Observations sur la physique, sur l'histoire naturelle et sur les arts, Volumen5

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Hôtel de Thou, 1785

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Página 114 - Nés sous le plus beau ciel, nourris des fruits d'une terre féconde sans culture, régis par des pères de famille plutôt que par des rois, ils ne connaissent d'autres dieux que l'amour.
Página 343 - Qui fait f^ les mâles ne répandent point » leur fperme dans les cellules royales où loge actuellement un œuf »'ou un ver ? Qui fait fi ce fperme', mêlé à la nourriture fur laquelle » repofe l'œuf ou le ver , n'accroît point l'énergie de cette nourriture, » & ne la 'rend pas plus propre à procurer le développement des » ovaires, &c? Qui fait encore fi ce fperme ne pénètre point dans » le ver par d'autres voies , que nous ne faurions deviner ni découvrir...
Página 447 - Son effet , qui ne m'a pas paru différer fen» fiblement de la commotion éleârique de l'expérience de Leyde , » que j'avois déjà éprouvée plufieurs fois , fe communique de même » par le fimple attouchement, avec un bâton ou une verge de fer » de cinq ou fix pieds de long , de manière qu'on...
Página 31 - ... qui réunît fous un feul point de vue tous les moyens connus de rendre à la vie ceux qui paroîtroient l'avoir perdue , afin d'en faciliter l'adminiftration aux perfonnes étrangères à l'art de guérir en l'abfence des Médecins & des Chirurgiens j c'eft ce que M.
Página 424 - dont la dextérité dans l'art de diflféquer étoit étonnante. Il eft vrai que ces parties fexuelles pourroient être placées dans un endroit où l'on ne s'eft pas avifé encore de les chercher ; mais...
Página 528 - MÉMOIRE fur la manière dont on extrait en Corfe le fer de la mine d'Elbe ; d'où l'on déduit une comparaifon de la méthode Catalane en général , avec celle qui fe pratique dans nos Forges , par M. Tronfon du Coudray , in-S.
Página 339 - Cet illuftre obfervateur s'étoit attaché à prouver par un grand »nombre d'expériences, que la confervation & le bien-être d'un cffàim »dépendent de la Reine-abeille. Il devoit paroître très-fingulier que » la vie de tant de milliers de mouches eût été liée de la forte à celle » d'une feule mouche ; car , combien d'accidens pouvoient menacer les » jours précieux de cette mouche ! Votre belle découverte nous montre...
Página 429 - Telles font les principales queftions qu'embraiïe le plan que je me fuis formé & que je m'étois propofé de mettre fous les yeux de l'Académie : mais le tems , confacré à nos Séances publiques , ne me permettant pas de traiter aucune queftion dans toute fon étendue , je me renfermerai aujourd'hui dans un feul cas particulier , & je me bornerai à faire voir que le principe qui s'unit aux métaux pendant leur calcination , qui en augmente le poids & qui les conftitue dans l'état de chaux...
Página 428 - Eflaim qui languit dans l'inaction, toutes les Abeilles reprendront auffi-tôt leur activité naturelle, & commenceront à conftruire des gâteaux. Mais ce que n'avoit- point foupçonné ce grand Obfervateur , & que nous devons aux recherches affidues de Mr.
Página 328 - Faux-Bourdons ; car ceux-ci font plus longs & plus gros que les ouvrières. Les cellules deftinées à loger les Vers qui donneront des Reines, font beaucoup plus grandes que les autres, d'une toute autre forme, & autrement difpofées à l'égard de l'horizon.

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