[STROPHE COMPOSÉE POUR L'ODE QUI PRÉCÈDE] 1596 Tantost nos navires, braves ODE II [SUR LE MÊME SUJET] 1596 Soit que de tes lauriers la grandeur poursuivant Roy, que je verray jouïr Nombre tous les succez où ta fatale main, Jamais tu n'as veu journée De si douce destinée; Non celle où tu rencontras Cazaux, ce grand Titan qui se moquoit des cieux, Ce dos chargé de pourpre et rayé de clinquans A peine a sauvé Dorie, Que fait la peur des supplices, Plus morts que s'ils estoient morts. ODE III A LA REINE MERE DU ROY [MARIE DE MÉDICIS ] SUR SA BIEN-VENUE EN FRANCE Presentée à Sa Majesté à Aix, l'année 1600 Peuples, qu'on mette sur la teste A ce coup iront en fumée Les vœux que faisoient nos mutins [STROPHE COMPOSÉE POUR L'ODE QUI 1596 Tantost nos navires, braves |