ces. Soin que Dieu prend des Elûs. p. të Vingt-fixiéme Lettre. A la mefme. Il l'affure qu'il aurà foin de recommander à Dieu, le jour de sa naissance. CaraEtere de la fainte Enfance. En quoy confifte la Religion. p. 114 Vingt-feptiéme Lettre.A un Archevefque. Il lui témoigne la part qu'il prend à la perte qu'il vient de faire d'un de fes Neveux, & lui parle de l'heureux passage d'un de Jes Religieux. p.118 pgt-huitiéme Lettre. A un Evefque. Que ce qui se paffe dans le monde doit porter un Chrétien à s'en feparer pour jamais. Que pour mourir dans l'amour des chofes éternelles, il faut avoir vécu dans le mépris & la haine de celles du temps. P. 122 Vingt-neuviéme Lettre. A un Ecclefaftique. Que les perfonnes qui engagent au service de Jesus-CHRIST ne doivent point fe rebuter des obftacles qu'ils trouvent en leur chemin, ni abandonner leur deffein fous pretexte d'une plus grande perfection. P. 125 Trentiéme Lettre. A fon Alteffe Royale, Madame de Guife. Degagement avec lequel il faut regarder les chofes d'ici bas. Moien de conferver la paix dans toutes fortes d'évenemensP. 130 Trente-uniéme Lettre. A la mefme. Que les fruits que l'on a fait dans une Retraite Se découvrent par les œuvres. Tout eft utile aux ames qui fervent Dien. Moien pour conferver une paix conftante & inalterable. Trente-deuxième Lettre. A Madame p.133 Il la confole fur la peine qu'elle a, de voir des gens de bien oppofez en fentimens. Il lui fait connoiftre que les moiens de vivre en paix confiftent à estre fans defirs, & à fe foûmettre à Dieu en toutes choses. ·P. 136 Trente-troifiéme Lettre. A Monfieur.... Sur la gratitude que nous devons à Dieu pour toutes les bontez qu'il a pour nous Trente-quatriéme Lettre. A un illuftre Il lui marque l'empreffement qu'il a d'apprendre de fes nouvelles, & en mefme temps la conduite qu'il doit tenir pour fe fauver,en travaillant à fauver les autres.page 145 Trente-cinquième Lettre. A fon Alteffe Royale Madame de Guise. Il lui fait connoistre que Dieu permet fouvent, que les intentions les plus juftes foient renversées ; & qu'il n'y a que les difpofitions interieures qui lui foient agreables. P. 148 Trente-fixiéme Lettre. A la mefme. Il lui reprefente de quelle maniere Elle doit travailler à fe procurer la paix. Que l'Efprit de Dien doit eftre la feule regle de fa conduite; & que la charité peut fe perdre en un inftant fans qu'on y penfe. page 151 Trente-feptiéme Lettre. A Monfieur.... Un Ecclefiaftique pourvû de plufieurs Benefices, aiant pris la refolution de s'en défaire, & de n'agir en cela par aucun motif humains Monfieur l'Abbé de la Trappe s'excufe envers une perfonne qui l'avoit prié de lui rendre fervice en cette occafion, de ne le pouvoir faire, fans intereffer fa confcience. P. ISS Trente-huitiéme Lettre. A Made. Il la confole fur fon entrée en Religion malgré l'oppofition de fes pere & mere, & la follicite d'y perfeverer: Il lui explique comment l'obeiffance qu'elle leur doit, ne peut eftre bleffée par cette démarche, & lui donne plufieurs avis pour affermir fa vocation. P. 159 Trente-neuviéme Lettre. A Madame.... Il l'affare qu'il emploïera fes prieres & celles de fes Freres pour obtenir de Dieu le retour & la reconciliation d'une ame ingrate & infidelle. p.162 Quarantiéme Lettre. A fon Alteffe Royale Madame de Guise. Il lui marque la conduite qu'Elle doit tenir en une affaire épineufe. Qu'il faut fouf frir les maux aufquels on ne peut remedier P. 164 Quarante-troifiéme Lettre. A la mefme. En lui faifant voir que le monde ne vaut pas la peine qu'on s'y attache il fouhaite que rien ne puiffe la diftraire du defir qu'Elle a d'eftre à Dieu & de le fervir; & lui enfeigne les moïens de jouir. interieurement d'une paix folide, en lui propofant l'exemple d'une fainte Solitaire. page 167 Quarante-quatriéme Lettre. A une Demoifelle qui avoit perdu fon Pere. Aprés lui avoir témoigné combien il eft fenfible à la perte qu'elle vient de faire ; il lui marque les puiffans motifs qu'elle a de fe feparer du monde, en embraffant le parti du Cloitre, & ce qu'elle doit faire pour ceta. Ce que c'est que le Noviciat, & quelles qualitez font requifes pour faire des vœux. P. 170 Quarante-cinquiéme Lettre. A un Reli gieux, fur un Bref de translation qu'il avoit obtenu. Comment les Superieurs devroient examiner la vocation de ceux de leurs Religieux, qui auroient envie de quitter leurs obfervances. Religieux de differens Ordres » |