Corps d'extraits de romans de chevalrie, Volumen4Pissot, 1782 |
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Página xxx
Les poésies Danoises , les poésies Illandoises , celles des Scaldes , respirent le pur amour : mais ce n'étoit point un amour efféminé ni coupable ; la fière habitante du nord en eût été révoltée , & l'eût méprisé : l'amant qui defiroit ...
Les poésies Danoises , les poésies Illandoises , celles des Scaldes , respirent le pur amour : mais ce n'étoit point un amour efféminé ni coupable ; la fière habitante du nord en eût été révoltée , & l'eût méprisé : l'amant qui defiroit ...
Página 49
La courageuse Rigda eût prévenu les malheurs qui la menaçoient par une prompte mort , fi son fils ne l'en eût empêchée : elle le regarda comme un dépôt sacré que Sigurd avoit remis à ses soins ; & l'espérance ne s'éteignant jamais dans ...
La courageuse Rigda eût prévenu les malheurs qui la menaçoient par une prompte mort , fi son fils ne l'en eût empêchée : elle le regarda comme un dépôt sacré que Sigurd avoit remis à ses soins ; & l'espérance ne s'éteignant jamais dans ...
Página 50
Quatre chaînes de montagnes qui la traversent , y forment quatre provinces séparées par des pics & des précipices ; le milieu de l'île est occupé presque en entier par un volcan qu'Héliode eût préféré à l'Ætna pour en faire la prison ...
Quatre chaînes de montagnes qui la traversent , y forment quatre provinces séparées par des pics & des précipices ; le milieu de l'île est occupé presque en entier par un volcan qu'Héliode eût préféré à l'Ætna pour en faire la prison ...
Página 52
Son sang couloit de plusieurs blessures , fans qu'il eût l'air de s'en appercevoir . O ma mère ! lui dit - il , tu me feras baiser aujourd'hui l'anneau , tu me serreras dans tes bras : mais ne crois pas que je m'applaudiffe d'avoir ...
Son sang couloit de plusieurs blessures , fans qu'il eût l'air de s'en appercevoir . O ma mère ! lui dit - il , tu me feras baiser aujourd'hui l'anneau , tu me serreras dans tes bras : mais ne crois pas que je m'applaudiffe d'avoir ...
Página 59
Ma mère , ajouta -t - il , eût succombé lorsqu'elle lui ferma les yeux , fi mes caresses ne l'euffent attendrie sur mon fort . Elle m'éleva comme un enfant abandonné par ses proches , me cacha soigneusement ma naissance ; & lorsque ...
Ma mère , ajouta -t - il , eût succombé lorsqu'elle lui ferma les yeux , fi mes caresses ne l'euffent attendrie sur mon fort . Elle m'éleva comme un enfant abandonné par ses proches , me cacha soigneusement ma naissance ; & lorsque ...
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