Corps d'extraits de romans de chevalrie, Volumen4Pissot, 1782 |
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Página xvii
Lorfqu'il compofoit ces deux ouvrages , & lorfqu'il annonçoit de nouvelles lois , on lui voyoit toujours à la main la tête de Mimmer , renommé par fa fageffe ; il l'avoit confervée ; il avoit l'air de la confulter , d'en recevoir des ...
Lorfqu'il compofoit ces deux ouvrages , & lorfqu'il annonçoit de nouvelles lois , on lui voyoit toujours à la main la tête de Mimmer , renommé par fa fageffe ; il l'avoit confervée ; il avoit l'air de la confulter , d'en recevoir des ...
Página xviii
... qu'il leur peint la ville d'Afgard comme un féjour célefte , où les ames de fes difciples , & fur - tout de ceux qui feront morts les armes à la main , feront reçues dans un palais fuperbe , nommé le Vaxhalla .
... qu'il leur peint la ville d'Afgard comme un féjour célefte , où les ames de fes difciples , & fur - tout de ceux qui feront morts les armes à la main , feront reçues dans un palais fuperbe , nommé le Vaxhalla .
Página xxvi
Une coupe pleine de vin d'A ou de Pomard , préfentée par une jeune & jolie Gauloife , fit tomber la hache de leur main ; & les délices de la France , ainfi qu'une religion nouvelle qui leur prescrivoit l'humanité , changèrent dans leurs ...
Une coupe pleine de vin d'A ou de Pomard , préfentée par une jeune & jolie Gauloife , fit tomber la hache de leur main ; & les délices de la France , ainfi qu'une religion nouvelle qui leur prescrivoit l'humanité , changèrent dans leurs ...
Página xxxi
... fais fendre les flots de mes bras » nerveux ; je vole en patins fur » la glace ; je puis & je fais ramer » avec vigueur , je lance au loin » d'une main fûre un javelot ; & » cependant , hélas ! une fille de » Ruffie me méprise .
... fais fendre les flots de mes bras » nerveux ; je vole en patins fur » la glace ; je puis & je fais ramer » avec vigueur , je lance au loin » d'une main fûre un javelot ; & » cependant , hélas ! une fille de » Ruffie me méprise .
Página xxxii
Un des premiers talens que la jeune fille destinée au mariage devoit acquérir , c'étoit la connoiffance des fimples & l'art de guérir les bleffures ; c'étoit toujours par une main aimée que le père , l'époux , le fils & le frère étoient ...
Un des premiers talens que la jeune fille destinée au mariage devoit acquérir , c'étoit la connoiffance des fimples & l'art de guérir les bleffures ; c'étoit toujours par une main aimée que le père , l'époux , le fils & le frère étoient ...
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