Poésies, suivies d'un choix de ses lettresChez Janet et Catelle, 1822 - 455 páginas |
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... pleurs : Qu'aux deux bouts du monde se voie Luire le feu de notre joie ; Et soient dans les coupes noyés Les soucis de tous ces orages Que , pour nos rebelles courages , Les dieux nous avoient envoyés . A ce coup iront en fumée Les vœux ...
... pleurs : Qu'aux deux bouts du monde se voie Luire le feu de notre joie ; Et soient dans les coupes noyés Les soucis de tous ces orages Que , pour nos rebelles courages , Les dieux nous avoient envoyés . A ce coup iront en fumée Les vœux ...
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... pleurs ? Assurez vos ames craintives , Remettez vos chapeaux de fleurs : Le roi vit ; et ce misérable , Ce monstre vraiment déplorable , Qui n'avoit jamais éprouvé Que peut un visage d'Alcide , A commencé le parricide , Mais il ne l'a ...
... pleurs ? Assurez vos ames craintives , Remettez vos chapeaux de fleurs : Le roi vit ; et ce misérable , Ce monstre vraiment déplorable , Qui n'avoit jamais éprouvé Que peut un visage d'Alcide , A commencé le parricide , Mais il ne l'a ...
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... ; Et ces matières de pleurs , Massacres , feux , et rapines , De leurs funestes épines Ne gâteront plus nos fleurs . Nos prières sont ouïes , Tout est réconcilié ; Nos peurs sont évanouies , Sédan s'est humilié . A 26 LIVRE I. ODE ...
... ; Et ces matières de pleurs , Massacres , feux , et rapines , De leurs funestes épines Ne gâteront plus nos fleurs . Nos prières sont ouïes , Tout est réconcilié ; Nos peurs sont évanouies , Sédan s'est humilié . A 26 LIVRE I. ODE ...
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... menace De faire renaître nos pleurs ; Tout s'accorde à notre bonace ; Les hivers nous donnent des fleurs ; Et si les pâles Euménides Pour réveiller nos parricides Toutes trois ne sortent d'enfer , Le repos du siècle ODES . 59.
... menace De faire renaître nos pleurs ; Tout s'accorde à notre bonace ; Les hivers nous donnent des fleurs ; Et si les pâles Euménides Pour réveiller nos parricides Toutes trois ne sortent d'enfer , Le repos du siècle ODES . 59.
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... pleurs . Dans toutes les fureurs des siècles de tes pères Les monstres les plus noirs firent - ils jamais rien Que l'inhumanité de ces cœurs de vipères Ne renouvelle au tien ? Par qui sont aujourd'hui tant de villes désertes , Tant de ...
... pleurs . Dans toutes les fureurs des siècles de tes pères Les monstres les plus noirs firent - ils jamais rien Que l'inhumanité de ces cœurs de vipères Ne renouvelle au tien ? Par qui sont aujourd'hui tant de villes désertes , Tant de ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 209 - C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Página 113 - Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste Elle eût eu plus d'accueil ? Ou qu'elle eût moins senti la poussière...
Página 210 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteur Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Página 98 - Ses soupirs se font vents qui les chênes combattent, Et ses pleurs qui tantôt descendaient mollement Ressemblent un torrent qui des hautes montagnes Ravageant et noyant les voisines campagnes, Veut que tout l'univers ne soit qu'un élément.
Página 112 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas? Je sais de quels appas son enfance étoit pleine; Et n'ai pas entrepris, Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Página 209 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que...
Página 116 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois.
Página 52 - La troupe de leurs nourrissons; Tous leurs vœux seront de te plaire; Et si ta faveur tutélaire Fait signe de les avouer, Jamais ne partit de leurs veilles Rien qui se compare aux merveilles Qu'elles feront pour te louer.
Página 128 - O Dieu , dont les bontés de nos larmes touchées Ont aux vaines fureurs les armes arrachées , Et rangé l'insolence aux pieds de la raison , Puisqu'à rien d'imparfait ta louange n'aspire , Achève ton ouvrage au bien de cet empire , Et nous rends l'embonpoint comme la guérison 2.
Página 261 - Que mon fils ait perdu sa dépouille mortelle, Ce fils qui fut si brave, et que j'aimai si fort, Je ne l'impute point à l'injure du sort, Puisque finir à l'homme est chose naturelle. Mais que de deux marauds...