moigné en ce temps- là le deffein qu'il avoit de s'y retirer un jour; qu'il y eft arrivé; qu'il lui a donné l'habit ; mais qu'il l'examinera ferienfement avant que de l'admettre à la Profeffion. P. 246 Soixante-quatriéme Lettre. A fon Altesse Royale Madame de Guife. Il lui fait voir l'obligation où Elle eft de s'appliquer à fe furmonter, & d'en demander à Dieu la force. Que les Grands font affujettis aux mefmes regles de l'Evangile, que le commun des hommes: Conduite qu'ils doivent tenir à l'égard du prochain. Que pour eftre faint il faut n'avoir point de paffions, fi ce n'est pour les combattre & pour les vaincre. P. 249 Soixante-cinquiéme Lettre. A la mesine. Il lui reprefente que la vie est toute pleine de rencontres defagreables. Neceffité des reflexions. Confolation qu'il y a à voir nos actions expliquées contre nos intenp. 254 tions. Soixante-fixiéme Lettre. A un Ecclefiaftique de fes Amis. Il lui témoigne fa joie de voir des marques obligeantes de fon fouvenir. Il lui parle du voiage d'Italie qu'ils ont fait enfem Soixante feptiéme Lettre. A un Inconnu. Il prefcrit à un Preftre chargé de la conduite des Ames, & qui avoit eu le malbeur de tomber en de grands égaremens, ce qu'il doit faire pour revenir de fes P. 259 excés. Soixante-huitiéme Lettre. A un Capucin. Il lui mande que pour eftre reçû dans le Monaftere de la Trappe, il faut qu'il obtienne un Bref de Rome. P: 263 Il lui témoigne la joie qu'il a d'apprendre Soixante-dixiéme Lettre. A fon Alteffe Fl lui fait voir les motifs preffans que nous 1 temps les moïens de jouir d'une paix con ftante. Usage que l'on doit faire de ce monde & de ce qui s'y passe. P. 270 Soixante- onzième Lettre. A un Reli gieux de l'Ordre. Qu'un Religieux ne doit point fe tirer de foi-mefme du lieu où la Providence de Dieu l'a conduit, à moins qu'elle ne lui en donne des ouvertures. Qu'on doit defirer une vie plus interieure, lors qu'on Je trouve expofé dans les occupations exterieures, mefme neceffaires. P. 275 Soixante-douziéme Lettre.A un Religieux. A l'occafion de la mort d'un homme du monde, il dit qu'il faut adorer les conduites de Dieu toutes rigoureufes qu'elles nous paroiffent. Qu'il fert fort peu de folliciter les hommes pour ses affaires, fi on n'a foin en mefme-temps de folliciter Dieu, & d'en attendre le fuccés de fa P. 278 Soixante-treizième Lettre. A un Evefque. Il lui témoigne la joie qu'il a des benediEtions que Dieu répand fur fa vigilance paftorale. Il le prie de ne le pas oublier au pied des Autels. P. 282 main. Soixante-quatorziéme Lettre.A fon Alteffe Royale Madame de Guife. Il lui parle de l'état deplorable où se trouve le Roy d'Angleterre,& par là il lui fait connoiftre l'incertitude des chofes d'ici bas, &les vains efforts que font les du gens monde ponr fe procurer la paix. De quel ail il faut regarder ce monde... P. 286 Soixante-quinziéme Lettre. A la mesme. Il continue à lui faire connoistre qu'il n'y a de confiftance affurée qu'en Dieu feul.. page 291 Soixante- feiziéme Lettre. A une Ceux qui reviennent à Dieu d'une vie mon Soixante-dix - feptiéme Lettre. A un Evefque. Qu'il faut adorer les ordres de Dieu & s'y foumettre avec joie dans quelque fitud tion qu'on fe trouve. P. 299 Soixante-dix-huitiéme Lettre. A un Abbé de fes Amis. Sur la pauvreté religieufe, & l'éloignement qu'on doit avoir des procés. P. 302 Soixante-dix-neuviéme Lettre. A une perfonne de qualité. Que la paix dans les difgraces eft une marque fenfible qu'on eft dans l'ordre de Dieu. Il lui donne avis de l'heureuse fin d'un de fes Religieux. De l'obligation indifpenfable de regler fa maison. p. 306 Quatre-vingtiéme Lettre. A fon Alteffe Royale Madame de Guife. Précautions qu'il faut prendre malgré foi, lors qu'on eft obligé d'avoir quelque commerce avec les gens du monde. Bonheur de la Retraite. Moien de paffer fès jours dans le repos & dans la paix. Quatre-vingt-uniéme Lettre. P. 316 Il lui infinuë que de tous les mojens de fe fantifier, celui des humiliations eft le plus puiffant. Que ceux qui font à Dien, |