L'année françoise ou vies des hommes qui ont honoré la France, pour tous les jours de l'année, Volumen3 |
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... feulement il avoit appris plufieurs langues il s'étoit rendu comme préfens tous les lieux de la terre par l'étude de la géographie ; il connoiffoit les mœurs , les coutumes , le gou vernement 1 Juillet . 43 10 Juillet 1709. n. ...
... feulement il avoit appris plufieurs langues il s'étoit rendu comme préfens tous les lieux de la terre par l'étude de la géographie ; il connoiffoit les mœurs , les coutumes , le gou vernement 1 Juillet . 43 10 Juillet 1709. n. ...
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... langues primitives . 11 Juillet 1715. n . LE MARQUIS DE COURTIVRON . IL entra au fervice dès l'âge de quinze ans & fuivit le marquis de Tonnerre en qualité d'aide de camp au fiége de Philifbourg . La mort de l'empereur Charles VI ayant ...
... langues primitives . 11 Juillet 1715. n . LE MARQUIS DE COURTIVRON . IL entra au fervice dès l'âge de quinze ans & fuivit le marquis de Tonnerre en qualité d'aide de camp au fiége de Philifbourg . La mort de l'empereur Charles VI ayant ...
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... langue ancienne dont le refte de la maison fait peu de cas . Dès que M. Dufay eut les yeux ouverts , il vit chez fon pere qui étoit lieutenant aux gardes , qu'on eftimoit les favans , qu'on s'occupoit de recueillir leurs productions ...
... langue ancienne dont le refte de la maison fait peu de cas . Dès que M. Dufay eut les yeux ouverts , il vit chez fon pere qui étoit lieutenant aux gardes , qu'on eftimoit les favans , qu'on s'occupoit de recueillir leurs productions ...
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... langue latine . Perfonne n'a plus approfondi les principes des langues . Enfuite parut fon Traité des tropes , ou des différens fens dans lefquels un même mot peut être pris dans une même langue . Les regles font appuyées par des ...
... langue latine . Perfonne n'a plus approfondi les principes des langues . Enfuite parut fon Traité des tropes , ou des différens fens dans lefquels un même mot peut être pris dans une même langue . Les regles font appuyées par des ...
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... permît pas de joindre à l'étude de l'hébreu celle de la langue arabe , qui exige infiniment plus de travail & de temps , mais qui en effet mériteroit bien que nos favans la cultivaffent . Cette mine , par les tréfors $ 8 ANNÉE FRANÇOISE .
... permît pas de joindre à l'étude de l'hébreu celle de la langue arabe , qui exige infiniment plus de travail & de temps , mais qui en effet mériteroit bien que nos favans la cultivaffent . Cette mine , par les tréfors $ 8 ANNÉE FRANÇOISE .
Términos y frases comunes
affez affurer aimoit ainfi anglois auffi auroit avoient avoit befoin c'eft c'eſt c'étoit caufe cens chofes choifit confeils conferver confoler connoiffances connoître cordon de Saint-Michel devoit Dieu difoit difpute dom Calmet efprit enfans eſt étoient étoit eût fagacité fage faifoit faint falloit fans favans favant fciences fecours feigneur fenfible fentiment fept feroit fervices fervir fes amis fes talens feul févere fiecle fiege fienne fimple fimplicité fociété foins foit foldats fon pere font fortune fous fouvent françois fuccès fuivi fujets fur fon fur-tout gloire goût Henri IV homme jamais jour jufqu'à jufte juftice l'abbé l'académie l'efprit l'églife laiffa livres lorfqu'il lorfque Louis XIV maifon maître malheureux maniere mérite miniftre modefte mœurs mort n'avoit n'eft néceffaire nobleffe paffer paffion Parcieux paroiffoit penfer perfonne philofophie plaifir plufieurs pouvoit préfent prefque premiere prince refpect refte refufer religion rois ſes ſon Tavannes tions Turenne vertus vouloit
Pasajes populares
Página 42 - Qu'il est grand, qu'il est doux de se dire à soi-même : Je n'ai point d'ennemis, j'ai des rivaux que j'aime ; Je prends part à leur gloire, à leurs maux, à leurs biens: Les arts nous ont unis, leurs beaux jours sont les miens!
Página 72 - Ils- n'avoient point difcute juridiquement leurs droits réciproques , ni fait de partages ; ce qui convenoit à l'un lui appartenoit, & l'autre en étoit fincerement perfuadé.
Página 213 - Ce mot n'était pas en lui l'expression de la méchanceté, c'est qu'il croyait que choquer la vanité lorsqu'elle se montre, ce n'est que repousser une attaque injuste. Si l'on entend par méchant, non celui qui méprise les hommes et qui ne s'en cache point, mais celui qui cherche à leur nuire, M. Fontaine ne pouvait être méchant ; il avait trop bien calculé les peines que coûte la méchanceté, et les petits plaisirs qu'elle procure. Cependant, il n'avait point pour elle la haine rigoureuse...
Página 161 - Mathématiques fi peu connues & fi peu cultivées en ce temps-là , & dans les lieux où il étudioit. A l'âge de dix-neuf ans il entra dans les Pères de l'Oratoire. Il y fut dix ans , & en fortit pour être Curé de Neuillyfur-Marne.
Página 92 - ... jamais. Cette puérilité de la maladie règne principalement dans le grand monde , et surtout dans une moitié de ce grand monde qui occupe plus les médecins, qui sait mieux les mettre à la mode , et qui a souvent plus besoin d'être amusée que guérie.
Página 396 - La .mort de cet homme , qui avoit passé une assez longue vie à la guerre, dans les cours , dans le tumulte du monde , fut celle d'un religieux de la Trappe. Persuadé de la religion par...
Página 162 - Ce font des raifonnemens philofophiques , qui ont dépouillé leuriècherefïè naturelle ou du moins ordinaire, en pafTant au travers d'une imagination fleurie & ornée , & qui n'y ont pris cependant que la jufte dofe d'agrément qui leur convenoit. Ce qui ne doit être embelli que jufqu'à une certaine mefure précife , eft ce qui coûte le plus à embellir.
Página 342 - Sa poésie lui valut encore une autre aventure, précieuse pour un courtisan qui sait que dans le lieu où il vit rien n'est bagatelle. Le roi et feue Madame avaient entrepris de faire des vers en grand secret, à l'envi l'un de l'autre.
Página 194 - Milan , faute d'avoir touché les fournies qui lui avoient été deftinées. Le roi lui en faifant de vifs reproches, il s'excufa , en difant que le même jour que les fonds pour le Milanès avoient été préparés, la reine -mère avoit...
Página 165 - Allons à la meffe du faint prêtre. Ces étrangers n'avoient pas eu befoin d'un long temps pour prendre de lui l'idée qu'il méritoit. Un extérieur...