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page 65, note. En quoi confifte le travail du Médecin

dans la plupart des Maladies, page 73, note. Méthode

que fuivoit HIPPOCRATE dans les Maladies aiguës, page

79, note. Terminaisons ordinaires des Maladies aiguës,

page 80. Loi générale pour l'administration des remedes

dans toutes les Maladies aiguës, page 97, note. Nou-

velles preuves de la néceffité d'être attentif aux fymp-

tomes caractéristiques des Maladies. Fautes dans lef-

quelles entraîne la négligence de ce précepte, pages 151,

note. Negligence qu'on apporte dans le commencement
de toutes les Maladies, page 332. Combien il est im-
portant de commencer le traitement des Maladies graves,
fur-tout celles du bas-ventre, par examiner fi le malade
n'a pas de descente, & avec quelle attention il faut faire
cet examen, page 380.

Maladies qui accompagnent la goutte, Tome III,

page 148. Maladies à la fuite defquelles la goutte eft

avantageuse, page 149; qui peuvent être la fuite de la

gale rentrée, page 209.

Maladies qui font les fuites néceffaires du régime que

menent le plus grand nombre des femmes, Tome IV,

page 107. Le peu de précautions qu'on apporte dans

les accouchements, eft la fource d'un grand nombre

de Maladies, page 155. Il ne faut pas cependant que

ces précautions foient portées trop loin, ibid. L'excès

de' précautions eft nuifible dans toutes les Maladies,

ibid. Les premieres Maladies des enfants ont leur

fiege dans les inteftins, page 213. Maladies où les fai-

gnées jusqu'à défaillance font nécessaires, page 318. Dans

les Maladies locales il faut faigner le plus près qu'il

eft poffible de la partie affectée, page 320.

MALADIES Occafionnées par une trop grande quantité de
nourriture animale, Tome I, page 165; par les liqueufs
falfifiées, page 175, note; par le vin, page 180; par le
défaut d'exercice, page 231; par les liqueurs fouvent ré-
pétées, quoiqu'on n'aille pas jufqu'à l'ivreffe, page 266;
par l'ivrognerie, page 269; par la mal-propreté, page
271; pour ne pas changer affez fouvent de linge, page
272; par le chagrin, page 316; par la constipation,
page 3333 par l'urine retenue trop long-temps dans la
veffie, page 337; par la fuppreffion de la transpiration,
page 340; par les variations de l'atmosphere, ibid.
par les habits mouillés, page 341; par l'humidité des

pieds, ibid. ; par le ferein & l'air de la nuit, page 343 i par les lits humides, page 345 ; par les maisons nouvellement bâties, page 346; pour s'être plongé dans l'eau froide ayant chaud, page 351.

MALADIES (des) Chirurgicales. Tome IV, pages 311-398. MALADIES Contagieufes. On donne ce nom à toutes celles qui fe communiquent par le moyen de l'air, de l'attouchement, de la fréquentation, &c. (Voyez CONTAGION & MIASMES.)

MALADIES Convulfives. (Voyez Accès convulsif.) MALADIES cutanées : c'est la même chofe que Maladies de la peau. (Voyez MALADIES de la peau.) MALADIES (des) des diverfes parties de la tête. Tome III, pages 61-74.

MALADIES (des) des enfants. Tome IV, pages 212-310. MALADIES de l'efprit. Pouvoir de la Médecine fur ces Maladies, Tome 1, page 143.

MALADIES (des) des femmes. Tome IV, pages 106-211. MALADIES (des) des femmes en couches. Idem, pages 176

204.

MALADIES (des) de nerfs. Tome III, pages 274--384.
MALADIES nerveufes. (Voyez MALADIES de nerfs.)

MALADIES (des) de l'organe du goût. Tome III, pages 416-418.

MALADIES (des) de l'organe de l'odorat. Idem, pages 406--416.

MALADIES (des) de l'organe de l'ouïe. Idem, pages 400

405.

MALADIES (des) de l'organe du toucher. Idem, pages 418–

419.

MALADIES (des) de l'organe de la vue, ou des yeux. Idem, pages 384--399.

MALADIES (des) des organes des fens. Idem, pages 384-

419.

MALADIES particulieres aux gens inadifs. Tome I, page

235.

MALADIES particulieres aux gens qui travaillent en plein air. Idem, page 103 & fuiv.

MALADIES particulieres aux Ouvriers, tant de fatigue, que fédentaires. (Cherchez ces Maladies par le nom de chaque profeffion.)

MALADIES de la peau. On pourroit donner ce nom à toutes

les Maladies dans lesquelles il fe manifefte des éruptions

fur la peau; mais on reftreint cette dénomination aux Maladies dans lefquelles la peau eft la partie effentiellement affectée; telles font la gale, les dartres, la lepre, &c.

MALADIES de poitrine. Les principales Maladies de cette claffe font, la pleuréfie, la péripneumonie, la pulmonie, la toux de poitrine, l'afthme, le crachement de fang, l'hydropifie de poitrine, &c.

MALADIES des fens externes. (Voyez MALADIES des organes des fens.)

MALADIES vaporeuses. (Voyez MALADIES de nerfs.)
MALADIES venteufes. (Voyez VENTS.)
MALIGNE. (Voyez FIEVRE maligne.)

MAL-PROPRETÉ. Voyez les Maladies qu'elle occafionne,
Tome I, pages 270-283.

Elle est la caufe ordinaire des chancres non vénériens, Tome IV, page 42. Peut-être doit-on la vérole à la mal-propreté, page 99.

MALT, farine groffiere qu'on obtient de l'orge que l'on a féchée rapidement au moment où elle commençoit à germer, Tome I, page 189, note.

Prescrit comme un puiffant remede contre le cancer, Tome III, page 439.

MAMELON, nom que porte le bouton ou tubercule qui s'éleve du centre de l'aréole de la mamelle.

MAMELON, (de la gerçure du) ou bout de la mamelle. Tome IV, pages 187–188.

MANIAQUE, épithete qu'on donne aux perfonnes qui font attaquées de folie ou manie.

MANIE ou folie. (Voyez MELANCOLIE.)

MANNE, fuc concret qui découle naturellement ou par incifion du tronc & des branches du frêne & de l'érable, qui croiffent dans la Calabre, en Sicile, &c. On trouve, chez les Apothicaires, trois efpeces de manne : la plus pure, fe nomme manne en larmes; la meilleure pour purger, quoique moins pure que la précédente, s'appelle manne en forte enfin la troifieme espece eft appellée manne graffe, & c'eft la plus inférieure.

MANNE en larmes. Si cette manne nous venoit directement telle qu'on la recueille dans le pays où elle croît, elle feroit préférable aux deux autres; mais, comme elle est prefque toute préparée dans les boutiques, & que le but eft fur-tout de plaire aux yeux, il fe trouve qu'elle n'est que

que belle & point, ou très-peu purgative. On la vend fept fols l'once. MANNE en forte. On doit donc préférer cette manne, qui,

quoique moins blanche, purge mieux. Il faut la choifir la moins colorée, la moins chargée d'impuretés, & féche, parce que les corps doux fe corrompent par l'humidité. On la vend quatre fols l'once.

La manne en forte, prefcrite, Tome II, pages 77, 150,263, 329, 362, 387, 412; Tome III, pages 11, 33, 37, 54, 69, 74, 160, 219, 248, 259, 266, 291, 457, 464; Tome IV, pages 12-41, 189, 217, 230, 240, 275, 281. MANNE graffe: elle eft abfolument mauvaise, parce qu'elle eft prefque toujours fraudée avec du fucre; fouvent même il n'entre pas du tout de manne dans cette efpece: ce n'eft que du mauvais fucre, ou du miel qu'on rend purgatif avec de la fcammonće ou d'autres purgatifs violents. Si l'on examinoit, dit M. BAUMÉ, les accidents qui arrivent par l'ufage de cette forte de manne, fouvent adminiftrée contre l'intention du Médecin & contraire à l'état du malade, je ne doute nullement que la Police ne punît févérement ceux qui fe mêlent de faire de pareilles mixtions. (Voyez Eléments de Pharmacie, page 32.)

MANQUE D'APPÉTIT. (Voyez PERTE DE L'APPÉTIT.) MANSTUPRATION, ou manuftupration. (Voyez MASTURBATION.)

MARASME, extrême maigreur, defféchement général, con fomption de tout le corps : c'eft le dernier dégré de l'atrophie. MARCHER. Quand il faut apprendre à marcher aux enfants, Tome I, page 56. Maniere naturelle de leur apprendre à marcher, page 57.

MARCHANDS de fromage, Maladies auxquelles ils font expofés: moyens de les prévenir, Tome 1, pages 101 & fuivantes.

MARCHANDES de modes. La pofture dans laquelle elles travaillent eft contraire à la fanté. Maladies auxquelles elles font exposées, comme personnes fédentaires: moyens de les prévenir, Tome I, pages 123 & fuivantes. MARIAGE. Attention qu'il mérite de la part du Gouver nement, relativement à la fanté des individus, Tome 1, page 20, note. Conduite ordinaire des peres & meres Tome V.

Y

dans le mariage de leurs enfants, page 320. On doit, dans le mariage, confulter fur- tout l'inclination des fujets & leur tempérament, ibid. Le mariage n'eft pas toujours le remede de l'épilepfie, Tome III, page 315. Circonstances dans lefquelles il peut guérir cette Maladie, ibid. Dans d'autres cas, bien loin de la guérir, il la développe, page 316. Le mariage preferit comme remede dans les pâles-couleurs, Tome IV, page 125. MARINS, ou gens de mer: Maladies auxquelles ils font expofés; moyens qu'ils doivent employer pour les prévenir, Tome I, pages 116-122.

MARJOLAINE. Majorana vulgaris, C. B. & TURNEF. Majorana, majori folio, ex femine nata. J. B. Origa num Majorana, foliis ovatis, obtufis, fpicis fubrotundis, LINN. C'est-à-dire, Marjolaine vulgaire, felon C. BAUHIN & TOURNEFORT. Marjolaine à grande feuille, qui vient de femence, felon J. BAUHIN. Origan Marjolaine, à feuilles ovales, obtufes, & dont les épis font prefque ronds, felon LINNÉ. Cette plante eft de la quatrieme claffe, troifieme section, treizieme genre de TOURNEFORT; de la didynamie gymnofperme de LINN. de la vingt-cinquieme famille des labiées d'Adanson.

:

Sa racine eft ligneufe & rameufe: fes tiges qui s'élevent d'environ un pied, font ligneufes, grêles & branchues les feuilles font oppofées, deux à deux, le long de la tige & des branches: elles font entieres, ovales, obtufes, fans découpures, foutenues par des pédicules très-courts: elles font couvertes d'un duvet blanc : elles font d'une odeur pénétrante & agréable, d'une faveur un peu âcre, un peu amere & aromatique : les rameaux naillent dans les aiffelles des feuilles, & portent les mêmes caracteres que la tige : les fleurs naisent au fommet des tiges & des rameaux, difpofées en épis courts: les épis reflemblent à des têtes écailleufes, arrondies, ferrées, compofés de quatre rangs de feuilles, placées en maniere d'écailles velues, d'entre lefquelles fortent de très-petites fleurs blanchâtres, d'une feule piece, en gueule, dont la levre fupérieure eft redreflée; arrondie, échancrée, & l'inférieure divifée en trois parties : le piftil eft accompagné de quatre embryons, qui fe changent enfuite en autant de petites graines, arron dies, roufles, cachées dans une capfule qui fervoit de calice à la fleur. La marjolaine vient dans nos Provin

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