Revue contemporaine, Volumen73;Volumen97Bureaux de la Revue contemporaine., 1868 |
Otras ediciones - Ver todas
Términos y frases comunes
Abyssinie âmes anglais Arnauld assez aurait avaient Bernadotte c'était canal Cécilia Chanterive Charles de Fontèves chose chrétiens cœur compte rendu comte de Fontèves comtesse Constitution Constitution de 1852 Corps législatif côté cousin d'Etat devant Dieu dire discours discussion dit-il Domitien donner doute esprit eût femme fille force gouvernement Grecs guerre Hamlet Hélène hommes j'ai jamais jansénisme Jansénius jeune jour journaux Jules Favre Kâlidâsa l'art l'Empereur l'empire l'esprit l'étalon d'argent l'Inde laisser liberté livre main Marthe ment millions ministre monde monétaire monsieur Savarèze morale mort n'avait n'était nation navires navires à voiles officiel parler passé passion pays pensée père peuple peut-être philosophie poète politique Port-Royal Port-Saïd porte pouvait premier presse prince prince de Ponte-Corvo publique qu'un question raison reste rien s'est s'il Saint-Cyran Sainte-Beuve Sakountala séance semble sentiment serait seul Shakespeare siècle Sirac sorte Suède Suremain Tanneguy tion trouve vérité Vespasien voilà voulait vrai yeux
Pasajes populares
Página 61 - ... le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur, le magistrat la règle de ses devoirs, le législateur; l'objet de sa mission. En conséquence il proclame en présence de l'Être suprême la déclaration suivante des droits de l'homme et du citoyen. Art. 1.
Página 60 - Le peuple Français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie, afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur; le...
Página 476 - Il a donné du pain à celui qui avait faim, de l'eau à celui qui avait soif, des vêtements à celui qui était nu.
Página 497 - ... le temps ne se perd pas en vaines interpellations, en accusations frivoles, en luttes passionnées dont l'unique but était de renverser les ministres pour les remplacer.
Página 59 - Quiconque sera convaincu d'avoir composé ou imprimé des ouvrages ou écrits qui provoquent la dissolution de la représentation nationale, le rétablissement de la royauté ou tout autre pouvoir attentatoire à la souveraineté du peuple, sera traduit au tribunal extraordinaire et puni de mort.
Página 61 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Página 39 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme...
Página 404 - Comme il se trouvait bien dans cette maison, on lui parla de la clôture ; il écouta si bien ce qu'on lui dit sur ce sujet, que quand la porte du jardin était ouverte et qu'on voulait le faire un peu plus avancer, il s'en fâchait et se reculait en pleurant.
Página 397 - On est sévère, mais en même temps on porte dans le fond de l'âme une aigreur que rien ne peut adoucir ; on y conserve un poison mortel, des haines implacables, des inimitiés dont on ne revient jamais ; on est sévère, mais en même temps on entretient, des partis contre ceux qu'on ne...
Página 419 - Naudé, comme sceptiques officiels, leur sont adjoints. Suivent les autres qui plus ou moins s'y rattachent, qui ont profité en le lisant, et y ont pris pour un quart d'heure de plaisir; ceux qu'il a guéris un moment du solitaire ennui, qu'il a fait penser en les faisant douter; La Fontaine...