doivent marcher & fe conduire par cette voie, qui eft mefme plus pour les Grands que pour les autres. Conduite que doivent tenir les Grands. P. 321 Quatre-vingt-deuxième Lettre. A un Superieur. Il lui dit qu'un Religieux ne peut retenir ni beaucoup ni peu d'argent fans violer le van de pauvreté, quoi qu'avec la permiffion de fon Superieur, qui peche lui-mefme en la lui donnant. P. 325 Quatre-vingt-troifiéme Lettre. A une Religieufe. Que les difgraces font pour un Chrétien un nouveau fujet de s'unir plus intimement à Dieu, dont l'efprit ne se peut trouver avec celui qui aime le monde. P. 329 Quatre-vingt-quatriéme Lettre. A un de fes Amis. Qu'un veritable Chretien doit fe confoler dela diffolution prochaine de fon corps, dans l'efperance que Dieu le lui rendra un jour incorruptible. P. 333 Quatre-vingt-cinquiéme Lettre. A une perfonne de qualité. Que lorfque Dien nous a éloignez du men de, on ne doit s'y rengager que par un Quatre-vingt-fixiéme Lettre. P. 336 Il lui parle d'une perfonne de qualité qui ne trouvoit aucun repos dans fon élevation. Il plaint le malheur d'un homme qui venoit de mourir dans le tumulte & Pembarras du monde. P. 34L Quatre-vingt- feptiéme Lettre. A fon Alteffe Royale Madame de Guise. Il lui fait voir que les conduites de Dieu font admirables. Que les vûës des hommes font courtes, & que pour eftre delivré des inquietudes continuelles, il faut eftre dans une grande indifference. P. 347 Quatre-vingt-huitiéme Lettre. Il lui marque l'usage qu'Elle doit faire des Quatre-vingt-neuvième Lettre. Il lui dit qu'un Moine eft obligé dans quel P.353 que lieu qu'il fe trouve, d'eftre fidele à Les obligations. Quatre-vingt-dixième Lettre. A une Dame de qualité. Qu'on doit prendre les foins neceffaires des chofes temporelles, fans neanmoins s'y attacher. Qu'il faut répondre aux graces que Dieu nous fait, avec une fidelité qui leur foit proportionnée. P. 356 Quatre-vingt- onzième Lettre. A un Evefque. Il lui rend compte des raisons qui l'ont porté à renvoier un Novice qui lui étoit venu de fa part. Que plus Dieu exerce une perfonne, plus il lui fait mifericorde. Page 359 Quatre-vingt-douzième Lettre. A fon Alteffe Royale Madame de Guife. Il lui reprefente que pour fe conferver une paix conftante, il faut fe tenir purement dans la dépendance de Dieu: Qu'en qualité de Chrétien on doit tendre à cette difpofition P. 364 Quatre-vingt-treiziéme Lettre. Il lui parle de fon Zele pour la Religion, من P. 367 Quatre-vingt-quatorziéme Lettre. A un Abbé Regulier. De l'Ordre de Citeaux, qui travailloit à reformer fa maison. Il lui donne plufieurs avis pour reüffir dans cette fainte entreprife. P.370 Quatre-vingt-quinzième Lettre. A une Dame de qualité. Que les peines & les croix que Dieu nous envoie nous font plus falutaires, que celles que nous nous choifissons nous-mes mes. P.379: Quatre-vingt-feiziéme Lettre. A un Il lui fait connoiftre les raisons qui l'empefchent d'aller à Paris pour les affaires de l'Ordre. A foûtient qu'un Superieur ne peut permettre à un Religieux d'aller aux Eaux. P. 384 Quatre-vingt-dix-feptiéme Lettre. A une Religieufe. Il lui témoigne le defir ardent qu'il a de fe voir déchargé de la Superiorité, dans la vûë du compte terrible que Dieu lui en demandera un jour. Qu'un Ecclefiaftique qui a paffé fa vie dans la diffipation, a befoin de retraite. P. 388 Quatre-vingt-dix - feptiéme Lettre. A la mefme. Que l'unique moien d'eftre heureux en cette vie & en l'autre, eft de recevoir avec une foumiffion égale les ordres de la divine Providence. P.392 Quatre-vingt-dix-huitiéme Lettre. A son Alteffe Royale Madame de Guife. Il lui marque fon fentiment touchant la guerre d'Irlande. Pouvoir de l'aumône, & maniere de la bien faire. P. 396 Quatre-vingt-dix-neuviéme Lettre. A la meline. |