-sept, seize, quinze, quatorze, treize, Douze, onze, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un. Un ! il n'y en a même plus un.
Página 260 - Et qu'avaient-ils à faire dans nos montagnes, ces hommes du Nord ? Pourquoi sont-ils venus troubler notre paix? Quand Dieu fait des montagnes, c'est pour que les hommes ne les franchissent pas. Mais les rochers en roulant tombent : ils écrasent les bataillons; Le sang ruisselle, les chairs palpitent; Oh!
Página 68 - ... provincial et parlementaire ? Je n'ai pas de mal à dire de cet excellent monsieur Servais, puisque c'est lui qui subventionne la boutique : il vaut de l'or. Ce Mirabeau d'arrondissement se figure qu'il sera un jour appelé à sauver la patrie, et que, ce jour-là, il n'aura qu'à nous dire à tous, comme Dieu aux flots de la mer : « Tu n'iras pas plus loin. » S'il savait les agréables surprises que nous lui réservons pour ces heures délicates ! Son faux toupet se dresserait d'horreur sur...
Página 260 - Oh! combien d'os broyés! quelle mer de sang! Fuyez, fuyez, ceux à qui il reste de la force et un cheval. Fuis, roi Carloman, avec tes plumes noires et ta cape rouge! Ton neveu, ton plus brave, ton chéri, Roland, est étendu mort là-bas; Son courage ne lui a servi à rien.
Página 260 - ... jaillissent plus de leurs armes souillées de sang. Combien sont-ils? enfant, compte-les bien ! Vingt, dix-neuf^ dix-huit, dix-sept, seize, quinze, quatorze, treize, Douze, onze, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un; Un! il n'y en a même plus un! C'est uni. Etchcco-Jaona, vous pouvez rentrer avec votre chien, Embrasser votre femme et vos enfants, Nettoyer vos flèches, les serrer avec votre corne de bœuf, et ensuite von...
Página 509 - Algarbe las dulces auras — tu pompa halagan y besan: En fecundo suelo arraigas— y al cielo tu cima elevas: Tristes lágrimas lloraras — si cual yo sentir pudieras: Tu no sientes contratiempos — como yo de suerte aviesa; A mi de pena y dolor — continuas lluvias me anegan...
Página 6 - Celui qui périra dans une bataille obtiendra le pardon de ses péchés; au dernier jour, ses blessures seront éclatantes comme le vermillon, parfumées comme...
Página 12 - Donnez-lui ce que la loi ordonne, et la renvoyez avec honneur. 49. 0 prophète! il t'est permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles, et de tes tantes qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui te livrera son cœur.
Página 67 - Un général arabe, au moment de livrer une bataille où il fallait vaincre ou périr, fit la prière d'usage, mais en omettant le nom du calife; ses officiers, croyant que c'était une distraction, l'en avertirent. « Sachez, répondit Mouza, que nous sommes dans un lieu et dans un moment, où nul autre nom ne doit être invoqué que le nom du Dieu très haut (3).