Corps d'extraits de romans de chevalrie, Volumen4Pissot, 1782 |
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... fais fendre les flots de mes bras » nerveux , je vole en patins sur » la glace ; je puis & je sais ramer » avec vigueur ; je lance au loin » d'une main sûre un javelot ; & » cependant , hélas ! une fille de » Ruffie me méprise .
... fais fendre les flots de mes bras » nerveux , je vole en patins sur » la glace ; je puis & je sais ramer » avec vigueur ; je lance au loin » d'une main sûre un javelot ; & » cependant , hélas ! une fille de » Ruffie me méprise .
Página 64
Hélas ! il n'est aucun fils qui ne bénisse dans son père le sentiment qui charme jusqu'au ferpent pour sa compagne . Ah , dieux ! fautil donc que je ne doive mon existence qu'au crime , à la inort , à la fureur ?
Hélas ! il n'est aucun fils qui ne bénisse dans son père le sentiment qui charme jusqu'au ferpent pour sa compagne . Ah , dieux ! fautil donc que je ne doive mon existence qu'au crime , à la inort , à la fureur ?
Página 66
Hélas ! j'oubliois le reste de l'univers , pour ne m'occuper que d'un bonheur que rien n'altéroit . Je m'éveillois avec la certitude que mes regards alloient s'attacher sur les personnes qui m'étoient les plus chères ; j'en recevois ...
Hélas ! j'oubliois le reste de l'univers , pour ne m'occuper que d'un bonheur que rien n'altéroit . Je m'éveillois avec la certitude que mes regards alloient s'attacher sur les personnes qui m'étoient les plus chères ; j'en recevois ...
Página 67
Une nuit , hélas ! une nuit affreuse , nous commencions à peine à goûter les douceurs du repos , lorsque des mugissemens affreux sortirent du gouffre profond de l'Ecla : la terre tremblante sous nos pieds , ne nous laissa qu'à peine ...
Une nuit , hélas ! une nuit affreuse , nous commencions à peine à goûter les douceurs du repos , lorsque des mugissemens affreux sortirent du gouffre profond de l'Ecla : la terre tremblante sous nos pieds , ne nous laissa qu'à peine ...
Página 114
Hélas ! cet ami trop infortuné n'avoit pas encore éprouvé tous les malheurs qui le menaçoient , & les plus grands de tous étoient prêts à le frapper . L'épouse de Dorival cachoit en vain au mari le plus tendre , le désespoir secret ...
Hélas ! cet ami trop infortuné n'avoit pas encore éprouvé tous les malheurs qui le menaçoient , & les plus grands de tous étoient prêts à le frapper . L'épouse de Dorival cachoit en vain au mari le plus tendre , le désespoir secret ...
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Términos y frases comunes
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Información bibliográfica
| Título | Corps d'extraits de romans de chevalrie, Volumen4 Corps d'extraits de romans de chevalrie, Louis Elisabeth de La Vergne de Brousain comte de Tressan |
| Autores | Louis Elisabeth de La Vergne de Brousain comte de Tressan, comte de Tressan (Louis Elisabeth) |
| Editor | Pissot, 1782 |
| Procedencia del original | Universidad de Harvard |
| Digitalizado | 13 Feb. 2008 |
| Exportar cita | BiBTeX EndNote RefMan |