niere de paffer faintement le Carême. p. 9 Quatriéme Lettre. A un Prelat. Il lui dit les raifons qui l'empefchent d'aller à Paris, pour les affaires de l'étroite Obfervance. Cinquiéme Lettre. A une Dame. P. 14 Sur le neant de cette vie, & la vanité de tout ce qui n'eft point éternel. P. 18 Sixième Lettre. A une Princesse, Sur la mort de Madame l' Abbeffe de.... c. Il lui parle de la foûmiffion qu'on doit avoir aux ordres de Dieu. Septiéme Lettre. Aune Abbeffe. P. 24 Il lui confeille d'effaier d'entrer dans la pratique exacte de fa Regle, & de ne point écouter les confeils des perfonnes relâchées. P. 24 Huitiéme Lettre. A une de fes Nieces. Il continuë de l'exhorter à ne fe point rendre aux inftances qu'on lui faifoit de changer d'obfervance. P. 32 Neuvième Lettre. A une Dame de qualité. Il luy dit que Dieu fe fert des afflictions pour retrancher en nous ce qui lui peut déplaire. Dixiéme Lettre. A un Evefque. P-35 Qu'à l'exemple des Apoftres, il doit fe rejouir des perfecutions qu'on lui fufcite que c'est le caractere auquel Dien marque fes œuvres. P. 38 Que les biens éternels font feuls dignes d'occuper un Chrétien. Douziéme Lettre. A une Dame. P. 47 Qu'il ne faut point se laiffer abbattre par la vie de fes miferes; mais regarder avec confiance la mifericorde de Dien page st Treiziéme Lettre. A une Religieufe. Qui le confultoit pour changer d'Obfer vance P.54 Quatorziéme Lettre. A une Dame de qualité. On doit vouloir d'une volonté effective ce que noftre mauvaise fanté nous empefche de pratiquer; & reparer par des difpofi tions interieures, ce qui fe trouve de défectueux dans nos œuvres. P.58 Quinziéme Lettre. A un Evefque. L'Epifcopat dans fon origine eft un état de Souffrances & de croix; Que celles qui nous viennent de Dieu nous font dautant plus utiles, que nous ne nous les ferions jamais choifies. P. GL Seiziéme Lettre. A un Marefchal de France. Sur fa difgrace. Qu'il ne peut avoir de douleur de le voir éloigné d'un endroit où Dieu n'est ni connu ni fervi. Que les difgraces ne font point des coups de malheur, mais des conduites de la mifericorde de Dieu. p. 64 Dix-feptiéme Lettre. A un Prelat. Il l'exhorte à perfeverer dans la vie peni tente qu'il mene, & l'affure qu'elle eft tonte de Dien. Des graces dont Dien a 1 accompagné le paffage d'un de fes Re ligieux. p. 68 . Dix-huitiéme Lettre. A fon Alteffe Royale, Madame de Guife. Il lui marque l'idée qu'Elle doit fe former des biens & des grandeurs de la terre, d l'usage qu'Elle eft obligée de faire des avantages que Dieu lui a donnez en cette vie. Que le monde n'a rien qui puisse plaire. Avis qu'il lui donne pour mener une vie chrétienne. P. 75 Dix-neuviéme Lettre. A la mefme. Sur la reconnoiffance qu'Elle doit à Dieu, touchant les fentimens qu'Elle a fur les chofes de ce monde. Que la voie des contradictions & des croix eft le chemin qui conduit an Ciel. P. 80 Vingtiéme Lettre. A un Abbé de l'Ordre. Que l'oppofition qu'on trouve dans l'établiffement du bien, eft une preuve fenfible que Dieu en eft l'auteur. De la confiance que les Religieux doivent avoir en leur Superieur. Quelle difcretion on doit avoir dans fes aufterites. p. 86 Vingt-uniéme Lettre. A fon Alteffe Royale, Madame de Guife. Que le temps qu'on paffe dans la retraite paroit court à une ame qui ne cherche que Dien. Conduite differente qu'il faut tenir à l'égard des biens & des maux de ce monde. Eftat où il faut eftre pour joüir de Dien avec plenitude. P. 95 Vingt-deuxième Lettre. Ala mefme, Negliger les dons de Dieu, c'est l'obliger à les retirer. Portrait de ce monde ; & la conduite qu'il y faut tenir. Motif pour aimer la Retraite. p.190 Vingt-troifiéme Lettre. A un Abbé de fes Amis. Il lui donne avis de la protection que le Roy a donnée à la Reforme, & le prie de l'appuier de fon credit, p. 103 Vingt-quatriéme Lettre. A un Curé de fes Amis. Il benit Dieu de la protection qu'il a donnée à un Saint Evefque. P. 108 Vingt-cinquiéme Lettre. A fon Altesse Royale, Madame de Guife. Bons effets des gemiffemens & des fouffran |