des peines en ce monde, & qu'il lui eft avantageux de marcher par les contra dictions. Qu'Elle doit avoir une charité veritable & fincere pour ceux qui ne lui font pas agreables. Centiéme Letrre. A un Abbé P. 399 Qu'an Superieur répondra au jugement de Dieu, des Religieux qu'il aura prefenté aux Ordres. Il lui parle de l'état où se trouvent les affaires de la Reforme. p.402 Cent uniéme Lettre. A une Religieufe. Qu'on ne peut eftre parfaitement uni à Dieu, fi on ne fait divorce avec le monde. P. 405 Cent deuxième Lettre. A un Religieux. Il lui dit, que plus on a reçû de de graces Dieu, plus on eft dans l'obligation de lui en témoigner fa reconnoiffance. P. 410 Cent troifiéme Lettre. A une Abbeffe. Il lui confeille de fe mettre fous la Jurifdiction de fon Evefque, vû les opposi tions qu'elle trouve dans fes Superieurs à l'établissement de la Regularité dans for Monaftere. p. 412 Cent quatriéme Lettre. A fon Alteffe Aprés l'avoir entretenuë de plufieurs particularite, entre autres de l'élection du Pape, il lui marque ce qu'Elle doit faire pour fe preparer à communier à la Fefte de tous les Saints, & qu'eftant Chrétienne, Elle doit tolerer les foibles. P. 419 Cent cinquième Lettre. A la mesme. Il lui mande que fes incommoditez n'ont point d'autre canfe que la fituation du pais qu'il habite. Sentiment qu'il a de l'Opera. P. 425 Cent fixième Lettre. A un Superieur. Il le prie de l'excufer de ce qu'il ne peut faire ce qu'il defire de lui, attendu la mifere du païs, & le grand nombre de pauvres qui y font. P. 428 Cent feptiéme Lettre. A un Religieux D'une autre Obfervance, qui eftoit vens à la Trappe, qui y prit l'habit, & qui s'en retourna dans le monde pour s'adonner à l'étude. P. 430 Cent huitiéme Lettre. A une Dame Il la confole fur la perte qu'elle a faite de fa fille. Il lui fait voir que Dieu eft le maistre abfolu de nos vies. Qu'il privè les parens de leurs enfans, quand & com- me il le juge à propos. Qu'elle doit faire Cent neuviéme Lettre. A un Preftre. Il lui marque combien il a efté fenfible à la douleur qu'une perfonne de grande qualité a reffentie de la perte de fa fille, &en mefme-temps il l'affure de fa recon- noiffance pour toutes fes bontez. P. 441 Cent dixième Lettre. A fon Alteffe Que la mort de nos amis doit nous inftruire. Cent onzième Lettre. A la mefme. Sur le bonheur de ceux qui favent profiter de la naiffance de Noftre-Seigneur, & ઉત્તર LETTRES CHOISIES DU TRES R. P. ANCIEN ABBE' DE LA TRAPPE, ECRITES A DIFFERENTES PERSONNES. PREMIERE LETTRE Il lui parle de la conformité que l'on doit L n'y a que deux jours que Cent huitiéme Lettre. A une Dame Ilta confole fur la perte qu'elle a faite de fa fille. Il lui fait voir que Dieu eft le maistre abfolu de nos vies. Qu'il prive les parens de leurs enfans, quand & com- me il le de cette privation un acte de Religion; & de-là il prend occafion de lui parler Cent neuviéme Lettre. A un Preftre. Il lui marque combien il a efté fenfible à la douleur qu'une perfonne de grande qualité a reffentie de la perte de fa fille, & en mefme-temps il l'affure de fa recon- noiffance pour toutes fes bontez. p. 441 Cent dixième Lettre. A fon Alteffe Que la mort de nos amis doit nous inftruire, Cent onziéme Lettre. A la mefme. Sur le bonheur de ceux qui favent profiter de la naiffance de Noftre-Seigneur, & |