Temps modernesDidier et cie., 1877 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 36
Página 29
... religion ? Il s'en est défendu à grands renforts d'arguments ; il a même abjuré publiquement le protestantisme ; il a traduit le Phédon en témoignage de croyance à l'im- mortalité de l'âme ; il est encore vrai qu'il n'a pas ...
... religion ? Il s'en est défendu à grands renforts d'arguments ; il a même abjuré publiquement le protestantisme ; il a traduit le Phédon en témoignage de croyance à l'im- mortalité de l'âme ; il est encore vrai qu'il n'a pas ...
Página 94
... héroïsme du père et du citoyen ; dans Auguste , l'héroïsme de la clémence ; dans Polyeucte , l'héroïsme de la religion ; dans Cor- 1 nélie , l'héroïsme de l'amour conjugal ; dans Théodore 94 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
... héroïsme du père et du citoyen ; dans Auguste , l'héroïsme de la clémence ; dans Polyeucte , l'héroïsme de la religion ; dans Cor- 1 nélie , l'héroïsme de l'amour conjugal ; dans Théodore 94 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
Página 113
... religion : une beauté divine qui les rend aimables , et une sainte majesté qui les rend vénérables ; et qu'il y aussi deux choses dans les erreurs : l'impiété qui les rend horribles , et l'impertinence qui les rend ridi- cules . C'est ...
... religion : une beauté divine qui les rend aimables , et une sainte majesté qui les rend vénérables ; et qu'il y aussi deux choses dans les erreurs : l'impiété qui les rend horribles , et l'impertinence qui les rend ridi- cules . C'est ...
Página 114
... religion et la morale , à l'intégrité des- quelles est attaché l'ordre des sociétés et le salut des hommes ; il est avec ferveur , avec indignation , avec confiance le défenseur de la vérité : « C'est , dit - n , une étrange et longue ...
... religion et la morale , à l'intégrité des- quelles est attaché l'ordre des sociétés et le salut des hommes ; il est avec ferveur , avec indignation , avec confiance le défenseur de la vérité : « C'est , dit - n , une étrange et longue ...
Página 116
... religion , et à leur pro- fit , tous ces traits de fine raillerie , tous ces mouve- ments de noble éloquence , pour s'en faire des armes contre les corrupteurs , quels que soient leur nom et leur bannière , de la morale publique . La ...
... religion , et à leur pro- fit , tous ces traits de fine raillerie , tous ces mouve- ments de noble éloquence , pour s'en faire des armes contre les corrupteurs , quels que soient leur nom et leur bannière , de la morale publique . La ...
Términos y frases comunes
acte admirer âme Balzac beauté beaux Boileau Bossuet Bourdaloue Bruyère Buffon caractère cardinal de Retz charme chef-d'œuvre chose chrétien cœur comédie comique Corneille Dalembert Descartes dessein Dieu dire discours dix-huitième siècle donne dramatique écrivain édit éloquence esprit Euvres fable Fénelon Fontaine Fontenelle force génie genre gloire goût grandeur héros hommes humaine Ibid jamais l'Académie l'âme l'art l'esprit l'Esprit des lois l'histoire l'homme laisse langage lettres littéraire Louis Racine Louis XIV Lucain lui-même madame de Sévigné maître Malherbe Massillon ment mérite mœurs Molière monde Montesquieu montre morale mort n'en nature naturel noble œuvres orateur parler Pascal passé passion pensée peuples philosophie plaisir poëme poésie poëte poétique Port-Royal prince prose puissance qu'un Racan Racine raison religion rien Rousseau saint sait satire Scarron scène Scudery sentiments serait seul sincère style succès talent théâtre Théophile tion tragédie traits trouve Vauvenargues vérité vertu vice Voltaire vrai yeux
Pasajes populares
Página 176 - J'entends innocemment : sur son propre désir Quelque rigueur que l'on exerce, Encore y prend-on du plaisir. Volupté, Volupté, qui fus jadis maîtresse Du plus bel esprit de la Grèce, Ne me dédaigne pas, viens-t'en loger chez moi; Tu n'y seras pas sans emploi : J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Página 127 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme gerait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui. L'univers n'en sait rien.
Página 480 - Conscience! conscience! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné , mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal , qui rends l'homme semblable à Dieu! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Página 166 - Qui brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la Cour, Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment, De l'intérêt du Ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère, Et que leur passion dont on leur sait bon gré. Veut nous assassiner avec un fer sacré.
Página 387 - Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique , pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher , si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête j et ils ont le nez si écrasé , qu'il est presque impossible de les plaindre.
Página 289 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Página 123 - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme et ces contrariétés étonnantes qui se découvrent dans sa nature; et regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis, ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant...
Página 125 - Qu'un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des vapeurs dans ces gouttes ; que divisant encore ces dernières choses, il épuise...
Página 287 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Página 281 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu.