Corps d'extraits de romans de chevalrie, Volumen4Pissot, 1782 |
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Página xviii
... de félicité qu'il promet à ce peuple féroce , qui ne connoissoit presque que deux espèces de plaisir , celui de se baigner dans le sang , ou de s'enivrer à longs traits à table avec une bière forte bue dans le crâne de ses ennemis .
... de félicité qu'il promet à ce peuple féroce , qui ne connoissoit presque que deux espèces de plaisir , celui de se baigner dans le sang , ou de s'enivrer à longs traits à table avec une bière forte bue dans le crâne de ses ennemis .
Página xxxv
Que de traits de reffemblance ne nous trouverions - nous pas avec les sujets d'Odin ? notre amour pour la table , la pêche , la chaffe , la guerre , l'indépendance . Mais ces réflexions me mèneroient trop loin ; c'est aux philosophes ...
Que de traits de reffemblance ne nous trouverions - nous pas avec les sujets d'Odin ? notre amour pour la table , la pêche , la chaffe , la guerre , l'indépendance . Mais ces réflexions me mèneroient trop loin ; c'est aux philosophes ...
Página 51
Rigda reconnoiffoit dans ses traits charmans ceux de Sigurd ; elle s'occupoit à former son corps à la fatigue , à lui faire exercer ses forces paissantes , & lui faisoit baiser l'anneau d'or de son père , comme une récompense de ses ...
Rigda reconnoiffoit dans ses traits charmans ceux de Sigurd ; elle s'occupoit à former son corps à la fatigue , à lui faire exercer ses forces paissantes , & lui faisoit baiser l'anneau d'or de son père , comme une récompense de ses ...
Página 52
A peine achevoit - il ces mots , qu'un Islandois d'un certain âge entra dans la caverne , appuyé sur le bras d'une jeune fille un peu moins âgée que Lodbrog , & dont la blancheur , les cheveux noirs & les traits charmans lui donnoient ...
A peine achevoit - il ces mots , qu'un Islandois d'un certain âge entra dans la caverne , appuyé sur le bras d'une jeune fille un peu moins âgée que Lodbrog , & dont la blancheur , les cheveux noirs & les traits charmans lui donnoient ...
Página 70
... affreux de ma naissance ; j'élevai ma fille avec soin , mais comme ne devant jamais fortir de ma sauvage habitation . Combien de fois ne m'arracha - t - elle pas des larmes , en me faifant voir tous les traits adorés de fa mère ?
... affreux de ma naissance ; j'élevai ma fille avec soin , mais comme ne devant jamais fortir de ma sauvage habitation . Combien de fois ne m'arracha - t - elle pas des larmes , en me faifant voir tous les traits adorés de fa mère ?
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