Œuvres poétiques de Malherbe: réimprimées sur l'édition de 1630Librairie des bibliophiles, 1877 - 321 páginas |
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... Garde sa compagne fidelle , Cette Reine , dont les bontez De notre foiblesse mortelle Tous les defauts ont surmontez . Fay que jamais rien ne l'ennuye ; Que toute infortune la fuye ; Et qu'aux roses de sa beauté L'age , par qui tout se ...
... Garde sa compagne fidelle , Cette Reine , dont les bontez De notre foiblesse mortelle Tous les defauts ont surmontez . Fay que jamais rien ne l'ennuye ; Que toute infortune la fuye ; Et qu'aux roses de sa beauté L'age , par qui tout se ...
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... nourry le desordre et la sedition ; Quitte le nom de Juste , ou fay voir ta justice En leur punition . Le centiéme decembre a les plaines ternies , Et le bellion des Rochelois A M de la Garde, au sujet de son histoire.
... nourry le desordre et la sedition ; Quitte le nom de Juste , ou fay voir ta justice En leur punition . Le centiéme decembre a les plaines ternies , Et le bellion des Rochelois A M de la Garde, au sujet de son histoire.
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... François de Malherbe. Par eux de tes beaux faits la terre sera pleine , Et les peuples du Nil , qui les auront ouïs , Donneront de l'encens , comme ceux de la Seine , Aux autels de Louis . ODE X A M. DE LA GARDE AU SUJET DE ODE IX . י 7.
... François de Malherbe. Par eux de tes beaux faits la terre sera pleine , Et les peuples du Nil , qui les auront ouïs , Donneront de l'encens , comme ceux de la Seine , Aux autels de Louis . ODE X A M. DE LA GARDE AU SUJET DE ODE IX . י 7.
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... GARDE AU SUJET DE SON HISTOIRE SAINCTE 1628 La Garde , tes doctes écrits Montrent le soin que tu as pris A sçavoir toutes belles choses ; Et ta prestance et tes discours Etalent un heureux concours De toutes les graces écloses ...
... GARDE AU SUJET DE SON HISTOIRE SAINCTE 1628 La Garde , tes doctes écrits Montrent le soin que tu as pris A sçavoir toutes belles choses ; Et ta prestance et tes discours Etalent un heureux concours De toutes les graces écloses ...
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... garde , N'oseroit pas en deloger Sans congé pour se soulager , Nonobstant que trop il luy tarde ; Car , s'il procedoit autrement , Il seroit puni promptement Aux dépens de sa propre vie . Le parfait chrétien , tout ainsi , Créé pour ...
... garde , N'oseroit pas en deloger Sans congé pour se soulager , Nonobstant que trop il luy tarde ; Car , s'il procedoit autrement , Il seroit puni promptement Aux dépens de sa propre vie . Le parfait chrétien , tout ainsi , Créé pour ...
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Œuvres poétiques de Malherbe: réimprimées sur l'édition de 1630 François de Malherbe Vista completa - 1877 |
Términos y frases comunes
adorable Alcandre amour ANNE D'AUTRICHE appas aprés asseuré assez Atride aujourd'huy aussi-tost avanture avecques avoit beauté beaux esprits belle Bellegarde blesme bonace brusle Caliste chose Ciel cieux cœur cognois conqueste courage d'estre déja delices desirs destinées Dieu dieux douleur estant estoit estre étalleront eternelle eust fatale fleurs de lys fortune foudre François de Malherbe funestes gloire grace guerison guerre Henri Henri IV Henry honte hymenées j'ay jamais jour joye l'édition de 1630 l'envie l'honneur l'onde larmes lasche lauriers loix loüange loüer LOUIS XIII luy donne maistre Malherbe MARIE DE MÉDICIS memoire mercy merite merveille mesme miracle monde mort Neptune parmy paroistre peine penser plaisir pleurs poëte PROSPER BLANCHEMAIN quoy Racan rage raison Reine renaistre resoudre rien rois roses sçait sçay sceu sepulture seule soin soleil sort soupire stances succez Tantost tempestes terre tombeau tousjours Toutesfois trépas veux vœux voicy vray yeux
Pasajes populares
Página 63 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Página 153 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer.
Página 63 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Página 63 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Página 217 - L'air est plein d'une haleine de roses, Tous les vents tiennent leurs bouches closes, Et le soleil semble sortir de l'onde Pour quelque amour, plus que pour luire au monde.
Página 45 - C'est en la paix que toutes choses Succèdent selon nos désirs; Comme au printemps naissent les roses, En la paix naissent les plaisirs; Elle met les pompes aux villes, Donne aux champs les moissons fertiles, Et, de la majesté des lois Appuyant les pouvoirs suprêmes, Fait demeurer les diadèmes Fermes sur la tête des rois.
Página 34 - La troupe de leurs nourrissons ; Tous leurs vœux seront de te plaire ; Et si ta faveur tutélaire Fait signe de les avouer, Jamais ne partit de leurs veilles Rien qui se compare aux merveilles Qu'elles feront pour te louer.
Página 213 - Je m'impose silence En la violence Que me fait le malheur : Mais j'accrois mon martyre ; Et n'oser rien dire M'est douleur sur douleur.
Página 51 - Comme tu paraîtras au passage des flots, Voudra que ses Tritons mettent la main aux rames, Et soient tes matelots. Là rendront tes guerriers tant de sortes de preuves, Et d'une telle ardeur pousseront leurs efforts, Que le sang étranger fera monter nos fleuves Au-dessus de leurs bords. Par cet exploit fatal en tous lieux va renaître La bonne opinion des courages françois; Et le monde croira, s'il doit avoir un maître, Qu'il faut que tu le sois.
Página 77 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.